Un incinérateur fonctionnant au gaz naturel avec une capacité de destruction de 70 kg/ heure et une capacité de chargement de 500 kg/cycle à raison de 8 heures par jour a été inauguré, hier, à l'hôpital Bachir-Mentouri de Kouba. Inauguré sous l'égide du ministre de l'Aménagement du territoire et de l'environnement, Chérif Rahmani, et du ministre de la Santé publique et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, cet immense appareil est une opération d'un budget total de 575.000 euros dont 500.000 euros financés par le gouvernement belge et 75.000 euros financés par le gouvernement algérien. Premier du genre en Algérie, l'installation de cet incinérateur à l'hôpital de Kouba a été mûrement réfléchie par les deux parties qui ont l'intention d'intensifier la coopération dans le secteur de la santé, notamment avec le transfert de technologies et de savoir-faire et la formation des cadres et personnels médicaux et para médicaux. Destiné à la gestion des déchets de l'hôpital, cette opération pilote a été très médiatisé hier, où de nombreuses personnalités, notamment le wali d'Alger, l'ambassadeur du Royaume de Belgique à Alger, entre dans le cadre d'un programme de gestion rationnelle et écologique des déchets hospitaliers et d'activités des soins. Rahmani a précisé que « cette opération pilote vise notamment à préserver l'environnement et la santé publique et fait partie d'un plan national de traitement de déchets spéciaux hospitaliers et soins pathogènes. Il s'agit d'un exemple de coopération algéro-belge prévoyant le transfert de technologie, tandis qu'il existe un autre programme de coopération entre les deux pays (ministère des Ressources en eau) concernant le bassin d'Alger avec une convention de formation dans les métiers de l'eau ». Il ajoute que « ce projet a pour but essentiel de limiter l'émanation de déchets toxiques et se situe dans la stratégie nationale de traitement des déchets hospitaliers. Dans la phase d'incinération, la cheminée brûle l'ensemble des déchets en économisant les énergies productives par combustion. Il s'agit d'un système fonctionnant avec un filtre d'une récente technologie répondant aux normes. Aussi, un programme de formation est destiné à l'ensemble des personnels médicaux et para médicaux ». Un incinérateur fonctionnant au gaz naturel avec une capacité de destruction de 70 kg/ heure et une capacité de chargement de 500 kg/cycle à raison de 8 heures par jour a été inauguré, hier, à l'hôpital Bachir-Mentouri de Kouba. Inauguré sous l'égide du ministre de l'Aménagement du territoire et de l'environnement, Chérif Rahmani, et du ministre de la Santé publique et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, cet immense appareil est une opération d'un budget total de 575.000 euros dont 500.000 euros financés par le gouvernement belge et 75.000 euros financés par le gouvernement algérien. Premier du genre en Algérie, l'installation de cet incinérateur à l'hôpital de Kouba a été mûrement réfléchie par les deux parties qui ont l'intention d'intensifier la coopération dans le secteur de la santé, notamment avec le transfert de technologies et de savoir-faire et la formation des cadres et personnels médicaux et para médicaux. Destiné à la gestion des déchets de l'hôpital, cette opération pilote a été très médiatisé hier, où de nombreuses personnalités, notamment le wali d'Alger, l'ambassadeur du Royaume de Belgique à Alger, entre dans le cadre d'un programme de gestion rationnelle et écologique des déchets hospitaliers et d'activités des soins. Rahmani a précisé que « cette opération pilote vise notamment à préserver l'environnement et la santé publique et fait partie d'un plan national de traitement de déchets spéciaux hospitaliers et soins pathogènes. Il s'agit d'un exemple de coopération algéro-belge prévoyant le transfert de technologie, tandis qu'il existe un autre programme de coopération entre les deux pays (ministère des Ressources en eau) concernant le bassin d'Alger avec une convention de formation dans les métiers de l'eau ». Il ajoute que « ce projet a pour but essentiel de limiter l'émanation de déchets toxiques et se situe dans la stratégie nationale de traitement des déchets hospitaliers. Dans la phase d'incinération, la cheminée brûle l'ensemble des déchets en économisant les énergies productives par combustion. Il s'agit d'un système fonctionnant avec un filtre d'une récente technologie répondant aux normes. Aussi, un programme de formation est destiné à l'ensemble des personnels médicaux et para médicaux ».