La situation sécuritaire préoccupe au plus haut point les Américains. Les pays du champ (Algérie, Mali, Niger et Mauritanie), ont participé à des réunions consacrées à débattre de cette problématique qui se pose avec acuité avec les effets de la crise libyenne. Ces discussions vont se poursuivre dans la capitale fédérale américaine. Le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, devait arriver hier pour une visite à Washington. Le responsable algérien participera à des discussions plurilatérales qui réuniront les pays du champ (Algérie-Mali-Mauritanie-Niger) et des officiels américains de haut rang, indique vendredi un communiqué du ministère des Affaires étrangères. Les officiels américains représentent plusieurs départements de l'administration américaine, notamment le département d'Etat, de la Justice, de la Défense, de l'Intérieur et du Conseil national de sécurité, précise la même source. Cette réunion, qui verra également la participation des ministres des Affaires étrangères du Mali, de la Mauritanie et du Niger, entre dans le cadre du suivi de la conférence d'Alger sur le partenariat, la sécurité et le développement qui s'est tenue les 7 et 8 septembre 2011 et qui a rassemblé les pays du champ et les partenaires extra-régionaux dont une importante délégation américaine de haut rang, souligne le communiqué. Cette conférence avait permis de dégager un ensemble de principes directeurs qui structurent et organisent le partenariat dans les domaines cruciaux du développement et de la sécurité entre les pays de la région et leurs partenaires, notamment ceux de l'appropriation, de l'indivisibilité de la sécurité et du développement et de la complémentarité entre les différentes stratégies et approches concernant le Sahel avec la stratégie conçue et mise en œuvre par les pays du champ, rappelle le ministère. Les discussions de Washington devront porter sur les priorités définies par les pays du champ dans le domaine du partenariat et qui concernent aussi bien la lutte contre le terrorisme et le crime transnational organisé que l'éradication de la pauvreté, poursuit la même source. Le ministère des Affaires étranères annonce, par ailleurs, que cette même délégation se rendra, dans les prochains jours, à Bruxelles où elle aura des entretiens avec les hauts responsables européens sur l'ensemble de ces questions. La situation sécuritaire préoccupe au plus haut point les Américains. Les pays du champ (Algérie, Mali, Niger et Mauritanie), ont participé à des réunions consacrées à débattre de cette problématique qui se pose avec acuité avec les effets de la crise libyenne. Ces discussions vont se poursuivre dans la capitale fédérale américaine. Le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, devait arriver hier pour une visite à Washington. Le responsable algérien participera à des discussions plurilatérales qui réuniront les pays du champ (Algérie-Mali-Mauritanie-Niger) et des officiels américains de haut rang, indique vendredi un communiqué du ministère des Affaires étrangères. Les officiels américains représentent plusieurs départements de l'administration américaine, notamment le département d'Etat, de la Justice, de la Défense, de l'Intérieur et du Conseil national de sécurité, précise la même source. Cette réunion, qui verra également la participation des ministres des Affaires étrangères du Mali, de la Mauritanie et du Niger, entre dans le cadre du suivi de la conférence d'Alger sur le partenariat, la sécurité et le développement qui s'est tenue les 7 et 8 septembre 2011 et qui a rassemblé les pays du champ et les partenaires extra-régionaux dont une importante délégation américaine de haut rang, souligne le communiqué. Cette conférence avait permis de dégager un ensemble de principes directeurs qui structurent et organisent le partenariat dans les domaines cruciaux du développement et de la sécurité entre les pays de la région et leurs partenaires, notamment ceux de l'appropriation, de l'indivisibilité de la sécurité et du développement et de la complémentarité entre les différentes stratégies et approches concernant le Sahel avec la stratégie conçue et mise en œuvre par les pays du champ, rappelle le ministère. Les discussions de Washington devront porter sur les priorités définies par les pays du champ dans le domaine du partenariat et qui concernent aussi bien la lutte contre le terrorisme et le crime transnational organisé que l'éradication de la pauvreté, poursuit la même source. Le ministère des Affaires étranères annonce, par ailleurs, que cette même délégation se rendra, dans les prochains jours, à Bruxelles où elle aura des entretiens avec les hauts responsables européens sur l'ensemble de ces questions.