Dans le même cadre et dans une déclaration à la presse à l'issue de son audition par la commission des Affaires étrangères, de la coopération internationale et de la communauté algérienne à l'étranger du Conseil de la Nation, Mourad Medelci a appelé à « la nécessité de redoubler d'efforts en faveur d'une complémentarité entre diplomatie classique et diplomatie parlementaire pour faire entendre la voix de l'Algérie par le Gouvernement et par la société civile, à sa tête le Parlement algérien ». Il estime que la diplomatie parlementaire est désormais « un pôle important » de la diplomatie globale. Evoquant la crise syrienne, le chef de la diplomatie réaffirme que la position arabe concernant la Syrie est désormais « très claire » et repose sur deux principaux axes, à savoir l'impératif d'aboutir à un règlement de cette crise au niveau arabe et la nécessité pour la Ligue arabe d'œuvrer en faveur des intérêts de la Syrie et des Syriens. Il presse les « frères en Syrie à signer le protocole de la mission d'observateurs arabes à Damas », relevant que « ces derniers avaient demandé le 1er décembre quelques explications qui leur avaient été données lors de la réunion de Doha ». Estimant que « les réponses étaient claires et très encourageantes pour signer le protocole » il souhaite que « nos frères en Syrie tenir compte de ces efforts et adopter une position à même de les rapprocher de la Ligue arabe et de renforcer ce rapprochement (...) et pour que nous puissions aider et accompagner la Syrie pour qu'elle surmonte cette épreuve ». Pour M. Medelci, le succès de la diplomatie algérienne n'est autre que le fruit des ses propres efforts, un succès qui serait d'autant plus « éclatant » si l'on pouvait aboutir à un résultat positif « comme ceux déjà réalisés dans d'autres domaines ». Dans ce sens, il a fait part de l'existence d'une action collective au niveau de la Ligue arabe visant à lui donner « une opportunité pour recouvrer sa crédibilité à travers une participation effective et positive dans le règlement de la crise en Syrie ». Dans le même cadre et dans une déclaration à la presse à l'issue de son audition par la commission des Affaires étrangères, de la coopération internationale et de la communauté algérienne à l'étranger du Conseil de la Nation, Mourad Medelci a appelé à « la nécessité de redoubler d'efforts en faveur d'une complémentarité entre diplomatie classique et diplomatie parlementaire pour faire entendre la voix de l'Algérie par le Gouvernement et par la société civile, à sa tête le Parlement algérien ». Il estime que la diplomatie parlementaire est désormais « un pôle important » de la diplomatie globale. Evoquant la crise syrienne, le chef de la diplomatie réaffirme que la position arabe concernant la Syrie est désormais « très claire » et repose sur deux principaux axes, à savoir l'impératif d'aboutir à un règlement de cette crise au niveau arabe et la nécessité pour la Ligue arabe d'œuvrer en faveur des intérêts de la Syrie et des Syriens. Il presse les « frères en Syrie à signer le protocole de la mission d'observateurs arabes à Damas », relevant que « ces derniers avaient demandé le 1er décembre quelques explications qui leur avaient été données lors de la réunion de Doha ». Estimant que « les réponses étaient claires et très encourageantes pour signer le protocole » il souhaite que « nos frères en Syrie tenir compte de ces efforts et adopter une position à même de les rapprocher de la Ligue arabe et de renforcer ce rapprochement (...) et pour que nous puissions aider et accompagner la Syrie pour qu'elle surmonte cette épreuve ». Pour M. Medelci, le succès de la diplomatie algérienne n'est autre que le fruit des ses propres efforts, un succès qui serait d'autant plus « éclatant » si l'on pouvait aboutir à un résultat positif « comme ceux déjà réalisés dans d'autres domaines ». Dans ce sens, il a fait part de l'existence d'une action collective au niveau de la Ligue arabe visant à lui donner « une opportunité pour recouvrer sa crédibilité à travers une participation effective et positive dans le règlement de la crise en Syrie ».