Les corps communs de l'Education nationale, affiliés au Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE) ont décidé de reconduire, aujourd'hui, leur grève pour une semaine supplémentaire, en l'absence d'une réponse favorable à leurs doléances. Un autre débrayage de sept jours qui plonge cette corporation dans l'incertitude après le refus signifié par le ministère de tutelle de satisfaire l'une de leurs plus importantes revendications à savoir les intégrer dans le corps de l'éducation avec le même statut que les autres corporations. Pour rappel, le ministre Boubekeur Benbouzid avait coupé court à l'espoir des corps communs en refusant catégoriquement leur doléance. C'était récemment lors de sa réponse à une question d'un député à l'Assemblée populaire nationale (APN). «L'appel à la grève lancé par le SNTE la semaine dernière n'a drainé que 2 % des professionnels et des corps communs de l'éducation et n'a touché que six wilayas», avait estimé le premier responsable du secteur de l'Education nationale, alors que le syndicat concerné avance un taux de suivi de 78% de la grève à l'échelle nationale. Une réponse qui n'a pas été du goût des corps communs, d'où la décision de reconduire la grève pour une autre semaine. Une semaine qui sera ponctuée, le 23 janvier prochain, par «une journée de colère» à travers un rassemblement d'envergure devant le ministère de l'Education nationale à Alger, à se fier aux propos du chargé de communication du SNTE, Abdelhakim Ait Hamouda. Ainsi, les corps communs de l'éducation nationale composés des agents administratifs et assimilés administratifs, les agents de saisie, les secrétaires, les archivistes, les laborantins, les agents d'entretien et de sécurité, les documentalistes, les factotums, les chauffeurs, les travailleurs des cantines ainsi que les agents d'hygiène se trouvent otages d'une situation inextricable. Entre un ministère de tutelle intransigeant ne voulant céder aucunement aux pressions des syndicats du secteur et les corps communs qui revendiquent âprement leurs droits, il se trouve que des élèves en pâtissent énormément. Outre cette revendication cardinale de les intégrer dans le corps de l'Education nationale, les corps communs demandent également à bénéficier du nouveau régime indemnitaire au même titre que les autres corporations du secteur. Il s'agit des primes de risque, de mise à niveau pédagogique, de documentation et de rendement à hauteur de 40%, avec effet rétroactif à partir du 1er janvier 2008, ainsi que la généralisation de la prime de permanence estimée à 40%. Les corps communs de l'Education nationale, affiliés au Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE) ont décidé de reconduire, aujourd'hui, leur grève pour une semaine supplémentaire, en l'absence d'une réponse favorable à leurs doléances. Un autre débrayage de sept jours qui plonge cette corporation dans l'incertitude après le refus signifié par le ministère de tutelle de satisfaire l'une de leurs plus importantes revendications à savoir les intégrer dans le corps de l'éducation avec le même statut que les autres corporations. Pour rappel, le ministre Boubekeur Benbouzid avait coupé court à l'espoir des corps communs en refusant catégoriquement leur doléance. C'était récemment lors de sa réponse à une question d'un député à l'Assemblée populaire nationale (APN). «L'appel à la grève lancé par le SNTE la semaine dernière n'a drainé que 2 % des professionnels et des corps communs de l'éducation et n'a touché que six wilayas», avait estimé le premier responsable du secteur de l'Education nationale, alors que le syndicat concerné avance un taux de suivi de 78% de la grève à l'échelle nationale. Une réponse qui n'a pas été du goût des corps communs, d'où la décision de reconduire la grève pour une autre semaine. Une semaine qui sera ponctuée, le 23 janvier prochain, par «une journée de colère» à travers un rassemblement d'envergure devant le ministère de l'Education nationale à Alger, à se fier aux propos du chargé de communication du SNTE, Abdelhakim Ait Hamouda. Ainsi, les corps communs de l'éducation nationale composés des agents administratifs et assimilés administratifs, les agents de saisie, les secrétaires, les archivistes, les laborantins, les agents d'entretien et de sécurité, les documentalistes, les factotums, les chauffeurs, les travailleurs des cantines ainsi que les agents d'hygiène se trouvent otages d'une situation inextricable. Entre un ministère de tutelle intransigeant ne voulant céder aucunement aux pressions des syndicats du secteur et les corps communs qui revendiquent âprement leurs droits, il se trouve que des élèves en pâtissent énormément. Outre cette revendication cardinale de les intégrer dans le corps de l'Education nationale, les corps communs demandent également à bénéficier du nouveau régime indemnitaire au même titre que les autres corporations du secteur. Il s'agit des primes de risque, de mise à niveau pédagogique, de documentation et de rendement à hauteur de 40%, avec effet rétroactif à partir du 1er janvier 2008, ainsi que la généralisation de la prime de permanence estimée à 40%.