Jusqu'à hier vendredi en fin de journée, aucune nouvelle information n'a filtré concernant l'enlèvement du cardiologue, Abdenacer Djelal. Des spéculations, souvent sans fondement, n'ont pas cessé d'être alimentées tout au long du week-end écoulé dont certaines ont été même reprises par certains organes de presse. Il ne s'agissait, en effet, que de rumeurs distillées en l'absence d'informations officielles puisqu'aucune action de protestation n'a été décidée par les comités de village, et il n'y a eu la création d'aucune cellule de crise. Pour l'instant, l'heure est à la solidarité indéfectible avec les membres de la famille du cardiologue au niveau du village Ighil Bouzrou. Hier, une source locale nous a confié qu'aucune action n'était envisagée pour l'instant et l'espoir demeure quant à la libération, sain et sauf, de l'otage. "Avant de penser à une mobilisation à l'échelle de la commune ou de la daïra, nous allons nous organiser à notre niveau et décider de la façon dont nous allons gérer cette affaire", a indiqué, en outre, une source locale. Les représentants du village d'Ighil Bouzrou estiment que la priorité est à la "solidarité" avec les proches de l'otage, notamment sa femme et ses enfants "qui ont besoin d'être soutenus durant cette dure épreuve". Quant à une éventuelle demande de versement de rançon, pour l'instant et comme nous l'avons souligné dans notre édition de jeudi, aucune demande n'aurait été formulée à la famille. C'est, du moins, l'information qui nous est parvenue. Jusqu'à hier à 16 heures, les citoyens de la région continuaient à affluer vers le domicile du cardiologue enlevé mercredi dernier sur la route reliant le chef-lieu de la commune d'Ath Aïssi vers le village Aguemoun, dans la daïra d'Ath Douala. C'était à 7h30 du matin, l'otage était en compagnie de sa famille quand il est tombé dans un faux barrage. Les terroristes ont intimé l'ordre au médecin de les suivre. Son épouse et ses enfants ont été relâchés un laps de temps plus tard alors que son véhicule a été retrouvé dix minutes après au lieu-dit Tala Bounane. Depuis, un contact via le téléphone a été établi entre les ravisseurs et l'épouse de l'otage. Cette dernière aurait pu parler au téléphone avec son mari qui l'a rassurée qu'il se portait bien et «qu'il était bien pris en charge». Jusqu'à hier vendredi en fin de journée, aucune nouvelle information n'a filtré concernant l'enlèvement du cardiologue, Abdenacer Djelal. Des spéculations, souvent sans fondement, n'ont pas cessé d'être alimentées tout au long du week-end écoulé dont certaines ont été même reprises par certains organes de presse. Il ne s'agissait, en effet, que de rumeurs distillées en l'absence d'informations officielles puisqu'aucune action de protestation n'a été décidée par les comités de village, et il n'y a eu la création d'aucune cellule de crise. Pour l'instant, l'heure est à la solidarité indéfectible avec les membres de la famille du cardiologue au niveau du village Ighil Bouzrou. Hier, une source locale nous a confié qu'aucune action n'était envisagée pour l'instant et l'espoir demeure quant à la libération, sain et sauf, de l'otage. "Avant de penser à une mobilisation à l'échelle de la commune ou de la daïra, nous allons nous organiser à notre niveau et décider de la façon dont nous allons gérer cette affaire", a indiqué, en outre, une source locale. Les représentants du village d'Ighil Bouzrou estiment que la priorité est à la "solidarité" avec les proches de l'otage, notamment sa femme et ses enfants "qui ont besoin d'être soutenus durant cette dure épreuve". Quant à une éventuelle demande de versement de rançon, pour l'instant et comme nous l'avons souligné dans notre édition de jeudi, aucune demande n'aurait été formulée à la famille. C'est, du moins, l'information qui nous est parvenue. Jusqu'à hier à 16 heures, les citoyens de la région continuaient à affluer vers le domicile du cardiologue enlevé mercredi dernier sur la route reliant le chef-lieu de la commune d'Ath Aïssi vers le village Aguemoun, dans la daïra d'Ath Douala. C'était à 7h30 du matin, l'otage était en compagnie de sa famille quand il est tombé dans un faux barrage. Les terroristes ont intimé l'ordre au médecin de les suivre. Son épouse et ses enfants ont été relâchés un laps de temps plus tard alors que son véhicule a été retrouvé dix minutes après au lieu-dit Tala Bounane. Depuis, un contact via le téléphone a été établi entre les ravisseurs et l'épouse de l'otage. Cette dernière aurait pu parler au téléphone avec son mari qui l'a rassurée qu'il se portait bien et «qu'il était bien pris en charge».