Le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, a déclaré, lors de la session ministérielle qu'il a animée lors du 20e Congrès mondial du pétrole, que l'Algérie travaillait pour augmenter sa production pétrolière de 1,2 million barils/jour actuellement à 1,5 million. Il n'a pas manqué de souligner, devant un parterre de responsables de compagnies énergétiques et des délégués présents à cette session, les atouts de l'investissement dans le secteur pétrolier et gazier algérien. Le secteur de l'énergie en Algérie «offre des domaines prometteurs pour l'investissement. Notre objectif est d'intensifier l'exploration pour conforter nos réserves afin de faire face aux besoins de notre marché local et de consolider notre position comme un acteur actif dans les marchés régionaux et internationaux», dira le ministre. La CTRF a reçu 600 déclarations de soupçons de blanchiment d'argent au 1er semestre 2011 La Cellule de traitement du renseignement financier (CTRF) a reçu 600 déclarations de soupçons de blanchiment d'argent durant les six premiers mois de l'année 2011, a indiqué mercredi dernier à la radio nationale son président M. Abdennour Hibouche. «Nous avons reçu 600, dont 330 de la Banque d'Algérie, déclarations de soupçons de blanchiment d'argent au premier semestre 2011», a déclaré M. Hibouche. En 2010, plus de 3.000 dossiers de soupçon de blanchiment d'argent, dont 2.500 de la Banque d'Algérie, ont été envoyés à la CTRF, a ajouté ce responsable qui présidé également le groupe Gafimoan. Mais seulement deux dossiers ont été soumis à la justice depuis 2006. En général, la CTRF ne peut pas faire la distinction entre une opération de blanchiment d'argent et celle concernant le financement de terrorisme qu'après une enquête qui est menée par d'autres services spécialisés dans la lutte contre ces crimes financiers, a-t-il encore précisé. Il a expliqué que les institutions financières sont tenues en vertu de la loi de 2005 sur le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme, de faire une déclaration de soupçon à la CTRF en cas d'opération financière apparaissant inhabituelle ou sans justification économique. Dans le cadre des réformes engagées dans le système judiciaire et le système financier, le gouvernement a élaboré une loi relative à la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme. Ce texte vient en application de la Convention de 2000 des Nations unies contre le crime transnational organisé, dite Convention de Palerme, ratifiée par l'Algérie le 9 novembre 2003. Cela dit les professions qui doivent se soumettre à l'obligation de déclaration de soupçon sont Les banques et établissements financiers, les services financiers d'Algérie Poste, les autres institutions financières apparentées, les compagnies d'assurances, les bureaux de change, les mutuelles, les paris et jeux et les casinos. Toute personne physique ou morale qui, dans le cadre de sa profession, conseille et/ou réalise des opérations entraînant des dépôts, des échanges, des placements, conversions ou tout autre mouvement de capitaux, notamment les professions libérales réglementées, et plus particulièrement les avocats, les notaires, les commissaires- priseurs, les experts-comptables, les commissaires aux comptes, les courtiers, les commissionnaires en douane, les agents de change, les intermédiaires en opérations de Bourse, les agents immobiliers, les entreprises d'affacturage ainsi que les marchands de pierres et métaux précieux, d'objets d'antiquité et d'œuvres d'art. Le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, a déclaré, lors de la session ministérielle qu'il a animée lors du 20e Congrès mondial du pétrole, que l'Algérie travaillait pour augmenter sa production pétrolière de 1,2 million barils/jour actuellement à 1,5 million. Il n'a pas manqué de souligner, devant un parterre de responsables de compagnies énergétiques et des délégués présents à cette session, les atouts de l'investissement dans le secteur pétrolier et gazier algérien. Le secteur de l'énergie en Algérie «offre des domaines prometteurs pour l'investissement. Notre objectif est d'intensifier l'exploration pour conforter nos réserves afin de faire face aux besoins de notre marché local et de consolider notre position comme un acteur actif dans les marchés régionaux et internationaux», dira le ministre. La CTRF a reçu 600 déclarations de soupçons de blanchiment d'argent au 1er semestre 2011 La Cellule de traitement du renseignement financier (CTRF) a reçu 600 déclarations de soupçons de blanchiment d'argent durant les six premiers mois de l'année 2011, a indiqué mercredi dernier à la radio nationale son président M. Abdennour Hibouche. «Nous avons reçu 600, dont 330 de la Banque d'Algérie, déclarations de soupçons de blanchiment d'argent au premier semestre 2011», a déclaré M. Hibouche. En 2010, plus de 3.000 dossiers de soupçon de blanchiment d'argent, dont 2.500 de la Banque d'Algérie, ont été envoyés à la CTRF, a ajouté ce responsable qui présidé également le groupe Gafimoan. Mais seulement deux dossiers ont été soumis à la justice depuis 2006. En général, la CTRF ne peut pas faire la distinction entre une opération de blanchiment d'argent et celle concernant le financement de terrorisme qu'après une enquête qui est menée par d'autres services spécialisés dans la lutte contre ces crimes financiers, a-t-il encore précisé. Il a expliqué que les institutions financières sont tenues en vertu de la loi de 2005 sur le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme, de faire une déclaration de soupçon à la CTRF en cas d'opération financière apparaissant inhabituelle ou sans justification économique. Dans le cadre des réformes engagées dans le système judiciaire et le système financier, le gouvernement a élaboré une loi relative à la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme. Ce texte vient en application de la Convention de 2000 des Nations unies contre le crime transnational organisé, dite Convention de Palerme, ratifiée par l'Algérie le 9 novembre 2003. Cela dit les professions qui doivent se soumettre à l'obligation de déclaration de soupçon sont Les banques et établissements financiers, les services financiers d'Algérie Poste, les autres institutions financières apparentées, les compagnies d'assurances, les bureaux de change, les mutuelles, les paris et jeux et les casinos. Toute personne physique ou morale qui, dans le cadre de sa profession, conseille et/ou réalise des opérations entraînant des dépôts, des échanges, des placements, conversions ou tout autre mouvement de capitaux, notamment les professions libérales réglementées, et plus particulièrement les avocats, les notaires, les commissaires- priseurs, les experts-comptables, les commissaires aux comptes, les courtiers, les commissionnaires en douane, les agents de change, les intermédiaires en opérations de Bourse, les agents immobiliers, les entreprises d'affacturage ainsi que les marchands de pierres et métaux précieux, d'objets d'antiquité et d'œuvres d'art.