Durant les années 2009 et 2010, la wilaya de Tizi-Ouzou a bénéficié de deux programmes de restauration des anciennes mosquées, dont certaines sont centenaires, a indiqué le directeur local des Affaires religieuses et des Waqfs. Durant les années 2009 et 2010, la wilaya de Tizi-Ouzou a bénéficié de deux programmes de restauration des anciennes mosquées, dont certaines sont centenaires, a indiqué le directeur local des Affaires religieuses et des Waqfs. Selon M. Saïb, sur le programme de réhabilitation de 104 mosquées, octroyé en 2009 à la wilaya, il est prévu l'achèvement "avant fin novembre prochain", des travaux de restauration de 11 mosquées situées dans la daïra de Tizi-Ouzou, au moment où les travaux concernant 55 autres lieux de culte sont "en cours de lancement", a précisé le même responsable à l'APS. Concernant l'état d'exécution de ce programme, ce responsable a fait remarquer que les travaux de réhabilitation des 11 mosquées de la daïra de Tizi-Ouzou "ont consommé, a eux seuls, presque 50% de l'enveloppe globale" d'un montant de 215 millions de dinars. Doté d'une enveloppe de 250 millions de dinars, le programme 2010 consiste, quant à lui, en la réhabilitation de 41 mosquées, en plus d'un reliquat de 38 autres lieux de culte dégagés sur le programme 2009. Selon l'APS, les anciennes zaouïas de la wilaya ne sont pas en reste du plan de charges de la Direction des affaires religieuses et des waqfs, qui prévoit la prise en charge de 14 zaouias, dans le cadre d'un programme de réhabilitation inscrit en 2009 pour un montant de 50 millions de dinars. Expliquant le retard accusé dans la concrétisation de ces programmes, M. Saïb l'a imputé essentiellement au "manque d'entreprises qualifiées pour ce type de travaux". La wilaya de Tizi-Ouzou compte, avec au moins 850 mosquées, "le plus grand nombre de mosquées au niveau national", a relevé ce responsable, en faisant état de 80 autres mosquées en chantier, dont la concrétisation, à l'horizon 2015, portera le nombre de mosquées au niveau de la wilaya à près de 1.000. "Aucune autorisation de réalisation d'une mosquée ne sera accordée, si son site d'implantation n'a pas fait, au préalable, l'objet d'un consensus entre les habitants du village ou quartier concerné", a cependant souligné à l'APS le directeur des Affaires religieuses et des Waqfs qui a expliqué cette décision par le "souci d'éviter la réédition de l'affaire d'Aghribs", née d'un désaccord entre des habitants et une association religieuse au sujet d'un projet de construction d'une mosquée. Selon M. Saïb, sur le programme de réhabilitation de 104 mosquées, octroyé en 2009 à la wilaya, il est prévu l'achèvement "avant fin novembre prochain", des travaux de restauration de 11 mosquées situées dans la daïra de Tizi-Ouzou, au moment où les travaux concernant 55 autres lieux de culte sont "en cours de lancement", a précisé le même responsable à l'APS. Concernant l'état d'exécution de ce programme, ce responsable a fait remarquer que les travaux de réhabilitation des 11 mosquées de la daïra de Tizi-Ouzou "ont consommé, a eux seuls, presque 50% de l'enveloppe globale" d'un montant de 215 millions de dinars. Doté d'une enveloppe de 250 millions de dinars, le programme 2010 consiste, quant à lui, en la réhabilitation de 41 mosquées, en plus d'un reliquat de 38 autres lieux de culte dégagés sur le programme 2009. Selon l'APS, les anciennes zaouïas de la wilaya ne sont pas en reste du plan de charges de la Direction des affaires religieuses et des waqfs, qui prévoit la prise en charge de 14 zaouias, dans le cadre d'un programme de réhabilitation inscrit en 2009 pour un montant de 50 millions de dinars. Expliquant le retard accusé dans la concrétisation de ces programmes, M. Saïb l'a imputé essentiellement au "manque d'entreprises qualifiées pour ce type de travaux". La wilaya de Tizi-Ouzou compte, avec au moins 850 mosquées, "le plus grand nombre de mosquées au niveau national", a relevé ce responsable, en faisant état de 80 autres mosquées en chantier, dont la concrétisation, à l'horizon 2015, portera le nombre de mosquées au niveau de la wilaya à près de 1.000. "Aucune autorisation de réalisation d'une mosquée ne sera accordée, si son site d'implantation n'a pas fait, au préalable, l'objet d'un consensus entre les habitants du village ou quartier concerné", a cependant souligné à l'APS le directeur des Affaires religieuses et des Waqfs qui a expliqué cette décision par le "souci d'éviter la réédition de l'affaire d'Aghribs", née d'un désaccord entre des habitants et une association religieuse au sujet d'un projet de construction d'une mosquée.