Le recours des banques aux organismes de garantie de crédits d'investissement accordés aux PME, reste "insuffisant", a estimé le directeur général de la CGCI Ammar Daoudi, qui avance un chiffre de 125 projets d'investissements seulement garantis par sa caisse en 2011. La Caisse de garantie des crédits à l'investissement (CGCI-PME), qui garantit les risques de défaillance de remboursement des crédits d'investissements encourues par les banques ou les établissements financiers n'a reçu en 2011 que 125 dossiers de garantie, d'un montant de 30 à 40 millions de DA chacun, a indiqué M. Daoudi à l'APS en marge du salon Expofinances. "Le flux de demande reste insuffisant et le taux de pénétration de la garantie des crédits est aussi insuffisante si on se réfère à la progression du taux des crédits alloués au financement de l'économie", note ce responsable. Malgré le caractère facultatif de cette garantie, un banquier avisé doit y recourir pour diminuer le risque crédit à sa banque, explique-t-il. La CGCI couvre jusqu'a 80% le risque crédit de création des PME, et à 60% celui des PME en développement, le reste étant supporté par les banques elles mêmes. Il explique que cette caisse a été mise en place par les pouvoirs publics pour inciter les banques à octroyer plus de crédits en partageant les risques avec la CGCI en cas de défaillance de remboursement. Durant les trois dernières années la caisse a traité 1.200 dossiers relatifs à des garanties de crédits demandés par des banques, selon son directeur général et a garanti à cet effet 700 projets d'investissements de PME pour 15 milliards DA de crédits. La CGCI, dont le capital social est de 20 milliards DA, est détenue à 60% par le Trésor public et le reste est réparti entre les six banque publiques. Le recours des banques aux organismes de garantie de crédits d'investissement accordés aux PME, reste "insuffisant", a estimé le directeur général de la CGCI Ammar Daoudi, qui avance un chiffre de 125 projets d'investissements seulement garantis par sa caisse en 2011. La Caisse de garantie des crédits à l'investissement (CGCI-PME), qui garantit les risques de défaillance de remboursement des crédits d'investissements encourues par les banques ou les établissements financiers n'a reçu en 2011 que 125 dossiers de garantie, d'un montant de 30 à 40 millions de DA chacun, a indiqué M. Daoudi à l'APS en marge du salon Expofinances. "Le flux de demande reste insuffisant et le taux de pénétration de la garantie des crédits est aussi insuffisante si on se réfère à la progression du taux des crédits alloués au financement de l'économie", note ce responsable. Malgré le caractère facultatif de cette garantie, un banquier avisé doit y recourir pour diminuer le risque crédit à sa banque, explique-t-il. La CGCI couvre jusqu'a 80% le risque crédit de création des PME, et à 60% celui des PME en développement, le reste étant supporté par les banques elles mêmes. Il explique que cette caisse a été mise en place par les pouvoirs publics pour inciter les banques à octroyer plus de crédits en partageant les risques avec la CGCI en cas de défaillance de remboursement. Durant les trois dernières années la caisse a traité 1.200 dossiers relatifs à des garanties de crédits demandés par des banques, selon son directeur général et a garanti à cet effet 700 projets d'investissements de PME pour 15 milliards DA de crédits. La CGCI, dont le capital social est de 20 milliards DA, est détenue à 60% par le Trésor public et le reste est réparti entre les six banque publiques.