« Le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, Noureddine Moussa, a indiqué, hier, lors d'une réunion organisée avec les 48 directeurs des wilayas de l'urbanisme et de la construction (DUC), « qu'il y a à peine 30.000 logements qui sont achevés depuis la promulgation de la loi 08-15 du 20 juillet 2008 sur un total de plus de 110.000 dossiers de construction de logements sur le plan national ». « Le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, Noureddine Moussa, a indiqué, hier, lors d'une réunion organisée avec les 48 directeurs des wilayas de l'urbanisme et de la construction (DUC), « qu'il y a à peine 30.000 logements qui sont achevés depuis la promulgation de la loi 08-15 du 20 juillet 2008 sur un total de plus de 110.000 dossiers de construction de logements sur le plan national ». Il a, en outre, précisé que « ce nombre existant de logements non achevés n'est pas connu, jusqu'à présent avec exactitude ». Ainsi, il a interpellé les directeurs de l'urbanisme et de la construction à sensibiliser les citoyens par le biais des radios locales afin de venir présenter et déposer les dossiers d'achèvement de leurs constructions.Aussi, il a souligné que « la loi a prévu l'octroi de crédits financiers dans l'optique de leur permettre d'achever leurs travaux de construction. Ainsi, il a fait de l'actionnement de deux circulaires dont l'une porte sur l'achèvement des constructions collectives datant de plusieurs années, tandis que la seconde circulaire a trait à l'allégement des procédures de tout le dispositif de bout en bout ». Cette rencontre entre le ministre et les directeurs des wilayas entre dans le cadre de la mise en conformité de la loi portant sur les constructions inachevées dont la durée est de l'ordre de cinq années, mais dont le délai a expiré puisque les cinq années sont déjà presque achevées (2008-2012).« Nous avons fait une évaluation des constructions non achevées l'année précédente, et nous avons tiré des conclusions, car cette initiative va dans le sens de la résolution des problèmes des citoyens. Bien entendu, il y a des insuffisances dans les dossiers. Aujourd'hui, nous voulons réaliser une évaluation et une estimation alors que nous accordons, également, des facilités, notamment pour les dossiers techniques afin de débroussailler la situation et être, par voie de conséquence, prêts pour l'année 2013 ».Ladite loi a une durée maximale de cinq années, mais le ministre a précisé que l'Algérie est truffée de chantiers en matière de construction et il est, donc, important de quantifier les travaux ayant abouti et ceux qui ne le sont pas encore. Car, selon lui, cela va dans l'intérêt général.Auss il a indiqué que les constructions non achevées doivent être menées à terme sachant que la continuité des travaux sera bénéfique pour tout le monde, aussi bien pour les personnes concernées que pour les jeunes promoteurs dans le cadre du dispositif de l'emploi des jeunes de l'Ansej. Ainsi, cela créera une émulation chez les jeunes en créant des emplois et en stimulant les ingénieurs et les architectes qui auront l'occasion de travailler tout en encourageant la prolifération des moyens de construction.Parmi les constructions non encore achevées, on peut notamment énumérer celles ayant fait partie des plans de construction des ex-EPLF dont les chantiers sont encore embryonnaires, à titre d'exemple, nous pouvons indiquer le chantier de construction de logements semi collectifs de Aïn Taya dont les postulants ont déjà versé la moitié de la valeur du logement, soit 5 millions DA depuis quatre années, alors que rien n'a été construit, jusqu'à présent. Ce qui suscite la colère et le désespoir de ces familles qui ont fait confiance à une entreprise d'Etat, à savoir l'entreprise de promotion du logement familial (EPLF), aujourd'hui dissoute. Il a, en outre, précisé que « ce nombre existant de logements non achevés n'est pas connu, jusqu'à présent avec exactitude ». Ainsi, il a interpellé les directeurs de l'urbanisme et de la construction à sensibiliser les citoyens par le biais des radios locales afin de venir présenter et déposer les dossiers d'achèvement de leurs constructions.Aussi, il a souligné que « la loi a prévu l'octroi de crédits financiers dans l'optique de leur permettre d'achever leurs travaux de construction. Ainsi, il a fait de l'actionnement de deux circulaires dont l'une porte sur l'achèvement des constructions collectives datant de plusieurs années, tandis que la seconde circulaire a trait à l'allégement des procédures de tout le dispositif de bout en bout ». Cette rencontre entre le ministre et les directeurs des wilayas entre dans le cadre de la mise en conformité de la loi portant sur les constructions inachevées dont la durée est de l'ordre de cinq années, mais dont le délai a expiré puisque les cinq années sont déjà presque achevées (2008-2012).« Nous avons fait une évaluation des constructions non achevées l'année précédente, et nous avons tiré des conclusions, car cette initiative va dans le sens de la résolution des problèmes des citoyens. Bien entendu, il y a des insuffisances dans les dossiers. Aujourd'hui, nous voulons réaliser une évaluation et une estimation alors que nous accordons, également, des facilités, notamment pour les dossiers techniques afin de débroussailler la situation et être, par voie de conséquence, prêts pour l'année 2013 ».Ladite loi a une durée maximale de cinq années, mais le ministre a précisé que l'Algérie est truffée de chantiers en matière de construction et il est, donc, important de quantifier les travaux ayant abouti et ceux qui ne le sont pas encore. Car, selon lui, cela va dans l'intérêt général.Auss il a indiqué que les constructions non achevées doivent être menées à terme sachant que la continuité des travaux sera bénéfique pour tout le monde, aussi bien pour les personnes concernées que pour les jeunes promoteurs dans le cadre du dispositif de l'emploi des jeunes de l'Ansej. Ainsi, cela créera une émulation chez les jeunes en créant des emplois et en stimulant les ingénieurs et les architectes qui auront l'occasion de travailler tout en encourageant la prolifération des moyens de construction.Parmi les constructions non encore achevées, on peut notamment énumérer celles ayant fait partie des plans de construction des ex-EPLF dont les chantiers sont encore embryonnaires, à titre d'exemple, nous pouvons indiquer le chantier de construction de logements semi collectifs de Aïn Taya dont les postulants ont déjà versé la moitié de la valeur du logement, soit 5 millions DA depuis quatre années, alors que rien n'a été construit, jusqu'à présent. Ce qui suscite la colère et le désespoir de ces familles qui ont fait confiance à une entreprise d'Etat, à savoir l'entreprise de promotion du logement familial (EPLF), aujourd'hui dissoute.