Le tribunal criminel près la cour d'Alger a condamné, mardi dernier, l'accusé Dahmani Yazid, âgé de 37 ans, à 4 ans de prison ferme pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort de son jeune frère sans l'intention de la donner, a rapporté l'APS. Les faits remontent, selon l'arrêt de renvoi, au 13 mars 2011 au domicile de la famille Dahmani dans La Casbah où était organisé un mariage, lorsque la victime, voulant dormir, a refusé de sortir du salon pour laisser rentrer les invités. Suite à une altercation verbale entre la mère et la victime, l'accusé est intervenu en poignardant son frère au cœur et en le tuant. Au cours de l'audience, l'accusé a précisé qu'il n'avait pas l'intention de tuer son frère, mais seulement de le faire sortir du salon. Le parquet avait requis la perpétuité contre l'accusé arguant que cet acte s'apparente à un homicide et non à des coups et blessures volontaires entraînant la mort sans l'intention de la donner comme l'a accommodé le tribunal à la demande de la défense de l'accusé, Me Boumerdassi Hassiba. Le tribunal criminel près la cour d'Alger a condamné, mardi dernier, l'accusé Dahmani Yazid, âgé de 37 ans, à 4 ans de prison ferme pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort de son jeune frère sans l'intention de la donner, a rapporté l'APS. Les faits remontent, selon l'arrêt de renvoi, au 13 mars 2011 au domicile de la famille Dahmani dans La Casbah où était organisé un mariage, lorsque la victime, voulant dormir, a refusé de sortir du salon pour laisser rentrer les invités. Suite à une altercation verbale entre la mère et la victime, l'accusé est intervenu en poignardant son frère au cœur et en le tuant. Au cours de l'audience, l'accusé a précisé qu'il n'avait pas l'intention de tuer son frère, mais seulement de le faire sortir du salon. Le parquet avait requis la perpétuité contre l'accusé arguant que cet acte s'apparente à un homicide et non à des coups et blessures volontaires entraînant la mort sans l'intention de la donner comme l'a accommodé le tribunal à la demande de la défense de l'accusé, Me Boumerdassi Hassiba.