L'espoir né suite à la diffusion des médias lourds d'un communiqué faisant état de la signature des décrets relatifs au statut particulier et du régime indemnitaire des travailleurs des communaux semble avoir vécu. Las de ne voir rien venir, le Conseil national du secteur des communes (CNSC) a décidé une nouvelle fois des actions de protestation pour faire entendre sa voix. Le communiqué diffusé, hier, le Conseil national du secteur des communaux, affilié au SNAPAP (Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique, indique qu'«après un large débat ayant sanctionné les travaux du Conseil national tenu vendredi dernier à la maison des syndicats à Alger, le CNSC appelle les travailleurs des communes à reprendre le rassemblement à Alger le 24 de ce mois courant devant le Palais du gouvernement à partir de 11h». Ce rassemblement sera appuyé par une grève de 3 jours, les 23, 24 et 25 de ce mois. Le syndicat des communaux, qui rappelle qu'il avait dû suspendre le rassemblement des délégués syndicaux qui devait avoir lieu le 26 septembre dernier à Alger, à la suite de la diffusion d'informations faisant état de la satisfaction des revendications des travailleurs communaux, dénonce ce qu'il considère comme «un véritable volte-face des pouvoirs publics dans la gestion du statut particulier et du régime indemnitaire des travailleurs communaux». Le syndicat des communaux justifie sa colère par le fait qu'«aucune publication au Journal Officiel n'a suivi l'annonce de la signature des décrets en question». Le CNSC interpelle les pouvoirs publics d'«ouvrir des négociations pour associer le CNSC à l'élaboration du statut particulier et du régime indemnitaire des travailleurs communaux» et exprime sa crainte en constatant que deux projets de statuts distincts semblent avoir été élaborés et dans lesquels des discriminations flagrantes sont à relever. Deux catégories de travailleurs communaux subissent en particulier cette discrimination. Il s'agit des conseillers techniques exerçant auprès du wali et ceux exerçant auprès du P/APC. Le CNSC demande leur intégration en tant qu'administrateurs principaux territoriaux pour les conseillers et tant qu'administrateurs territoriaux pour ceux exerçant auprès du P/APC. Toujours est-il que le Conseil national du secteur des communaux tiendra un conseil national élargi aux nouvelles sections le 21 octobre à Alger à l'effet de mettre au point les préparatifs inhérents au rassemblement. Le CNSC qui n'est pas satisfait des résultats de la dernière tripartite, dénonce le cynisme et le leurre que le gouvernement et l'UGTA ont réservés aux revendications des travailleurs et des retraités et appelle les travailleurs communaux à rester mobilisés afin de déjouer toutes les manœuvres de déstabilisation et de manipulation visant à semer la confusion et le mensonge. L'espoir né suite à la diffusion des médias lourds d'un communiqué faisant état de la signature des décrets relatifs au statut particulier et du régime indemnitaire des travailleurs des communaux semble avoir vécu. Las de ne voir rien venir, le Conseil national du secteur des communes (CNSC) a décidé une nouvelle fois des actions de protestation pour faire entendre sa voix. Le communiqué diffusé, hier, le Conseil national du secteur des communaux, affilié au SNAPAP (Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique, indique qu'«après un large débat ayant sanctionné les travaux du Conseil national tenu vendredi dernier à la maison des syndicats à Alger, le CNSC appelle les travailleurs des communes à reprendre le rassemblement à Alger le 24 de ce mois courant devant le Palais du gouvernement à partir de 11h». Ce rassemblement sera appuyé par une grève de 3 jours, les 23, 24 et 25 de ce mois. Le syndicat des communaux, qui rappelle qu'il avait dû suspendre le rassemblement des délégués syndicaux qui devait avoir lieu le 26 septembre dernier à Alger, à la suite de la diffusion d'informations faisant état de la satisfaction des revendications des travailleurs communaux, dénonce ce qu'il considère comme «un véritable volte-face des pouvoirs publics dans la gestion du statut particulier et du régime indemnitaire des travailleurs communaux». Le syndicat des communaux justifie sa colère par le fait qu'«aucune publication au Journal Officiel n'a suivi l'annonce de la signature des décrets en question». Le CNSC interpelle les pouvoirs publics d'«ouvrir des négociations pour associer le CNSC à l'élaboration du statut particulier et du régime indemnitaire des travailleurs communaux» et exprime sa crainte en constatant que deux projets de statuts distincts semblent avoir été élaborés et dans lesquels des discriminations flagrantes sont à relever. Deux catégories de travailleurs communaux subissent en particulier cette discrimination. Il s'agit des conseillers techniques exerçant auprès du wali et ceux exerçant auprès du P/APC. Le CNSC demande leur intégration en tant qu'administrateurs principaux territoriaux pour les conseillers et tant qu'administrateurs territoriaux pour ceux exerçant auprès du P/APC. Toujours est-il que le Conseil national du secteur des communaux tiendra un conseil national élargi aux nouvelles sections le 21 octobre à Alger à l'effet de mettre au point les préparatifs inhérents au rassemblement. Le CNSC qui n'est pas satisfait des résultats de la dernière tripartite, dénonce le cynisme et le leurre que le gouvernement et l'UGTA ont réservés aux revendications des travailleurs et des retraités et appelle les travailleurs communaux à rester mobilisés afin de déjouer toutes les manœuvres de déstabilisation et de manipulation visant à semer la confusion et le mensonge.