«Il existe des projets d`industrie automobile et de véhicules industriels avec Mercedes et Renault sachant que, maintenant, nous voulons relancer l'industrie automobile et mécanique en Algérie. Il s'agit, donc, de relancer de façon significative par les pouvoirs publics, car le réseau de PME de sous-traitance doit être constitué au moins de 30% par le tissu de l'industrie d`un pays», a, notamment déclaré, hier, Mokhtar Chahboub, directeur général de la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) lors de l'assemblée générale ordinaire de l'union professionnelle de l'industrie automobile et mécanique (UPIAM). «Il existe des projets d`industrie automobile et de véhicules industriels avec Mercedes et Renault sachant que, maintenant, nous voulons relancer l'industrie automobile et mécanique en Algérie. Il s'agit, donc, de relancer de façon significative par les pouvoirs publics, car le réseau de PME de sous-traitance doit être constitué au moins de 30% par le tissu de l'industrie d`un pays», a, notamment déclaré, hier, Mokhtar Chahboub, directeur général de la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) lors de l'assemblée générale ordinaire de l'union professionnelle de l'industrie automobile et mécanique (UPIAM). En effet, la sous-traitance travaille en étroite collaboration avec l'industrie pour la fabrication de 4.000 camions en bénéficiant de la bonne expertise et l'expérience de la SNVI. Aussi, des investissements sont consentis pour les besoins de la construction de 200.000 véhicules et autres types d`automobiles avec l`apport des petites et moyennes entreprises spécialisées dans la sous traitance. «Aujourd`hui, nous voulons les maintenir et les accompagner pour leur développement et leur promotion», ajoute Chahboub. En fait, dans le futur, un projet de 16.500 véhicules sera concrétisé, alors qu`à moyen terme, il est prévu la construction de 150.000 autres avec des projets constitués avec des entreprises de la sous-traitance.En outre, les besoins de la sous-traitance se chiffrent à 200.000 véhicules avec l'apport des équipementiers étrangers et la contribution du Fonds européen de l'automobile. Pour sa part, Brahim Bendris, président de l'UPIAM, a indiqué que «l'objectif assigné à la rencontre d`aujourd`hui regroupant les membres de l'AG ordinaire de l`UPIAM qui existe depuis l'année 2000, consiste à établir et adopter les rapports moral et financier vérifiés par la commission des comptes. Il s`agit d'une gestion normale de l'association professionnelle créée avec des cadres des entreprises publiques travaillant dans le secteur de la mécanique dont la SNVI et l'ENMTP (Entreprise nationale des matériaux de travaux publics) et les secteurs mécaniques. Il ajoute : «Nous avons une industrie privée et nous continuons à nous organiser. En effet, cette 3e AGO n`est pas élective, mais nous allons présenter le rapport d`activités de l`année 2010 en disséquant les problèmes et en mettant en relief le rapport financier.» Brahim Bendris a soulevé le problème de l`inexistence d`un réseau de la sous-traitance, car, selon lui, «en Algérie nous n`avons pas eu véritablement une industrie mécanique et les sous-traitants ne peuvent pas ramener tout». «Grâce à la SNVI, a-t-il dit, on a permis à tous les Algériens d'apprendre à fabriquer des pièces détachées et des pièces de rechange, ainsi que des boulons et d`autres services. Ce qui nous a permis d`avoir une association professionnelle regroupant tous les spécialistes». Codéveloppement grandes entreprises intégrées-PME Pas moins de 4 millions d`euros en termes de pièces détachées, qui sont livrées par ces personnes tous les ans. Les pièces de rechange fabriquées par les ouvriers algériens sont homologuées par la SNVI tandis queles membres de l'UPIAM participent au développement de l'industrie automobile et mécanique en Algérie. L`UPIAM agit dans le sens d'une nouvelle stratégie industrielle fondée sur le co-développement entre les grandes entreprises intégrées à la filière automobile et mécanique et les PME intervenant ou devant être créées en qualité de partenaires sous-traitants homologués et fournisseurs et producteurs de composants… Le rapport moral et financier fait ressortir que 43 entreprises industrielles ont été sélectionnées en capitalisant une technologie prouvée, puis une première assise nationale confortée. Les chiffres d`affaires sont compris dans un écart allant de 8 millions à 10 milliards DA et le CAHT/agent de 0,4 à 6,5 milliards DA. Aussi, le rapport de l`UPIAM souligne que «l'aspect financier semble être le premier niveau de préoccupation des PMI (80 %) ,et, en second lieu, les industriels sous-traitants et les producteurs ressentent des contraintes d'ordre technique et administratives dans les circuits et les délais d`homologation, ainsi que dans l`accompagnement pour leur améliorer la qualité et la régularité des fabrications (aspects méthodes et contrôles qualité)». Les perspectives 2020 avec la phase de transition 2011-2015, en cohérence avec les grands projets, requièrent des actions concrètes et pratiques sur le terrain et des plaidoyers documentés, selon le rapport du commissaire aux comptes. En 2011 et 2012, des actions devront être menées, tels que 1'estimation des besoins en investissements et en expertise nationale, ressources humaines, formation, crédits, assiettes foncières et industrielles… Pour la période 2012-2015, à moyen terme, on vise, notamment, la participation active à l`élaboration de la filière stratégie (matériels et véhicules roulants, intégrationde la maintenance Sonatrach, SNTF, Sonelgaz, Air Algérie…), le choix des technologies à développer, la généralisation des TIC et les actions en faveur des PME/PMI. Enfin, pour la période 2016-2020, il est aussi question de relever le niveau de la recherche et développement, l'innovation technologique pour le développement durable (véhicules électriques, propulsion à hydrogène et matériaux composites légers).Il s`agit, à long terme, également de parapher des accords régionaux et internationaux de développement et de libre-échange pour une intégration nationale réussie. En effet, la sous-traitance travaille en étroite collaboration avec l'industrie pour la fabrication de 4.000 camions en bénéficiant de la bonne expertise et l'expérience de la SNVI. Aussi, des investissements sont consentis pour les besoins de la construction de 200.000 véhicules et autres types d`automobiles avec l`apport des petites et moyennes entreprises spécialisées dans la sous traitance. «Aujourd`hui, nous voulons les maintenir et les accompagner pour leur développement et leur promotion», ajoute Chahboub. En fait, dans le futur, un projet de 16.500 véhicules sera concrétisé, alors qu`à moyen terme, il est prévu la construction de 150.000 autres avec des projets constitués avec des entreprises de la sous-traitance.En outre, les besoins de la sous-traitance se chiffrent à 200.000 véhicules avec l'apport des équipementiers étrangers et la contribution du Fonds européen de l'automobile. Pour sa part, Brahim Bendris, président de l'UPIAM, a indiqué que «l'objectif assigné à la rencontre d`aujourd`hui regroupant les membres de l'AG ordinaire de l`UPIAM qui existe depuis l'année 2000, consiste à établir et adopter les rapports moral et financier vérifiés par la commission des comptes. Il s`agit d'une gestion normale de l'association professionnelle créée avec des cadres des entreprises publiques travaillant dans le secteur de la mécanique dont la SNVI et l'ENMTP (Entreprise nationale des matériaux de travaux publics) et les secteurs mécaniques. Il ajoute : «Nous avons une industrie privée et nous continuons à nous organiser. En effet, cette 3e AGO n`est pas élective, mais nous allons présenter le rapport d`activités de l`année 2010 en disséquant les problèmes et en mettant en relief le rapport financier.» Brahim Bendris a soulevé le problème de l`inexistence d`un réseau de la sous-traitance, car, selon lui, «en Algérie nous n`avons pas eu véritablement une industrie mécanique et les sous-traitants ne peuvent pas ramener tout». «Grâce à la SNVI, a-t-il dit, on a permis à tous les Algériens d'apprendre à fabriquer des pièces détachées et des pièces de rechange, ainsi que des boulons et d`autres services. Ce qui nous a permis d`avoir une association professionnelle regroupant tous les spécialistes». Codéveloppement grandes entreprises intégrées-PME Pas moins de 4 millions d`euros en termes de pièces détachées, qui sont livrées par ces personnes tous les ans. Les pièces de rechange fabriquées par les ouvriers algériens sont homologuées par la SNVI tandis queles membres de l'UPIAM participent au développement de l'industrie automobile et mécanique en Algérie. L`UPIAM agit dans le sens d'une nouvelle stratégie industrielle fondée sur le co-développement entre les grandes entreprises intégrées à la filière automobile et mécanique et les PME intervenant ou devant être créées en qualité de partenaires sous-traitants homologués et fournisseurs et producteurs de composants… Le rapport moral et financier fait ressortir que 43 entreprises industrielles ont été sélectionnées en capitalisant une technologie prouvée, puis une première assise nationale confortée. Les chiffres d`affaires sont compris dans un écart allant de 8 millions à 10 milliards DA et le CAHT/agent de 0,4 à 6,5 milliards DA. Aussi, le rapport de l`UPIAM souligne que «l'aspect financier semble être le premier niveau de préoccupation des PMI (80 %) ,et, en second lieu, les industriels sous-traitants et les producteurs ressentent des contraintes d'ordre technique et administratives dans les circuits et les délais d`homologation, ainsi que dans l`accompagnement pour leur améliorer la qualité et la régularité des fabrications (aspects méthodes et contrôles qualité)». Les perspectives 2020 avec la phase de transition 2011-2015, en cohérence avec les grands projets, requièrent des actions concrètes et pratiques sur le terrain et des plaidoyers documentés, selon le rapport du commissaire aux comptes. En 2011 et 2012, des actions devront être menées, tels que 1'estimation des besoins en investissements et en expertise nationale, ressources humaines, formation, crédits, assiettes foncières et industrielles… Pour la période 2012-2015, à moyen terme, on vise, notamment, la participation active à l`élaboration de la filière stratégie (matériels et véhicules roulants, intégrationde la maintenance Sonatrach, SNTF, Sonelgaz, Air Algérie…), le choix des technologies à développer, la généralisation des TIC et les actions en faveur des PME/PMI. Enfin, pour la période 2016-2020, il est aussi question de relever le niveau de la recherche et développement, l'innovation technologique pour le développement durable (véhicules électriques, propulsion à hydrogène et matériaux composites légers).Il s`agit, à long terme, également de parapher des accords régionaux et internationaux de développement et de libre-échange pour une intégration nationale réussie.