Les principales places boursières ont terminé, hier, en net recul en raison des craintes des opérateurs d'un défaut de paiement de la Grèce, dans un marché qui semble reléguer au second plan les indices positifs américains. Les marchés réagissaient après l'annonce faite dimanche par le gouvernement grec que son déficit public serait certes ramené à 8,5% du PIB en 2011, mais ce chiffre est bien au-delà de l'objectif de 7,4% alors qu'Athènes est en discussions avec ses créanciers sur le versement de 8 milliards d'euros, promis dans le cadre d'un premier plan d'aide. «C'est un dur retour à la réalité après l'accalmie qu'ont connu les marchés la semaine dernière dans le sillage du vote allemand sur le fonds de soutien européen», a indiqué un opérateur boursier. La Bourse de Londres a ainsi fini en recul, tirée vers le bas par une chute des valeurs bancaires et minières, affectées elles aussi par des craintes persistantes des investisseurs sur la Grèce et l'économie mondiale. L'indice Footsie-100 des principales valeurs a cédé 52,98 points, soit 1,03%, par rapport à la clôture de vendredi, à 5.075,50 points. «C'est un mauvais début de semaine, avec la baisse des Bourses asiatiques et les matières premières qui perdent du terrain, dans l'attente de décisions sur le renflouement de la Grèce», a commenté un courtier à Londres. La Bourse de Francfort a clôturé également en recul, cédant 2,28% sur fond de craintes que la Grèce n'échappe pas au défaut de paiement. L'indice Dax a fini en baisse à 5.376,78 points contre 5.502,02 points vendredi à la clôture. Le MDax des valeurs moyennes a fini en repli de 2,13% à 8.163,61 points. La Bourse de Paris a terminé également en nette baisse lundi, malgré de bons indicateurs américains. L'indice CAC 40 a cédé 1,85% à 2.926,83 points dans un volume d'échanges peu étoffé de 2,585 milliards d'euros. En milieu d'échanges, la Bourse de New York était quasi stable à la mi-séance, tiraillée entre un regain d'inquiétude concernant la Grèce et une accélération surprise de l'activité industrielle aux Etats-Unis : le Dow Jones gagnait 0,21% mais le Nasdaq perdait 0,12%. Le Dow Jones Industrial Average prenait 22,67 points à 10.936,05 points et le Nasdaq, à dominante technologique cédait 2,88 points à 2.412,52 points. L'indice élargi Standard & Poor's 500 était quasi inchangé (+0,01%, +0,15 point) à 1.131,57 points. Le prix du panier Opep passe sous le seuil des 100 dollars Le prix du panier Opep est passé sous le seuil des 100 dollars le baril lundi pour s'établir à 99,65 dollars contre 101,81 dollars, a indiqué mardi l'Organisation sur son site internet. Le prix du panier Opep a perdu 2,16 dollars à 99,65 dollars le baril lundi contre 101,81 dollars le baril la veille, indique encore la même source. Le prix de ce panier avait refranchi le seuil des 100 dollars le 21 février dernier dans le sillage de la hausse des cours sur les marchés mondiaux. Le niveau actuel des prix est considéré par certains membres de l'organisation comme étant normal avec un approvisionnement suffisant du marché. L'Opep avait abouti le 8 juin dernier lors de sa réunion à Vienne à un statu-quo, maintenant inchangés ses niveaux de production. Introduit en juin 2005, le panier de l'Opep comprend le Sahara Blend (Algérie), Girassol (Angola), Oriente (Equateur), Iran Heavy (Iran), Basra Light (Irak), kuwait Export (Koweït), Es-Sider (Libye), Bonny Light (Nigeria), Qatar Marine (Qatar), Arab Light (Arabie Saoudite), Murban (EAU) et le BCF 17 (Venezuela). Les principales places boursières ont terminé, hier, en net recul en raison des craintes des opérateurs d'un défaut de paiement de la Grèce, dans un marché qui semble reléguer au second plan les indices positifs américains. Les marchés réagissaient après l'annonce faite dimanche par le gouvernement grec que son déficit public serait certes ramené à 8,5% du PIB en 2011, mais ce chiffre est bien au-delà de l'objectif de 7,4% alors qu'Athènes est en discussions avec ses créanciers sur le versement de 8 milliards d'euros, promis dans le cadre d'un premier plan d'aide. «C'est un dur retour à la réalité après l'accalmie qu'ont connu les marchés la semaine dernière dans le sillage du vote allemand sur le fonds de soutien européen», a indiqué un opérateur boursier. La Bourse de Londres a ainsi fini en recul, tirée vers le bas par une chute des valeurs bancaires et minières, affectées elles aussi par des craintes persistantes des investisseurs sur la Grèce et l'économie mondiale. L'indice Footsie-100 des principales valeurs a cédé 52,98 points, soit 1,03%, par rapport à la clôture de vendredi, à 5.075,50 points. «C'est un mauvais début de semaine, avec la baisse des Bourses asiatiques et les matières premières qui perdent du terrain, dans l'attente de décisions sur le renflouement de la Grèce», a commenté un courtier à Londres. La Bourse de Francfort a clôturé également en recul, cédant 2,28% sur fond de craintes que la Grèce n'échappe pas au défaut de paiement. L'indice Dax a fini en baisse à 5.376,78 points contre 5.502,02 points vendredi à la clôture. Le MDax des valeurs moyennes a fini en repli de 2,13% à 8.163,61 points. La Bourse de Paris a terminé également en nette baisse lundi, malgré de bons indicateurs américains. L'indice CAC 40 a cédé 1,85% à 2.926,83 points dans un volume d'échanges peu étoffé de 2,585 milliards d'euros. En milieu d'échanges, la Bourse de New York était quasi stable à la mi-séance, tiraillée entre un regain d'inquiétude concernant la Grèce et une accélération surprise de l'activité industrielle aux Etats-Unis : le Dow Jones gagnait 0,21% mais le Nasdaq perdait 0,12%. Le Dow Jones Industrial Average prenait 22,67 points à 10.936,05 points et le Nasdaq, à dominante technologique cédait 2,88 points à 2.412,52 points. L'indice élargi Standard & Poor's 500 était quasi inchangé (+0,01%, +0,15 point) à 1.131,57 points. Le prix du panier Opep passe sous le seuil des 100 dollars Le prix du panier Opep est passé sous le seuil des 100 dollars le baril lundi pour s'établir à 99,65 dollars contre 101,81 dollars, a indiqué mardi l'Organisation sur son site internet. Le prix du panier Opep a perdu 2,16 dollars à 99,65 dollars le baril lundi contre 101,81 dollars le baril la veille, indique encore la même source. Le prix de ce panier avait refranchi le seuil des 100 dollars le 21 février dernier dans le sillage de la hausse des cours sur les marchés mondiaux. Le niveau actuel des prix est considéré par certains membres de l'organisation comme étant normal avec un approvisionnement suffisant du marché. L'Opep avait abouti le 8 juin dernier lors de sa réunion à Vienne à un statu-quo, maintenant inchangés ses niveaux de production. Introduit en juin 2005, le panier de l'Opep comprend le Sahara Blend (Algérie), Girassol (Angola), Oriente (Equateur), Iran Heavy (Iran), Basra Light (Irak), kuwait Export (Koweït), Es-Sider (Libye), Bonny Light (Nigeria), Qatar Marine (Qatar), Arab Light (Arabie Saoudite), Murban (EAU) et le BCF 17 (Venezuela).