Les travaux du 13e congrès du Front Polisario, qui se poursuivent à Tifariti, dans les territoires libérés du Sahara occidental, a-t-on appris, se sont focalisés, lors d'une séance-débat, autour du rapport moral de la direction du front. Les congressistes sahraouis ont concentré leurs interrogations sur l'avenir du processus des négociations avec l'occupant marocain, sous l'égide des Nations unies. Parmi les questions phare abordées se trouve celle de l'option du retour à la lutte armée contre l'occupation marocaine. S'exprimant à ce propos, le porte-parole du 13e congrès du Front, Sidi Mohamed Omar, a encore réitéré la position du Polisario qui considère, a-t-il expliqué, que cette dernière « demeure une option stratégique auprès de la direction du Front et au sein du peuple sahraoui ». « Le Polisario détient tous les moyens pour faire valoir une telle option », a-t-il ajouté, soulignant que « l'option des armes n'est pas écartée pour concrétiser l'option de ce congrès qui a pour slogan, -l'Etat sahraoui indépendant est la solution- ». Ces derniers temps, soulignons-le, la question d'un éventuel recours aux armes comme option de lutte se fait de plus en plus présente, notamment chez les jeunes Sahraouis. Ces derniers se disent défavorables à la poursuite des négociations avec l'occupant marocain qui, estiment-ils, n'aboutissent à aucun résultat si ce n'est celui de faire perdurer le statu quo. Sidi Mohamed Omar, a affirmé, à ce propos que « les congressistes avaient exprimé leurs interrogations et préoccupations sur l'ensemble des sujets traités dans ce rapport, en focalisant en particulier sur l'avenir du processus de négociations supervisées par l'Onu » et qui est, a-t-il noté, « à l'arrêt actuellement ». Il a souligné, à ce sujet, que les réponses du secrétaire général sortant du Polisario, Mohamed Abdelaziz, allait dans le sens du contenu du rapport relatif, notamment, a-t-il précisé, à « l'engagement réitéré du Polisario à accompagner les efforts de la communauté internationale à faire avancer les négociations, dans le sens d'une solution dans le cadre des résolutions de l'Onu et du Conseil de sécurité garantissant le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination ». Le choix des négociations réitéré par le secrétaire général sortant du front, a-t-il fait savoir, « sera toujours accompagné par une intensification de l'Intifadha dans les territoires occupés ainsi que par la lutte diplomatique et médiatique engagée ». Les travaux du 13e congrès du Polisario se poursuivent au niveau des commissions. Ces dernières sont les commissions des statuts et de la Constitution, de l'Intifadha et des territoires occupés, du programme d'action ainsi que de la commission de la déclaration finale et des résolutions. Les travaux du 13e congrès du Polisario, qui ont débuté jeudi 15 décembre à Tifariti, devront se poursuivre jusqu'au 20 du même mois, avec la participation de 2.100 congressistes, dont 54 venus des territoires occupés. Il faut rappeler que le Front Polisario tient, pour la troisième fois de son histoire, son congrès dans la localité de Tifariti, située dans les territoires sahraouis libérés, à 370 km à l'est d'El-Ayoun, capitale occupée du Sahara occidental. Les travaux du 13e congrès du Front Polisario, qui se poursuivent à Tifariti, dans les territoires libérés du Sahara occidental, a-t-on appris, se sont focalisés, lors d'une séance-débat, autour du rapport moral de la direction du front. Les congressistes sahraouis ont concentré leurs interrogations sur l'avenir du processus des négociations avec l'occupant marocain, sous l'égide des Nations unies. Parmi les questions phare abordées se trouve celle de l'option du retour à la lutte armée contre l'occupation marocaine. S'exprimant à ce propos, le porte-parole du 13e congrès du Front, Sidi Mohamed Omar, a encore réitéré la position du Polisario qui considère, a-t-il expliqué, que cette dernière « demeure une option stratégique auprès de la direction du Front et au sein du peuple sahraoui ». « Le Polisario détient tous les moyens pour faire valoir une telle option », a-t-il ajouté, soulignant que « l'option des armes n'est pas écartée pour concrétiser l'option de ce congrès qui a pour slogan, -l'Etat sahraoui indépendant est la solution- ». Ces derniers temps, soulignons-le, la question d'un éventuel recours aux armes comme option de lutte se fait de plus en plus présente, notamment chez les jeunes Sahraouis. Ces derniers se disent défavorables à la poursuite des négociations avec l'occupant marocain qui, estiment-ils, n'aboutissent à aucun résultat si ce n'est celui de faire perdurer le statu quo. Sidi Mohamed Omar, a affirmé, à ce propos que « les congressistes avaient exprimé leurs interrogations et préoccupations sur l'ensemble des sujets traités dans ce rapport, en focalisant en particulier sur l'avenir du processus de négociations supervisées par l'Onu » et qui est, a-t-il noté, « à l'arrêt actuellement ». Il a souligné, à ce sujet, que les réponses du secrétaire général sortant du Polisario, Mohamed Abdelaziz, allait dans le sens du contenu du rapport relatif, notamment, a-t-il précisé, à « l'engagement réitéré du Polisario à accompagner les efforts de la communauté internationale à faire avancer les négociations, dans le sens d'une solution dans le cadre des résolutions de l'Onu et du Conseil de sécurité garantissant le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination ». Le choix des négociations réitéré par le secrétaire général sortant du front, a-t-il fait savoir, « sera toujours accompagné par une intensification de l'Intifadha dans les territoires occupés ainsi que par la lutte diplomatique et médiatique engagée ». Les travaux du 13e congrès du Polisario se poursuivent au niveau des commissions. Ces dernières sont les commissions des statuts et de la Constitution, de l'Intifadha et des territoires occupés, du programme d'action ainsi que de la commission de la déclaration finale et des résolutions. Les travaux du 13e congrès du Polisario, qui ont débuté jeudi 15 décembre à Tifariti, devront se poursuivre jusqu'au 20 du même mois, avec la participation de 2.100 congressistes, dont 54 venus des territoires occupés. Il faut rappeler que le Front Polisario tient, pour la troisième fois de son histoire, son congrès dans la localité de Tifariti, située dans les territoires sahraouis libérés, à 370 km à l'est d'El-Ayoun, capitale occupée du Sahara occidental.