Une coopérative d'artisanat, qui a vu le jour en 1974, depuis, n'a céssé d'œuvrer à la préservation du patrimoine du Grand-Sud. La coopérative d'artisanat Almin Bey, située dans la wilaya de Tamanrasset, s'emploie ainsi depuis voilà plus d'une trentaine d'années, à la préservation et par là même à la promotion du patrimoine artisanal de la région de l'Ahaggar. La coopérative d'artisanat, Almin Bey, a vu le jour, reprend l'APS, grâce aux efforts de sa fondatrice, en l'occurence la doyenne des artisanes de la région. Almin Bey, du nom de sa fondatrice, œuvre à la valorisation et à l'ancrage de la bijouterie traditionnelle, qui fait la fierté des populations de cette région de l'extrême sud du pays. Installée au cœur du quartier Tahaggart-Ouest, dans la capitale de l'Ahaggar, Tamanrasset, la coopérative s'attèle, grâce à la dextérité de ses adhérents artisans, à la fabrication d'une diversité d'articles de bijouterie traditionnelle,à base d'argent notamment, et avec des outils simples et rudimentaires, a indiqué Almin Mohamed Ben Bey, fils de la fondatrice. Ces produits, d'une finition témoignant du génie des artisans locaux, puisent du riche patrimoine de l'Ahaggar et symbolisent, à travers ses multiples motifs, l'identité de la population locale. Ces bijoux d'une finesse exceptionnelle consistent en des médaillons, bagues, chevalières, bracelets et autres pièces qui rehaussent la beauté de la femme femme targuie. D'autres produits du cuir, dont la tente saharienne, le tapis traditionnel local à base de cuir, l'outre à eau, les articles d'harnachement et de sellerie, les sacs, valises et trousseaux pour les mariées targuies, sont autant d'autres produits d'artisanat fabriqués par la coopérative Almin Bey. La coopérative n'a jamais raté l'occasion de participer à différentes manifestations nationales et internationales, dont la dernière en date a été en 2008 à Tokyo (Japon) ou elle a drainé un nombreux public venu découvrir et acquérir des objets de l'artisanat de l'Ahaggar. M. Ben Bey se plaint, selon des propos recueillis par l'APS, «que le commerce des produits de l'artisanat ait connu, ces dernières années, un recul sensible du fait d'une série de contraintes afférentes, notamment à la concurrence féroce des produits de l'artisanat en provenance des pays africains et la mauvaise qualité de la matière première disponible sur le marché». Il fonde, néanmoins, de larges espoirs sur le soutien des responsables du secteur du tourisme, en vue de promouvoir cette filière du tourisme et de l'économie locale, créatrice de richesse et d'emplois. La coopérative Almin Bey qui accueille en son sein actuellement une trentaine d'artisans, des deux sexes, s'occupe aussi de la formation de jeunes pour préserver cet art majeur de l'Ahaggar. Une coopérative d'artisanat, qui a vu le jour en 1974, depuis, n'a céssé d'œuvrer à la préservation du patrimoine du Grand-Sud. La coopérative d'artisanat Almin Bey, située dans la wilaya de Tamanrasset, s'emploie ainsi depuis voilà plus d'une trentaine d'années, à la préservation et par là même à la promotion du patrimoine artisanal de la région de l'Ahaggar. La coopérative d'artisanat, Almin Bey, a vu le jour, reprend l'APS, grâce aux efforts de sa fondatrice, en l'occurence la doyenne des artisanes de la région. Almin Bey, du nom de sa fondatrice, œuvre à la valorisation et à l'ancrage de la bijouterie traditionnelle, qui fait la fierté des populations de cette région de l'extrême sud du pays. Installée au cœur du quartier Tahaggart-Ouest, dans la capitale de l'Ahaggar, Tamanrasset, la coopérative s'attèle, grâce à la dextérité de ses adhérents artisans, à la fabrication d'une diversité d'articles de bijouterie traditionnelle,à base d'argent notamment, et avec des outils simples et rudimentaires, a indiqué Almin Mohamed Ben Bey, fils de la fondatrice. Ces produits, d'une finition témoignant du génie des artisans locaux, puisent du riche patrimoine de l'Ahaggar et symbolisent, à travers ses multiples motifs, l'identité de la population locale. Ces bijoux d'une finesse exceptionnelle consistent en des médaillons, bagues, chevalières, bracelets et autres pièces qui rehaussent la beauté de la femme femme targuie. D'autres produits du cuir, dont la tente saharienne, le tapis traditionnel local à base de cuir, l'outre à eau, les articles d'harnachement et de sellerie, les sacs, valises et trousseaux pour les mariées targuies, sont autant d'autres produits d'artisanat fabriqués par la coopérative Almin Bey. La coopérative n'a jamais raté l'occasion de participer à différentes manifestations nationales et internationales, dont la dernière en date a été en 2008 à Tokyo (Japon) ou elle a drainé un nombreux public venu découvrir et acquérir des objets de l'artisanat de l'Ahaggar. M. Ben Bey se plaint, selon des propos recueillis par l'APS, «que le commerce des produits de l'artisanat ait connu, ces dernières années, un recul sensible du fait d'une série de contraintes afférentes, notamment à la concurrence féroce des produits de l'artisanat en provenance des pays africains et la mauvaise qualité de la matière première disponible sur le marché». Il fonde, néanmoins, de larges espoirs sur le soutien des responsables du secteur du tourisme, en vue de promouvoir cette filière du tourisme et de l'économie locale, créatrice de richesse et d'emplois. La coopérative Almin Bey qui accueille en son sein actuellement une trentaine d'artisans, des deux sexes, s'occupe aussi de la formation de jeunes pour préserver cet art majeur de l'Ahaggar.