Le Sida, abréviation de Syndrome d'immuno-déficience acquise, est une maladie liée à un virus appelé VIH (abréviation de virus de l'immunodéficience humaine), ou HIV en anglais (pour Human Immunodeficiency Virus). Le Sida, abréviation de Syndrome d'immuno-déficience acquise, est une maladie liée à un virus appelé VIH (abréviation de virus de l'immunodéficience humaine), ou HIV en anglais (pour Human Immunodeficiency Virus). En Algérie, les spécialistes ne parlent plus, ou peu, de la prise en charge thérapeutique du VIH, mais réitèrent leurs propos pour la prévention de cette maladie qui se transmet d'un individu à un autre de différentes manières : - Par voie sexuelle. C'est la voie de contamination la plus répandue, - Par voie sanguine, soit par transfusion soit par échanges de seringues, - Pendant la grossesse, de la mère à l'enfant. En effet, seules la prévention et la sensibilisation peuvent venir à bout de cette maladie du siècle galopante. Les médicaments sont trop chers, en outre, trop lourds pour cette maladie qui devient chronique lorsque qu'elle s'installe. Les chiffres exacts de séropositifs dans notre pays et même a travers le monde ne sont pas très clairs car la plupart des malades ignorent leur séropositivité. La seule manière de le savoir et de faire un dépistage. Pour cela, au moins 60 centres spécialisés dans ce sens sont opérationnels à l'échelle nationale. Un plan stratégique de lutte contre cette maladie est adopté en Algérie comme à l'instar d'autres pays. L'objectif de ce plan est qu'il n'y est plus de nouveaux cas contaminés d'ici 2015. Mais le chemin est encore long dans un pays où la maladie est encore un tabou. Deux spécialistes, le docteur que nous avons contacté, en l'occurence, le Docteur Kamel Aït Oubelli, médecin épidémiologiste, et chef du Programme national de la lutte contre les IST/VIH/Sida, et le docteur Docteur Djamel Eddine Oulmane, spécialiste de la communication sur la santé à l'Institut national de la santé publique, nous expliquent tout ce qui est relatif à cette pathologie en Algérie. En Algérie, les spécialistes ne parlent plus, ou peu, de la prise en charge thérapeutique du VIH, mais réitèrent leurs propos pour la prévention de cette maladie qui se transmet d'un individu à un autre de différentes manières : - Par voie sexuelle. C'est la voie de contamination la plus répandue, - Par voie sanguine, soit par transfusion soit par échanges de seringues, - Pendant la grossesse, de la mère à l'enfant. En effet, seules la prévention et la sensibilisation peuvent venir à bout de cette maladie du siècle galopante. Les médicaments sont trop chers, en outre, trop lourds pour cette maladie qui devient chronique lorsque qu'elle s'installe. Les chiffres exacts de séropositifs dans notre pays et même a travers le monde ne sont pas très clairs car la plupart des malades ignorent leur séropositivité. La seule manière de le savoir et de faire un dépistage. Pour cela, au moins 60 centres spécialisés dans ce sens sont opérationnels à l'échelle nationale. Un plan stratégique de lutte contre cette maladie est adopté en Algérie comme à l'instar d'autres pays. L'objectif de ce plan est qu'il n'y est plus de nouveaux cas contaminés d'ici 2015. Mais le chemin est encore long dans un pays où la maladie est encore un tabou. Deux spécialistes, le docteur que nous avons contacté, en l'occurence, le Docteur Kamel Aït Oubelli, médecin épidémiologiste, et chef du Programme national de la lutte contre les IST/VIH/Sida, et le docteur Docteur Djamel Eddine Oulmane, spécialiste de la communication sur la santé à l'Institut national de la santé publique, nous expliquent tout ce qui est relatif à cette pathologie en Algérie.