La célébration de la décennie des déserts du monde et de la lutte contre la désertification, qui s'est déroulé les 15 et 16 décembre courant à Timimoun, a été l'occasion idéale pour Cherif Rahmani, ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement, pour cerner l'ensemble des questions et la problématique épineuse de la lutte contre la désertification en Algérie qui demeure une préoccupation majeure ; mais combien délicate, des pouvoirs publics depuis des décennies. Que ce soit Rahmani ou Saïd Barkat, lorsqu'il gérait le portefeuille du ministère de l'Agriculture et qui disait à propos de la désertification : « J'ai peur pour mon pays », le combat implacable contre les effets ravageurs de la désertification préconise une stratégie adaptée et des ressources adéquates, car le temps exige l'efficacité. Dans ses déclarations, Rahmani a rappelé la nécessité absolue de préserver la vie dans le Sahara afin de pérenniser les civilisations, les cultures autochtones, les valeurs et surtout le patrimoine des déserts. En compagnie du secrétaire général adjoint de l'Organisation des Nations unies et secrétaire exécutif de la Convention de l'Onu sur la lutte contre la désertification, Luc Gnacadja, et de nombreux ambassadeurs, notamment ceux d'Autriche, Suède, Pays-Bas, Suisse et Hongrie, Rahmani a mis en relief l'impérieux devoir d'assurer le développement durable des régions sahariennes afin d'éviter l'exode des populations vers le Nord et le dépérissement des sites touristiques. En vertu de la proclamation par l'Assemblée générale des Nations unies, le 21 décembre 2009 de la décennie 2010-2020, décade charnière pour les déserts et la lutte contre la désertification, l'Algérie s'est mise à appliquer les recommandations de l'Onu qui reste très préoccupée par l'aggravation de la désertification à l'échelle mondiale, et particulièrement sur le continent africain, miné par les lourdes conséquences de la sécheresse, la famine, la pauvreté et le mal développement. Les scènes effarantes et effroyables de la famine et de la sécheresse, qui prévaut dans la Corne de l'Afrique notamment en Somalie, doivent inciter la communauté internationale à mettre en place une stratégie rapide et efficace en vue d'éradiquer le phénomène rampant de la désertification qui avance à raison de quelques mètres annuellement en Afrique. Avec la problématique et défi de l'eau qui prévoit une raréfaction de cette denrée précieuse et vitale pour les populations du désert, dont le dénuement exhorte les autorités à agir rapidement pour prendre en charge les préoccupations des populations locales durement touchées par le chômage endémique et l'absence d'infrastructures. En 2050, l'eau se fera plus rare et l'accès plus difficile, selon les experts en raison des changements climatiques. Rappelant que l'assemblée générale de l'Onu a entériné une suite remarquable à une recommandation solennelle de l'Algérie, notamment pour ce qui est de la maîtrise de la désertification, notamment les conséquences des phénomènes engendrés, et les impératifs du développement durable. En Algérie, le développement durable pourrait avancer à grands pas, tant les potentialités agricoles et touristiques y sont présentes, notamment dans la région d'Adrar où des exploitants agricoles, utilisant des moyens d'irrigation importants, souhaitent commercialiser et même exporter leurs produits, mais l'inconvénient de la logistique et des moyens de transport appropriés font cruellement défaut. Pour Gnacadja, l'Afrique doit assurer sa sécurité alimentaire afin de réduire la facture d'importation des produits alimentaires qui s'élève à 33 milliards de dollars par an. Par conséquent, il préconise une lutte implacable contre la pauvreté et le sous-développement en Afrique. La célébration de la décennie des déserts du monde et de la lutte contre la désertification, qui s'est déroulé les 15 et 16 décembre courant à Timimoun, a été l'occasion idéale pour Cherif Rahmani, ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement, pour cerner l'ensemble des questions et la problématique épineuse de la lutte contre la désertification en Algérie qui demeure une préoccupation majeure ; mais combien délicate, des pouvoirs publics depuis des décennies. Que ce soit Rahmani ou Saïd Barkat, lorsqu'il gérait le portefeuille du ministère de l'Agriculture et qui disait à propos de la désertification : « J'ai peur pour mon pays », le combat implacable contre les effets ravageurs de la désertification préconise une stratégie adaptée et des ressources adéquates, car le temps exige l'efficacité. Dans ses déclarations, Rahmani a rappelé la nécessité absolue de préserver la vie dans le Sahara afin de pérenniser les civilisations, les cultures autochtones, les valeurs et surtout le patrimoine des déserts. En compagnie du secrétaire général adjoint de l'Organisation des Nations unies et secrétaire exécutif de la Convention de l'Onu sur la lutte contre la désertification, Luc Gnacadja, et de nombreux ambassadeurs, notamment ceux d'Autriche, Suède, Pays-Bas, Suisse et Hongrie, Rahmani a mis en relief l'impérieux devoir d'assurer le développement durable des régions sahariennes afin d'éviter l'exode des populations vers le Nord et le dépérissement des sites touristiques. En vertu de la proclamation par l'Assemblée générale des Nations unies, le 21 décembre 2009 de la décennie 2010-2020, décade charnière pour les déserts et la lutte contre la désertification, l'Algérie s'est mise à appliquer les recommandations de l'Onu qui reste très préoccupée par l'aggravation de la désertification à l'échelle mondiale, et particulièrement sur le continent africain, miné par les lourdes conséquences de la sécheresse, la famine, la pauvreté et le mal développement. Les scènes effarantes et effroyables de la famine et de la sécheresse, qui prévaut dans la Corne de l'Afrique notamment en Somalie, doivent inciter la communauté internationale à mettre en place une stratégie rapide et efficace en vue d'éradiquer le phénomène rampant de la désertification qui avance à raison de quelques mètres annuellement en Afrique. Avec la problématique et défi de l'eau qui prévoit une raréfaction de cette denrée précieuse et vitale pour les populations du désert, dont le dénuement exhorte les autorités à agir rapidement pour prendre en charge les préoccupations des populations locales durement touchées par le chômage endémique et l'absence d'infrastructures. En 2050, l'eau se fera plus rare et l'accès plus difficile, selon les experts en raison des changements climatiques. Rappelant que l'assemblée générale de l'Onu a entériné une suite remarquable à une recommandation solennelle de l'Algérie, notamment pour ce qui est de la maîtrise de la désertification, notamment les conséquences des phénomènes engendrés, et les impératifs du développement durable. En Algérie, le développement durable pourrait avancer à grands pas, tant les potentialités agricoles et touristiques y sont présentes, notamment dans la région d'Adrar où des exploitants agricoles, utilisant des moyens d'irrigation importants, souhaitent commercialiser et même exporter leurs produits, mais l'inconvénient de la logistique et des moyens de transport appropriés font cruellement défaut. Pour Gnacadja, l'Afrique doit assurer sa sécurité alimentaire afin de réduire la facture d'importation des produits alimentaires qui s'élève à 33 milliards de dollars par an. Par conséquent, il préconise une lutte implacable contre la pauvreté et le sous-développement en Afrique.