L'émir du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa Al Thani, est favorable à l'envoi par les pays arabes de troupes en Syrie afin de faire cesser la violence dans ce pays, selon l'extrait d'un entretien télévisé qui devait être diffusé hier aux Etats-Unis. L'émir du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa Al Thani, est favorable à l'envoi par les pays arabes de troupes en Syrie afin de faire cesser la violence dans ce pays, selon l'extrait d'un entretien télévisé qui devait être diffusé hier aux Etats-Unis. Interrogé par la chaîne CBS sur la nécessité d'envoyer des troupes arabes en Syrie, l'émir a répondu selon le texte de l'entretien : "Un certain nombre de soldats devraient se rendre sur place pour arrêter la tuerie", rapporte le journal Libération. CBS souligne que l'émir du Qatar est le premier dirigeant arabe à se prononcer publiquement en faveur de l'envoi de troupes en Syrie, où la répression des manifestations contre le régime du président Bachar al-Assad a fait au moins 5.000 morts depuis dix mois, selon les Nations unies. Les exactions se poursuivent en Syrie malgré la présence — critiquée pour son inefficacité — depuis le 26 décembre de dizaines d'observateurs arabes chargés de surveiller l'application d'un plan de sortie de crise. Le chef de la Ligue arabe, Nabil al-Arabi, a déclaré vendredi soir que la Ligue "examine en ce moment si le maintien de la mission est bénéfique, face à la poursuite des violences". Interrogé par la chaîne CBS sur la nécessité d'envoyer des troupes arabes en Syrie, l'émir a répondu selon le texte de l'entretien : "Un certain nombre de soldats devraient se rendre sur place pour arrêter la tuerie", rapporte le journal Libération. CBS souligne que l'émir du Qatar est le premier dirigeant arabe à se prononcer publiquement en faveur de l'envoi de troupes en Syrie, où la répression des manifestations contre le régime du président Bachar al-Assad a fait au moins 5.000 morts depuis dix mois, selon les Nations unies. Les exactions se poursuivent en Syrie malgré la présence — critiquée pour son inefficacité — depuis le 26 décembre de dizaines d'observateurs arabes chargés de surveiller l'application d'un plan de sortie de crise. Le chef de la Ligue arabe, Nabil al-Arabi, a déclaré vendredi soir que la Ligue "examine en ce moment si le maintien de la mission est bénéfique, face à la poursuite des violences".