Alger a réagi, lundi soir, à la nomination d'un nouveau Premier ministre de transition en Libye. Sur la page Facebook de Amar Belani, porte-parole du ministère des Affaires étrangères, il est écrit, «Nous souhaitons plein succès au nouveau chef du gouvernement libyen de transition, Abderrahim Al-Kib, dans l'accomplissement de sa nouvelle mission en cette période cruciale pour engager la Libye dans un processus d'édification d'un état démocratique qui se fonde sur la double urgence de la réconciliation et du rétablissement de la sécurité». Alger a réagi, lundi soir, à la nomination d'un nouveau Premier ministre de transition en Libye. Sur la page Facebook de Amar Belani, porte-parole du ministère des Affaires étrangères, il est écrit, «Nous souhaitons plein succès au nouveau chef du gouvernement libyen de transition, Abderrahim Al-Kib, dans l'accomplissement de sa nouvelle mission en cette période cruciale pour engager la Libye dans un processus d'édification d'un état démocratique qui se fonde sur la double urgence de la réconciliation et du rétablissement de la sécurité». C'est la première réaction officielle des autorités d'Alger à la nomination de l'homme d'affaires, Abdel Rahim al-Kib, originaire de Tripoli, Premier ministre du gouvernement de transition en Libye par les membres du Conseil national de transition (CNT). Al-Kib a été élu au premier tour parmi cinq candidats. Il a recueilli 26 voix sur 51 votants. Les membres du CNT se sont réunis pour procéder au vote dans une salle de réunion d'un local situé dans le sud de Tripoli, qui fait office de siège de l'exécutif provisoire. Selon la feuille de route annoncée par le CNT, un gouvernement intérimaire doit être formé au plus tard un mois après l'annonce de la libération du pays, dont la proclamation officielle a eu lieu le 23 octobre. Des élections constituantes doivent avoir lieu parallèlement dans un délai de huit mois maximum, suivies d'élections générales, un an après au plus tard. Pas plus tard que dans la matinée de lundi, le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a indiqué en marge de l'inauguration du nouveau siège du ministère des Affaires étrangères par le président Abdelaziz Bouteflika que les nouveaux responsables de la Libye sont les "bienvenus" en Algérie. Interrogé par la presse sur la visite attendue en Algérie de responsables du Conseil national de transition (CNT) libyen, le chef de la diplomatie algérienne a déclaré : "Les frères libyens sont en train de préparer un nouveau gouvernement, nous devons leur laisser le temps de le faire et ils seront (par la suite) les bienvenus". Mourad Medelci avait annoncé dernièrement qu'une délégation du CNT effectuera "bientôt" une visite en Algérie. Le gouvernement de transition mis en place à Tripoli, les relations algéro-libyennes reprendront sans nul doute sur des bases nouvelles. Alger, après bien de contacts avec les responsables du Conseil national de transition, s'est finalement résolu à reconnaître cet organe politique de la rébellion. La visite d'une délégation du CNT était prévue à Alger avant que les évènements ne s'accélèrent en Libye avec l'élimination physique de Mouammar Kadhafi. L'embellie dans les relations entre l'Algérie et le CNT a été longue à se dessiner. Une politique de petits pas qui a débouché sur l'établissement des relations informelles avec le CNT, qui sont devenues au fil des jours officielles pour prendre la forme de contacts réguliers et quasi quotidiens avec les nouvelles autorités libyennes aussi bien avec le président du CNT Mustapha Abdjeladjalil qu'avec, le président du Conseil exécutif Mahmoud Jibril, qui a finalement cédé sa place à Abderrahim al Kib pour diriger le gouvernement de transition. C'est la première réaction officielle des autorités d'Alger à la nomination de l'homme d'affaires, Abdel Rahim al-Kib, originaire de Tripoli, Premier ministre du gouvernement de transition en Libye par les membres du Conseil national de transition (CNT). Al-Kib a été élu au premier tour parmi cinq candidats. Il a recueilli 26 voix sur 51 votants. Les membres du CNT se sont réunis pour procéder au vote dans une salle de réunion d'un local situé dans le sud de Tripoli, qui fait office de siège de l'exécutif provisoire. Selon la feuille de route annoncée par le CNT, un gouvernement intérimaire doit être formé au plus tard un mois après l'annonce de la libération du pays, dont la proclamation officielle a eu lieu le 23 octobre. Des élections constituantes doivent avoir lieu parallèlement dans un délai de huit mois maximum, suivies d'élections générales, un an après au plus tard. Pas plus tard que dans la matinée de lundi, le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a indiqué en marge de l'inauguration du nouveau siège du ministère des Affaires étrangères par le président Abdelaziz Bouteflika que les nouveaux responsables de la Libye sont les "bienvenus" en Algérie. Interrogé par la presse sur la visite attendue en Algérie de responsables du Conseil national de transition (CNT) libyen, le chef de la diplomatie algérienne a déclaré : "Les frères libyens sont en train de préparer un nouveau gouvernement, nous devons leur laisser le temps de le faire et ils seront (par la suite) les bienvenus". Mourad Medelci avait annoncé dernièrement qu'une délégation du CNT effectuera "bientôt" une visite en Algérie. Le gouvernement de transition mis en place à Tripoli, les relations algéro-libyennes reprendront sans nul doute sur des bases nouvelles. Alger, après bien de contacts avec les responsables du Conseil national de transition, s'est finalement résolu à reconnaître cet organe politique de la rébellion. La visite d'une délégation du CNT était prévue à Alger avant que les évènements ne s'accélèrent en Libye avec l'élimination physique de Mouammar Kadhafi. L'embellie dans les relations entre l'Algérie et le CNT a été longue à se dessiner. Une politique de petits pas qui a débouché sur l'établissement des relations informelles avec le CNT, qui sont devenues au fil des jours officielles pour prendre la forme de contacts réguliers et quasi quotidiens avec les nouvelles autorités libyennes aussi bien avec le président du CNT Mustapha Abdjeladjalil qu'avec, le président du Conseil exécutif Mahmoud Jibril, qui a finalement cédé sa place à Abderrahim al Kib pour diriger le gouvernement de transition.