Des chercheurs français sont parvenus à mettre au point une matière plastique malléable à volonté et pouvant être réutilisée. Peu coûteuse à fabriquer et légère, cette matière révolutionnaire pourrait avoir de très nombreuses applications industrielles indiquent les chercheurs.Jusqu'à présent, une matière plastique ne pouvait pas être chauffée puis remodelée après avoir durci. Seul le verre, en tant que composé minéral, avait cette capacité. Mais les choses sont en train de changer grâce à une équipe de chimistes du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) qui a réussi à mettre au point un nouveau matériau façonnable à haute température.Cette matière plastique peut être modelée à volonté et passe de l'état liquide à l'état solide ou inversement, comme le verre, tout en conservant certaines propriétés propres aux résines organiques ou aux caoutchoucs. Ses autres points forts seraient, selon les chercheurs, sa légèreté et le fait qu'elle est insoluble et difficilement cassable.De plus, elle est peu coûteuse et facile à fabriquer selon l'équipe de chimistes dont la découverte fait l'objet d'une communication qui paraît aujourd'hui dans la revue américaine Science. Ce nouveau matériau pourrait avoir de nombreuses applications industrielles, notamment dans l'aéronautique, l'automobile, le bâtiment, l'électronique et le sport, des secteurs qui cherchent un substitut à l'acier et à d'autres métaux, rapporte le CNRS dans un communiqué. Steve Jobs voulait pouvoir se passer des opérateurs téléphoniques Le fondateur d'Apple avait imaginé s'affranchir du joug des opérateurs téléphoniques. Sa solution : passer par le WiFi pour créer un réseau Apple. John Stanton, président de la société de capital-risque Trilogy Partnership, a révélé qu'il avait eu avant 2007 de nombreuses conversations avec Steve Jobs. En cette époque de conception de l'iPhone premier du nom, Jobs aurait préféré se passer des opérateurs téléphoniques classiques. « Lui et moi avons passé beaucoup de temps à parler de la façon de créer un opérateur en utilisant le spectre WiFi, a raconté John Stanton lundi au Law Seminar International Event à Seattle. Cela faisait partie de sa vision ». Il s'agissait d'utiliser les fréquences du WiFi, libre de droits, plutôt que celles de la téléphonie, attribuées par l'état. Pour rappel, le téléphone cellulaire commence vers 800 MHz et la 3G peut monter jusqu'à 2GHz. Le WiFi se trouve entre 2.4 et 5GHz. Mais la technique n'était pas encore prête pour mener le WiFi à de tels niveaux. Le projet fut abandonné en 2007. Jobs se rabattit sur un dictat féroce à l'encontre des opérateurs téléphoniques. Il signa une exclusivité avec AT&T et lui imposa ses règles du jeu, devenant le premier constructeur à contrôler l'expérience utilisateur. Une bénédiction, quand on voit comment les constructeurs gâchent encore bien souvent nos mobiles Android en rajoutant une surcouche lente et peu pratique Des chercheurs français sont parvenus à mettre au point une matière plastique malléable à volonté et pouvant être réutilisée. Peu coûteuse à fabriquer et légère, cette matière révolutionnaire pourrait avoir de très nombreuses applications industrielles indiquent les chercheurs.Jusqu'à présent, une matière plastique ne pouvait pas être chauffée puis remodelée après avoir durci. Seul le verre, en tant que composé minéral, avait cette capacité. Mais les choses sont en train de changer grâce à une équipe de chimistes du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) qui a réussi à mettre au point un nouveau matériau façonnable à haute température.Cette matière plastique peut être modelée à volonté et passe de l'état liquide à l'état solide ou inversement, comme le verre, tout en conservant certaines propriétés propres aux résines organiques ou aux caoutchoucs. Ses autres points forts seraient, selon les chercheurs, sa légèreté et le fait qu'elle est insoluble et difficilement cassable.De plus, elle est peu coûteuse et facile à fabriquer selon l'équipe de chimistes dont la découverte fait l'objet d'une communication qui paraît aujourd'hui dans la revue américaine Science. Ce nouveau matériau pourrait avoir de nombreuses applications industrielles, notamment dans l'aéronautique, l'automobile, le bâtiment, l'électronique et le sport, des secteurs qui cherchent un substitut à l'acier et à d'autres métaux, rapporte le CNRS dans un communiqué. Steve Jobs voulait pouvoir se passer des opérateurs téléphoniques Le fondateur d'Apple avait imaginé s'affranchir du joug des opérateurs téléphoniques. Sa solution : passer par le WiFi pour créer un réseau Apple. John Stanton, président de la société de capital-risque Trilogy Partnership, a révélé qu'il avait eu avant 2007 de nombreuses conversations avec Steve Jobs. En cette époque de conception de l'iPhone premier du nom, Jobs aurait préféré se passer des opérateurs téléphoniques classiques. « Lui et moi avons passé beaucoup de temps à parler de la façon de créer un opérateur en utilisant le spectre WiFi, a raconté John Stanton lundi au Law Seminar International Event à Seattle. Cela faisait partie de sa vision ». Il s'agissait d'utiliser les fréquences du WiFi, libre de droits, plutôt que celles de la téléphonie, attribuées par l'état. Pour rappel, le téléphone cellulaire commence vers 800 MHz et la 3G peut monter jusqu'à 2GHz. Le WiFi se trouve entre 2.4 et 5GHz. Mais la technique n'était pas encore prête pour mener le WiFi à de tels niveaux. Le projet fut abandonné en 2007. Jobs se rabattit sur un dictat féroce à l'encontre des opérateurs téléphoniques. Il signa une exclusivité avec AT&T et lui imposa ses règles du jeu, devenant le premier constructeur à contrôler l'expérience utilisateur. Une bénédiction, quand on voit comment les constructeurs gâchent encore bien souvent nos mobiles Android en rajoutant une surcouche lente et peu pratique