Marseille tient à sa Coupe de la Ligue, dont il est le double tenant c'est ce qu'il est venu signifier mardi à Caen en allant s'y imposer 3-0 en quart de finale, une balade qui doit autant à son sérieux qu'à la faiblesse chronique des Normands. Avec l'élimination précoce du PSG et le choc Lyon-Lille de mercredi au sein d'un plateau des quarts par ailleurs peu relevé, l'OM est bien placé pour voir une troisième fois de suite le Stade de France. Surtout si Valbuena continue à ce rythme : le "Petit" a inscrit un doublé, avec l'ouverture du score sur coup franc (7e) et le but qui a tué le match (52e), sur une passe de Morel, que Lucho a laissé filer entre ses jambes. Il s'agit rien moins que du cinquième match consécutif où le meneur de jeu marque, depuis la fameuse qualification pour les 8e de finale de la Ligue des champions arrachée en décembre à Dortmund (3-2). Entre ces deux réalisations, Rémy y est aussi allé de son but, sur une offrande d'Amalfitano (21e), et a trouvé le poteau sur un centre du même Amalfitano (49e). L'OM était privé de ses joueurs partis se préparer pour la Coupe d'Afrique des nations (le défenseur Diawara, le milieu Kaboré et les attaquants André et Jordan Ayew), ainsi que d'Alou Diarra (contracture à une cuisse), ce qui a contraint Didier Deschamps à faire monter Morel d'un cran sur le flanc gauche et à associer Cheyrou à Lucho à la récupération. Et le mécano a fonctionné. Le sérieux marseillais, une tendance nette depuis décembre, était pourtant mis à l'épreuve par les attaquants caennais, mais ceux-ci péchaient par imprécision. A l'image de Hamouma, auteur de jolis raids mais toujours conclus par des tirs non cadrés (32e, 34e, 61e). A l'inverse, les Marseillais ont su se montrer réalistes et supérieurs mentalement, en menant rapidement 2-0. Un score sévère à la pause, mais que la deuxième période a approfondi. Le Stade Malherbe, disposé en 4-3-2-1 avait pourtant choisi de densifier son milieu. Peine perdue : ce même milieu fut transpercé à loisir par l'OM, ou contourné sur les ailes. Et Caen, humilié samedi dernier par Tours (L2) en 32e de finale de Coupe de France (2-4 a.p.), enchaîne ainsi avec un huitième match d'affilée sans victoire (toutes compétitions confondues), avec la bagatelle de 17 buts encaissés... Marseille tient à sa Coupe de la Ligue, dont il est le double tenant c'est ce qu'il est venu signifier mardi à Caen en allant s'y imposer 3-0 en quart de finale, une balade qui doit autant à son sérieux qu'à la faiblesse chronique des Normands. Avec l'élimination précoce du PSG et le choc Lyon-Lille de mercredi au sein d'un plateau des quarts par ailleurs peu relevé, l'OM est bien placé pour voir une troisième fois de suite le Stade de France. Surtout si Valbuena continue à ce rythme : le "Petit" a inscrit un doublé, avec l'ouverture du score sur coup franc (7e) et le but qui a tué le match (52e), sur une passe de Morel, que Lucho a laissé filer entre ses jambes. Il s'agit rien moins que du cinquième match consécutif où le meneur de jeu marque, depuis la fameuse qualification pour les 8e de finale de la Ligue des champions arrachée en décembre à Dortmund (3-2). Entre ces deux réalisations, Rémy y est aussi allé de son but, sur une offrande d'Amalfitano (21e), et a trouvé le poteau sur un centre du même Amalfitano (49e). L'OM était privé de ses joueurs partis se préparer pour la Coupe d'Afrique des nations (le défenseur Diawara, le milieu Kaboré et les attaquants André et Jordan Ayew), ainsi que d'Alou Diarra (contracture à une cuisse), ce qui a contraint Didier Deschamps à faire monter Morel d'un cran sur le flanc gauche et à associer Cheyrou à Lucho à la récupération. Et le mécano a fonctionné. Le sérieux marseillais, une tendance nette depuis décembre, était pourtant mis à l'épreuve par les attaquants caennais, mais ceux-ci péchaient par imprécision. A l'image de Hamouma, auteur de jolis raids mais toujours conclus par des tirs non cadrés (32e, 34e, 61e). A l'inverse, les Marseillais ont su se montrer réalistes et supérieurs mentalement, en menant rapidement 2-0. Un score sévère à la pause, mais que la deuxième période a approfondi. Le Stade Malherbe, disposé en 4-3-2-1 avait pourtant choisi de densifier son milieu. Peine perdue : ce même milieu fut transpercé à loisir par l'OM, ou contourné sur les ailes. Et Caen, humilié samedi dernier par Tours (L2) en 32e de finale de Coupe de France (2-4 a.p.), enchaîne ainsi avec un huitième match d'affilée sans victoire (toutes compétitions confondues), avec la bagatelle de 17 buts encaissés...