Mouvement de dressement et de l'authenticité au sein de l'UNJA. Invalidation du congrès. Préparatifs pour l'organisation d'un congrès. Accusations de dilapidation du patrimoine de l'organisation... l'UNJA annonce avec fracas sa rebellion. Mouvement de dressement et de l'authenticité au sein de l'UNJA. Invalidation du congrès. Préparatifs pour l'organisation d'un congrès. Accusations de dilapidation du patrimoine de l'organisation... l'UNJA annonce avec fracas sa rebellion. Rien ne va plus au FLN. Le parti s'enfonce dans la crise. La dissension gagne la jeunesse du parti. Le Conseil national de l'UNJA annonce avec fracas sa « rébellion ». Au lendemain de la tenue de la 5e session ordinaire du comité central consacré aux préparatifs des élections législatives, les jeunes de l'Union nationale de la jeunesse algérienne (UNJA), une organisation de masse du vieux parti entrent dans la bataille pour le contrôle du FLN. Du moins, ceux qui s'élèvent contre les pratiques de son secrétaire général, Mohamed Madani et qui ont annoncé, hier à Alger au cours d'une conférence de presse, la création d'un Mouvement pour le redressement et l'authenticité de l'UNJA. Comme leurs aînés du Mouvement pour le redressement et l'authenticité, mené par Salah Goudjil, les jeunes de l'UNJA ne vont pas par quatre chemins pour dénoncer les pratiques du secrétaire général du parti, Abdelaziz Belkhadem et celles du Sg de l'UNJA, Mohamed Madani, qui a organisé un « congrès préfabriqué » le 9 décembre dernier à Alger pour s'autoproclamer secrétaire général de l'UNJA. Le mouvement de redressement de l'UNJA représenté, hier à la conférence de presse par les membres du conseil national de l'UNJA, Mohamed Bouguefada et Yacine Hamel, s'insurgent contre la tenue de ce congrès qui est loin, selon eux, d'obéir aux « normes », et ils s'interrogent sur les raisons qui ont amené le ministère de l'Intérieur à autoriser sa tenue. Ils y voient « la patte » de Abdelaziz Belkhadem. La liste des griefs dressés par le Mouvement de redressement de l'UNJA contre Mohamed Madani est loin d'être exhaustive. Outre le fait que le congrès qui s'est tenue, selon eux, en un quart d'heure et qui n'a pas réuni l'abécédaire en la matière, accueil des congressistes, absence de médiatisation de l'évènement, pas de lecture des rapports moral et financier, le mouvement de redressement accuse aussi Mohamed Madani d'agir pour des intérêts personnels étroits et de rouler pour certaines parties qui veulent briser l'unité de l'organisation. Dans ce cadre, ils interpellent le ministère pour invalider les résultats du congrès pour non respect du statut et règlement intérieur de l'UNJA et annoncent l'installation d'une commission nationale pour préparer un congrès de l'Union dans un délai qui ne dépasse pas la fin de l'année 2012 et cela pour que les jeunes se réapproprient leur organisation. Ils s'insurgent contre le fait que l'UNJA, une organisation de jeunes, soit dirigée par un homme âgé de 57 ans et dénoncent « la vente » de l'imprimerie de l'organisation à un particulier et la cession du camp de Sidi Fredj au MJS. Ce patrimoine de l'UNJA reviendra à l'UNJA, ont-ils promis. Rien ne va plus au FLN. Le parti s'enfonce dans la crise. La dissension gagne la jeunesse du parti. Le Conseil national de l'UNJA annonce avec fracas sa « rébellion ». Au lendemain de la tenue de la 5e session ordinaire du comité central consacré aux préparatifs des élections législatives, les jeunes de l'Union nationale de la jeunesse algérienne (UNJA), une organisation de masse du vieux parti entrent dans la bataille pour le contrôle du FLN. Du moins, ceux qui s'élèvent contre les pratiques de son secrétaire général, Mohamed Madani et qui ont annoncé, hier à Alger au cours d'une conférence de presse, la création d'un Mouvement pour le redressement et l'authenticité de l'UNJA. Comme leurs aînés du Mouvement pour le redressement et l'authenticité, mené par Salah Goudjil, les jeunes de l'UNJA ne vont pas par quatre chemins pour dénoncer les pratiques du secrétaire général du parti, Abdelaziz Belkhadem et celles du Sg de l'UNJA, Mohamed Madani, qui a organisé un « congrès préfabriqué » le 9 décembre dernier à Alger pour s'autoproclamer secrétaire général de l'UNJA. Le mouvement de redressement de l'UNJA représenté, hier à la conférence de presse par les membres du conseil national de l'UNJA, Mohamed Bouguefada et Yacine Hamel, s'insurgent contre la tenue de ce congrès qui est loin, selon eux, d'obéir aux « normes », et ils s'interrogent sur les raisons qui ont amené le ministère de l'Intérieur à autoriser sa tenue. Ils y voient « la patte » de Abdelaziz Belkhadem. La liste des griefs dressés par le Mouvement de redressement de l'UNJA contre Mohamed Madani est loin d'être exhaustive. Outre le fait que le congrès qui s'est tenue, selon eux, en un quart d'heure et qui n'a pas réuni l'abécédaire en la matière, accueil des congressistes, absence de médiatisation de l'évènement, pas de lecture des rapports moral et financier, le mouvement de redressement accuse aussi Mohamed Madani d'agir pour des intérêts personnels étroits et de rouler pour certaines parties qui veulent briser l'unité de l'organisation. Dans ce cadre, ils interpellent le ministère pour invalider les résultats du congrès pour non respect du statut et règlement intérieur de l'UNJA et annoncent l'installation d'une commission nationale pour préparer un congrès de l'Union dans un délai qui ne dépasse pas la fin de l'année 2012 et cela pour que les jeunes se réapproprient leur organisation. Ils s'insurgent contre le fait que l'UNJA, une organisation de jeunes, soit dirigée par un homme âgé de 57 ans et dénoncent « la vente » de l'imprimerie de l'organisation à un particulier et la cession du camp de Sidi Fredj au MJS. Ce patrimoine de l'UNJA reviendra à l'UNJA, ont-ils promis.