Les marins algériens, détenus depuis janvier 2011 par des pirates en Somalie, ont été rapatriés hier sains et saufs à bord d'un avion spécial en provenance du Kenya. Les familles et les proches des marins, soulagés par cet heureux dénouement après près de 11 mois d'une éprouvante attente, étaient présents en grand nombre pour les accueillir à l'aéroport militaire de Boufarik, près d'Alger. Les 25 marins, dont 17 Algériens de l'équipage du navire MV Blida, qui avait fait l'objet d'un acte de piraterie en haute mer le 1er janvier dernier, alors qu'il se dirigeait vers le port de Mombasa au Kenya, avaient été libérés le 3 novembre dernier. Le navire est arrivé samedi soir au port de Malimbé (Kenya, une centaine de kilomètres de Mombasa) au terme d'une traversée plus longue que prévue, en raison de l'état technique du navire qui a subi une immobilisation forcée de plus de 10 mois. L'équipage du navire a été accueilli à Malimbé par une délégation algérienne, composée de représentants officiels, de médecins et de psychologues, qui s'était rendue sur place en compagnie de l'ambassadeur d'Algérie au Kenya. Les marins algériens, détenus depuis janvier 2011 par des pirates en Somalie, ont été rapatriés hier sains et saufs à bord d'un avion spécial en provenance du Kenya. Les familles et les proches des marins, soulagés par cet heureux dénouement après près de 11 mois d'une éprouvante attente, étaient présents en grand nombre pour les accueillir à l'aéroport militaire de Boufarik, près d'Alger. Les 25 marins, dont 17 Algériens de l'équipage du navire MV Blida, qui avait fait l'objet d'un acte de piraterie en haute mer le 1er janvier dernier, alors qu'il se dirigeait vers le port de Mombasa au Kenya, avaient été libérés le 3 novembre dernier. Le navire est arrivé samedi soir au port de Malimbé (Kenya, une centaine de kilomètres de Mombasa) au terme d'une traversée plus longue que prévue, en raison de l'état technique du navire qui a subi une immobilisation forcée de plus de 10 mois. L'équipage du navire a été accueilli à Malimbé par une délégation algérienne, composée de représentants officiels, de médecins et de psychologues, qui s'était rendue sur place en compagnie de l'ambassadeur d'Algérie au Kenya.