Le partenariat entre la Corée du Sud et l'Algérie est au menu d'un colloque international placé sous le signe d' « un partenariat stratégique 5 ans après ». Organisé par la Forem en partenariat avec l'IDRI et le CREAD.Ce colloque qui a débuté hier au Cercle national de l'ANP de Béni Messous, devrait se poursuivre aujourd'hui à l'effet de passer en revue les expériences de développement des deux pays respectifs. Le partenariat entre la Corée du Sud et l'Algérie est au menu d'un colloque international placé sous le signe d' « un partenariat stratégique 5 ans après ». Organisé par la Forem en partenariat avec l'IDRI et le CREAD.Ce colloque qui a débuté hier au Cercle national de l'ANP de Béni Messous, devrait se poursuivre aujourd'hui à l'effet de passer en revue les expériences de développement des deux pays respectifs. L‘ouverture des travaux s‘est faite en présence de l‘ambassadeur de la Corée du Sud en Algérie, d‘un représentant du ministre des Affaires étrangères et du ministre de la PME, de l‘Industrie et de la promotion de l‘Investissement Benmerradi Mohamedi. On a souligné hier la similitude des niveaux des deux pays à leur démarrage dans les années 60 presque dans les mêmes conditions mais qui aujourd‘hui présentent des écarts énormes de telles sorte, que l‘un (l‘Algérie) se retrouve dans la catégorie des pays en voie de développement et l‘autre (la Corée du Sud) qui désormais se retrouve dans le peloton des pays développés. Dans tous les cas la Corée du Sud a trouvé en la personne du président du FCE, Réda Hamiani, un bon avocat. Se disant « donner le point de vue du patronat algérien », ce dernier devait expliquer pourquoi il est de l‘intérêt de l‘Algérie de nouer un partenariat avec la Corée du Sud. « A nos yeux a-t-il dit la Corée du Sud représente le partenaire idéal car c‘est un pays avec qui nous n‘avons pas de problème politique, qui détient la technologie et qui est prêt à la transférer ». Et d‘ajouter « c‘est une opportunité de taille qu‘il nous faut saisir. Il suffit qu‘on soit conscient et qu‘on puisse en profiter ». Et Hamiani de plaider pour « un échange entre monde industriel et entre PME-PMI » autrement dit un échange loin de l‘emprise des Etats. Bien sûr il faisait plus allusion à l‘Etat algérien qu‘à l‘Etat coréen. Il s‘est félicité du reste du partenariat entre Cevital et Samsung à Sétif et a souhaité que ce partenariat se généralise à d‘autres entreprises. Pour Hamiani la réussite de l‘Etat de la Corée du Sud ne peut s‘expliquer que par la confiance qu‘a placée celui-ci en le secteur privé et ce dès le début de l‘indépendance mettant en exergue le fait que la Corée a aidé les PME-PMI et a pu ainsi susciter l‘émergence de quatre puissants groupes que sont Samsung, LG, Daewoo et Hunday. L‘intervenant a du reste expliqué que le pays de Lee Myung-Bak « exporte aujourd‘hui pour 800 milliards de dollars contre 2 milliards pour l‘Algérie dont 1,5 milliard provient des dérivés du pétrole ». Le président du FCE a fait part des efforts de son organisation à l‘effet d‘inciter les Coréens « à prendre plus de risques en Algérie en vue de la création de la richesse et des valeurs » non sans avouer qu‘il n‘avait « pas de succès à étaler » pour l‘instant. Il semblerait d‘après ce qui se dit dans les coulisses que les Coréens n‘apprécient pas les lenteurs bureaucratiques dont est réputé le système algérien. D‘ailleurs le président du FCE le dira explicitement « on a beaucoup à apprendre des Sud Coréens, ce qui bloque, c‘est l‘administration ». « Hamiani trouve cependant un petit « défaut » aux Coréens, auxquels il a « reproché » d‘une manière polie», outre la « non maîtrise de la langue française ou anglaise » leur méconnaissance « des marchés maghrébins et africain ». Notons que ce partenariat algéro- sud- coréen sera matérialisé par la création en 2012 par le 1er centre des technologies avancées a-t-on assuré. L‘ouverture des travaux s‘est faite en présence de l‘ambassadeur de la Corée du Sud en Algérie, d‘un représentant du ministre des Affaires étrangères et du ministre de la PME, de l‘Industrie et de la promotion de l‘Investissement Benmerradi Mohamedi. On a souligné hier la similitude des niveaux des deux pays à leur démarrage dans les années 60 presque dans les mêmes conditions mais qui aujourd‘hui présentent des écarts énormes de telles sorte, que l‘un (l‘Algérie) se retrouve dans la catégorie des pays en voie de développement et l‘autre (la Corée du Sud) qui désormais se retrouve dans le peloton des pays développés. Dans tous les cas la Corée du Sud a trouvé en la personne du président du FCE, Réda Hamiani, un bon avocat. Se disant « donner le point de vue du patronat algérien », ce dernier devait expliquer pourquoi il est de l‘intérêt de l‘Algérie de nouer un partenariat avec la Corée du Sud. « A nos yeux a-t-il dit la Corée du Sud représente le partenaire idéal car c‘est un pays avec qui nous n‘avons pas de problème politique, qui détient la technologie et qui est prêt à la transférer ». Et d‘ajouter « c‘est une opportunité de taille qu‘il nous faut saisir. Il suffit qu‘on soit conscient et qu‘on puisse en profiter ». Et Hamiani de plaider pour « un échange entre monde industriel et entre PME-PMI » autrement dit un échange loin de l‘emprise des Etats. Bien sûr il faisait plus allusion à l‘Etat algérien qu‘à l‘Etat coréen. Il s‘est félicité du reste du partenariat entre Cevital et Samsung à Sétif et a souhaité que ce partenariat se généralise à d‘autres entreprises. Pour Hamiani la réussite de l‘Etat de la Corée du Sud ne peut s‘expliquer que par la confiance qu‘a placée celui-ci en le secteur privé et ce dès le début de l‘indépendance mettant en exergue le fait que la Corée a aidé les PME-PMI et a pu ainsi susciter l‘émergence de quatre puissants groupes que sont Samsung, LG, Daewoo et Hunday. L‘intervenant a du reste expliqué que le pays de Lee Myung-Bak « exporte aujourd‘hui pour 800 milliards de dollars contre 2 milliards pour l‘Algérie dont 1,5 milliard provient des dérivés du pétrole ». Le président du FCE a fait part des efforts de son organisation à l‘effet d‘inciter les Coréens « à prendre plus de risques en Algérie en vue de la création de la richesse et des valeurs » non sans avouer qu‘il n‘avait « pas de succès à étaler » pour l‘instant. Il semblerait d‘après ce qui se dit dans les coulisses que les Coréens n‘apprécient pas les lenteurs bureaucratiques dont est réputé le système algérien. D‘ailleurs le président du FCE le dira explicitement « on a beaucoup à apprendre des Sud Coréens, ce qui bloque, c‘est l‘administration ». « Hamiani trouve cependant un petit « défaut » aux Coréens, auxquels il a « reproché » d‘une manière polie», outre la « non maîtrise de la langue française ou anglaise » leur méconnaissance « des marchés maghrébins et africain ». Notons que ce partenariat algéro- sud- coréen sera matérialisé par la création en 2012 par le 1er centre des technologies avancées a-t-on assuré.