Yennayer est en rapport direct avec les lois de la nature, à savoir le calendrier agraire. En effet, généralement lors des festivités, les hommes se rendent sur leurs terres et y exposent leurs récoltes annuelles. Le calendrier agraire a été adopté par beaucoup de peuples ayant côtoyé les Berbères. D'ailleurs, partout où ces derniers se sont sédentarisés, ils y ont exporté leur culture. Yennayer est en rapport direct avec les lois de la nature, à savoir le calendrier agraire. En effet, généralement lors des festivités, les hommes se rendent sur leurs terres et y exposent leurs récoltes annuelles. Le calendrier agraire a été adopté par beaucoup de peuples ayant côtoyé les Berbères. D'ailleurs, partout où ces derniers se sont sédentarisés, ils y ont exporté leur culture. Le jour correspondant au 12 janvier du calendrier représente une grande symbolique pour les Nords-Africains puisqu'il correspond en fait au Nouvel An amazigh «Yennayer». Yennayer est traditionnellement fêté un peu partout en Afrique du Nord. Cette fête est liée au calendrier agraire des Berbères depuis l'Antiquité. Liée au cycle des saisons, elle est célébrée dans une atmosphère de fête propre à chaque région. Pour ne pas faillir à la tradition, cette année encore, plusieurs wilayas du territoire national et à l'étranger ont concocté de riches programmes culturels et musicaux divers et riches en activités. Tizi-Ouzou, Béjaïa, Boumerdès, Bouira, Oran, Alger, Tlemcen… et la ligne est loin d'être exhaustive ont organisé diverses manifestations pour fêter comme il se doit «Yennayer». Il faut dire que chaque région a ses propres us et coutumes pour célébrer cette date du calendrier berbère. A Tizi-Ouzou, plusieurs galas artistiques sont programmés à la maison de la culture Mouloud-Mammeri ainsi qu'au sein des cités universitaires, à l'instar de Béjaïa et de Boumerdès et bien d'autres wilayas du pays qui ne veulent pas faillir aux traditions bien ancrées dans les foyers nord-africains. Dans la capitale, plus précisément au palais de la culture Moufdi-Zakaria, diverses activités culturelles, dont des prestations de troupes musicales, seront proposées au public qui souhaiterait marquer cet évènement traditionnel en public. «Cette occasion est propice pour transmettre notre culture aux jeunes générations», a affirmé la directrice du Palais de la culture sur les ondes de la Chaîne 3. A l'ouest du pays, Oran, pour sa part, a commencé les festivités de Yennayer 2962 hier pour s'étaler jusqu'au 13 de ce mois. Une manifestation qui affiche un programme varié, à l'instar d'un Salon du livre relatant l'histoire berbère d'Afrique du Nord ainsi que plusieurs expositions portant sur divers thèmes de la culture berbère. Il y aura également la projection de films et documentaires historiques ainsi que des représentations théâtrales en langue amazighe. Il est utile de signaler que ces manifestions auront lieu à la médiathèque d'Oran et sont organisées en collaboration avec le Haut commissariat à l'amazighité en partenariat avec la wilaya d'Oran. Cette date symbolique, unissant les peuples d'Afrique du Nord africain, est fêtée sous la symbolique de «la valeur de la terre». Effectivement, cette date a un rapport direct avec les lois de la nature, à savoir le calendrier agraire puisque généralement dans la foulée de la fête, les hommes se rendent sur leurs terres et exposent leurs récoltes annuelles. Le calendrier agraire a été adopté par beaucoup de peuples ayant côtoyé les Berbères. D'ailleurs, partout où les Berbères se sont sédentarisés, ils ont apporté leur culture. Le calendrier berbère démontre, si besoin est, une civilisation ancestrale, une identité millénaire dotée d'un savoir inestimable. Une légende rapporte que cette date symbolique fêterait la victoire du roi berbère Chachnaq, qui aurait réussi à refouler les Egyptiens, qui avaient tenté une énième invasion, à la frontière égyptolibyenne. Chachnaq, à la tête de son armée, a réussi à vaincre le pharaon Ramsès III. Les Pharaons ont, de tout temps, essayé vainement de conquérir les territoires berbères. Les Nord-Africains, étant installés un peu partout à travers le monde, la fête de Yennayer a de ce fait franchi les frontières d'Afrique du Nord, allant ainsi vers l'autre rive. En Europe, cette fête est fêtée chaque année de manière grandiose, à l'instar de la France où plusieurs concerts ont été organisés, à l'exemple des galas artistiques de Takfarinas et d'Aït Menguellet dont nous avons parlé sur ces mêmes colonnes. La communauté bérbère, établie au Canada, ne manquera pas, elle aussi, de célébrer Yannayer, puisqu'elle prévoit pour le 14 janvier, un spectacle organisé par le Centre amazigh de Montréal au Canada. Ce programme est très riche et largement diversifié entre musique, danse et bien d'autres animations. Les festivités se tiendront au collège Maisonneuve, Montréal, à partir de 18h. Le Nouvel An berbère, qui correspond au 12 janvier de chaque année, sera donc une nouvelle occasion donnée aux peuples nord-africains de se réconcilier, l'espace d'une journée, avec leurs racines ancestrales qui ont réussi à braver l'usure du temps et d'autres traditions impoées ou importées. Assegas amegwas... Le jour correspondant au 12 janvier du calendrier représente une grande symbolique pour les Nords-Africains puisqu'il correspond en fait au Nouvel An amazigh «Yennayer». Yennayer est traditionnellement fêté un peu partout en Afrique du Nord. Cette fête est liée au calendrier agraire des Berbères depuis l'Antiquité. Liée au cycle des saisons, elle est célébrée dans une atmosphère de fête propre à chaque région. Pour ne pas faillir à la tradition, cette année encore, plusieurs wilayas du territoire national et à l'étranger ont concocté de riches programmes culturels et musicaux divers et riches en activités. Tizi-Ouzou, Béjaïa, Boumerdès, Bouira, Oran, Alger, Tlemcen… et la ligne est loin d'être exhaustive ont organisé diverses manifestations pour fêter comme il se doit «Yennayer». Il faut dire que chaque région a ses propres us et coutumes pour célébrer cette date du calendrier berbère. A Tizi-Ouzou, plusieurs galas artistiques sont programmés à la maison de la culture Mouloud-Mammeri ainsi qu'au sein des cités universitaires, à l'instar de Béjaïa et de Boumerdès et bien d'autres wilayas du pays qui ne veulent pas faillir aux traditions bien ancrées dans les foyers nord-africains. Dans la capitale, plus précisément au palais de la culture Moufdi-Zakaria, diverses activités culturelles, dont des prestations de troupes musicales, seront proposées au public qui souhaiterait marquer cet évènement traditionnel en public. «Cette occasion est propice pour transmettre notre culture aux jeunes générations», a affirmé la directrice du Palais de la culture sur les ondes de la Chaîne 3. A l'ouest du pays, Oran, pour sa part, a commencé les festivités de Yennayer 2962 hier pour s'étaler jusqu'au 13 de ce mois. Une manifestation qui affiche un programme varié, à l'instar d'un Salon du livre relatant l'histoire berbère d'Afrique du Nord ainsi que plusieurs expositions portant sur divers thèmes de la culture berbère. Il y aura également la projection de films et documentaires historiques ainsi que des représentations théâtrales en langue amazighe. Il est utile de signaler que ces manifestions auront lieu à la médiathèque d'Oran et sont organisées en collaboration avec le Haut commissariat à l'amazighité en partenariat avec la wilaya d'Oran. Cette date symbolique, unissant les peuples d'Afrique du Nord africain, est fêtée sous la symbolique de «la valeur de la terre». Effectivement, cette date a un rapport direct avec les lois de la nature, à savoir le calendrier agraire puisque généralement dans la foulée de la fête, les hommes se rendent sur leurs terres et exposent leurs récoltes annuelles. Le calendrier agraire a été adopté par beaucoup de peuples ayant côtoyé les Berbères. D'ailleurs, partout où les Berbères se sont sédentarisés, ils ont apporté leur culture. Le calendrier berbère démontre, si besoin est, une civilisation ancestrale, une identité millénaire dotée d'un savoir inestimable. Une légende rapporte que cette date symbolique fêterait la victoire du roi berbère Chachnaq, qui aurait réussi à refouler les Egyptiens, qui avaient tenté une énième invasion, à la frontière égyptolibyenne. Chachnaq, à la tête de son armée, a réussi à vaincre le pharaon Ramsès III. Les Pharaons ont, de tout temps, essayé vainement de conquérir les territoires berbères. Les Nord-Africains, étant installés un peu partout à travers le monde, la fête de Yennayer a de ce fait franchi les frontières d'Afrique du Nord, allant ainsi vers l'autre rive. En Europe, cette fête est fêtée chaque année de manière grandiose, à l'instar de la France où plusieurs concerts ont été organisés, à l'exemple des galas artistiques de Takfarinas et d'Aït Menguellet dont nous avons parlé sur ces mêmes colonnes. La communauté bérbère, établie au Canada, ne manquera pas, elle aussi, de célébrer Yannayer, puisqu'elle prévoit pour le 14 janvier, un spectacle organisé par le Centre amazigh de Montréal au Canada. Ce programme est très riche et largement diversifié entre musique, danse et bien d'autres animations. Les festivités se tiendront au collège Maisonneuve, Montréal, à partir de 18h. Le Nouvel An berbère, qui correspond au 12 janvier de chaque année, sera donc une nouvelle occasion donnée aux peuples nord-africains de se réconcilier, l'espace d'une journée, avec leurs racines ancestrales qui ont réussi à braver l'usure du temps et d'autres traditions impoées ou importées. Assegas amegwas...