Les crédits au logement et aux transactions immobilières accordés par la CNEP, durant les neuf premiers mois de l'année en cours, se chiffrent à près de 27 milliards DA, ce qui montre l'évolution de la politique de financement des logements des particuliers. Les crédits au logement et aux transactions immobilières accordés par la CNEP, durant les neuf premiers mois de l'année en cours, se chiffrent à près de 27 milliards DA, ce qui montre l'évolution de la politique de financement des logements des particuliers. La Caisse nationale d'épargne et de prévoyance (Cnep-Banque) a octroyé 15.805 crédits hypothécaires aux particuliers durant les neuf premiers mois de 2011, en hausse de 36,6% par rapport à la même période de 2010, pour un montant avoisinant 27 milliards DA, soit une évolution de 67%, a appris l'APS auprès de cette banque. Ces crédits étaient au nombre de 11.567 pour un montant de 19 milliards (mds) DA durant le premier semestre de 2011, soit une hausse de 8 mds de DA en trois mois. Ainsi, et depuis sa spécialisation dans les crédits immobiliers dans les années 70, la CNEP aura financé l'acquisition de 459.182 logements pour un engagement financier global de plus de 247 mds DA. Avec les résultats réalisés durant les trois premiers trimestres de l'année en cours, la banque "a déjà atteint ses objectifs pour l'année 2011", indique-t-on d'une source proche de la cellule de communication. Sur l'ensemble des engagements, plus de 9 mds DA ont été consacrés au financement de l'accession à 2.439 logements alors de 5,6 mds DA ont été consommés pour la réalisation de 4.576 constructions. Les crédits bonifiés étaient de 8.716 en totalisant 12,26 mds DA, ce qui représente 45,5% des engagements de la banque en matière de crédits hypothécaires entre début janvier et fin septembre 2011. Les crédits bonifiés à 1% étaient de 8 546 crédits pour un montant de 11,5 mds DA tandis que les crédits soumis à un taux d'intérêt à 3% n'étaient que 170 crédits d'une valeur totale de 743 millions de dinars. Les crédits bonifiés, lancés en mars 2010, étaient de 6.588 crédits pour un montant de plus de 9 mds DA durant le premier semestre de 2011. Quant aux financements accordés aux jeunes de 35 ans et moins, ils ont atteint 970 crédits pour 2,63 mds DA. Le cumul de ce crédit, lancé en avril 2008 et boosté en 2009, était de près de 3.000 crédits pour un montant de 4 mds DA fin 2010. Durant le premier semestre de l'année 2011, la CNEP avait consacré aux jeunes 691 crédits pour un montant de près de 1,8 milliard DA, ajoute l'agence. Les jeunes peuvent, grâce à ce mécanisme, obtenir un crédit à 100% du prix de vente d'un logement neuf ou du devis estimatif dans le cadre des travaux de construction ou d'extension d'une habitation. Mais la limite de l'offre du logement en Algérie, les coûts élevés en plus des conditions des jeunes eux-mêmes, disposant généralement de petits salaires, continuent de freiner l'émergence de ce crédit. Les crédits pour la cession de biens entre particuliers (CBEP), classés deuxième meilleur produit de la CNEP, en 2010, après ceux bonifiés pour l'accession au logement, ont, à leur tour, grimpé à près de 1.200 crédits pour un montant de près de 5 mds DA. Les crédits bonifiés ont quintuplé en 1 an Le montant des crédits hypothécaires à taux bonifié de la Caisse nationale d'épargne et de prévoyance (Cnep-Banque) a quintuplé durant les trois premiers trimestres de l'année en cours, atteignant 8.716 crédits pour 12,26 milliards DA, poursuit l'APS. Ces crédits, soumis à des taux bonifiés à 1% et 3%, ont ainsi représenté 45,5% des engagements de la banque en matière de crédits hypothécaires durant la même période. Les crédits bonifiés à 1% étaient de 8.546 crédits pour un montant de 11,5 milliards DA tandis que les crédits soumis à 3% ne sont qu'au nombre de 170 avec une valeur totale de 743 millions de dinars. Lancés en mars 2010, les crédits bonifiés étaient de 6.588 crédits pour un montant de plus de 9 milliards DA durant le premier semestre de 2011. Au cours du second deuxième trimestre 2010, seulement 142 crédits à taux bonifiés d'une valeur globale de 209 millions DA ont été octroyés par la même banque. En 2010, la sphère bancaire avait accordé 14 milliards DA de crédits bonifiés dont plus de la moitié octroyée par la CNEP. Selon le décret exécutif du 14 mars 2010 relatif aux crédits immobiliers à taux bonifié, le bénéficiaire de ce type de crédits supporte un taux d'intérêts de 1% lorsque ses revenus sont inférieurs ou égaux à six fois le SNMG (c'est-à-dire à 108.000 DA, le SNMG étant revu à la hausse à 18.000 DA), et de 3% par an lorsque ses revenus oscillent entre six et douze fois le SNMG, à savoir moins ou égaux à 216.000 DA, selon le rapport de l'agence. La durée du remboursement, calculée en fonction du montant du crédit, de l'âge de l'acquéreur et de sa capacité de remboursement, est limitée à 30 ans alors que la mensualité ne peut dépasser 30-40% du salaire. Avant l'introduction de la bonification, les taux appliqués aux crédits immobiliers s'inscrivaient dans une fourchette de 5,75% à 6,5%, voire 8% dans certaines banques. La différence entre le taux «préférentiel» des crédits, fixé à 6%, et les taux bonifiés est prise en charge par l'Etat. La CNEP, banque du logement par excellence, a contribué grandement à la promotion du logement familial en dépit de certains problèmes surgis, ces derniers, concernant d'énormes retards dans la construction et le respect des délais de réalisation des logements collectifs et semi-collectifs des EPLF, sachant que ces entreprises ont été carrément dissoutes. La Caisse nationale d'épargne et de prévoyance (Cnep-Banque) a octroyé 15.805 crédits hypothécaires aux particuliers durant les neuf premiers mois de 2011, en hausse de 36,6% par rapport à la même période de 2010, pour un montant avoisinant 27 milliards DA, soit une évolution de 67%, a appris l'APS auprès de cette banque. Ces crédits étaient au nombre de 11.567 pour un montant de 19 milliards (mds) DA durant le premier semestre de 2011, soit une hausse de 8 mds de DA en trois mois. Ainsi, et depuis sa spécialisation dans les crédits immobiliers dans les années 70, la CNEP aura financé l'acquisition de 459.182 logements pour un engagement financier global de plus de 247 mds DA. Avec les résultats réalisés durant les trois premiers trimestres de l'année en cours, la banque "a déjà atteint ses objectifs pour l'année 2011", indique-t-on d'une source proche de la cellule de communication. Sur l'ensemble des engagements, plus de 9 mds DA ont été consacrés au financement de l'accession à 2.439 logements alors de 5,6 mds DA ont été consommés pour la réalisation de 4.576 constructions. Les crédits bonifiés étaient de 8.716 en totalisant 12,26 mds DA, ce qui représente 45,5% des engagements de la banque en matière de crédits hypothécaires entre début janvier et fin septembre 2011. Les crédits bonifiés à 1% étaient de 8 546 crédits pour un montant de 11,5 mds DA tandis que les crédits soumis à un taux d'intérêt à 3% n'étaient que 170 crédits d'une valeur totale de 743 millions de dinars. Les crédits bonifiés, lancés en mars 2010, étaient de 6.588 crédits pour un montant de plus de 9 mds DA durant le premier semestre de 2011. Quant aux financements accordés aux jeunes de 35 ans et moins, ils ont atteint 970 crédits pour 2,63 mds DA. Le cumul de ce crédit, lancé en avril 2008 et boosté en 2009, était de près de 3.000 crédits pour un montant de 4 mds DA fin 2010. Durant le premier semestre de l'année 2011, la CNEP avait consacré aux jeunes 691 crédits pour un montant de près de 1,8 milliard DA, ajoute l'agence. Les jeunes peuvent, grâce à ce mécanisme, obtenir un crédit à 100% du prix de vente d'un logement neuf ou du devis estimatif dans le cadre des travaux de construction ou d'extension d'une habitation. Mais la limite de l'offre du logement en Algérie, les coûts élevés en plus des conditions des jeunes eux-mêmes, disposant généralement de petits salaires, continuent de freiner l'émergence de ce crédit. Les crédits pour la cession de biens entre particuliers (CBEP), classés deuxième meilleur produit de la CNEP, en 2010, après ceux bonifiés pour l'accession au logement, ont, à leur tour, grimpé à près de 1.200 crédits pour un montant de près de 5 mds DA. Les crédits bonifiés ont quintuplé en 1 an Le montant des crédits hypothécaires à taux bonifié de la Caisse nationale d'épargne et de prévoyance (Cnep-Banque) a quintuplé durant les trois premiers trimestres de l'année en cours, atteignant 8.716 crédits pour 12,26 milliards DA, poursuit l'APS. Ces crédits, soumis à des taux bonifiés à 1% et 3%, ont ainsi représenté 45,5% des engagements de la banque en matière de crédits hypothécaires durant la même période. Les crédits bonifiés à 1% étaient de 8.546 crédits pour un montant de 11,5 milliards DA tandis que les crédits soumis à 3% ne sont qu'au nombre de 170 avec une valeur totale de 743 millions de dinars. Lancés en mars 2010, les crédits bonifiés étaient de 6.588 crédits pour un montant de plus de 9 milliards DA durant le premier semestre de 2011. Au cours du second deuxième trimestre 2010, seulement 142 crédits à taux bonifiés d'une valeur globale de 209 millions DA ont été octroyés par la même banque. En 2010, la sphère bancaire avait accordé 14 milliards DA de crédits bonifiés dont plus de la moitié octroyée par la CNEP. Selon le décret exécutif du 14 mars 2010 relatif aux crédits immobiliers à taux bonifié, le bénéficiaire de ce type de crédits supporte un taux d'intérêts de 1% lorsque ses revenus sont inférieurs ou égaux à six fois le SNMG (c'est-à-dire à 108.000 DA, le SNMG étant revu à la hausse à 18.000 DA), et de 3% par an lorsque ses revenus oscillent entre six et douze fois le SNMG, à savoir moins ou égaux à 216.000 DA, selon le rapport de l'agence. La durée du remboursement, calculée en fonction du montant du crédit, de l'âge de l'acquéreur et de sa capacité de remboursement, est limitée à 30 ans alors que la mensualité ne peut dépasser 30-40% du salaire. Avant l'introduction de la bonification, les taux appliqués aux crédits immobiliers s'inscrivaient dans une fourchette de 5,75% à 6,5%, voire 8% dans certaines banques. La différence entre le taux «préférentiel» des crédits, fixé à 6%, et les taux bonifiés est prise en charge par l'Etat. La CNEP, banque du logement par excellence, a contribué grandement à la promotion du logement familial en dépit de certains problèmes surgis, ces derniers, concernant d'énormes retards dans la construction et le respect des délais de réalisation des logements collectifs et semi-collectifs des EPLF, sachant que ces entreprises ont été carrément dissoutes.