Le président du Parti de la liberté et de la justice (PLJ) maintient toujours le suspense quant à la participation de son parti aux prochaines élections législatives. La question n'est "pas encore tranchée", a indiqué hier, Mohamed Saïd. "C'est la direction politique qui sera élue samedi (aujourd'hui NDLR) qui décidera de la participation du parti à cette importante échéance électorale", a déclaré Mohamed Saïd, en marge de l'ouverture des travaux du congrès constitutif du PLJ. A la question de savoir s'il était confiant quant à l'agrément de son parti, il a indiqué qu'il n'avait "pas de quoi être inquiet". "La création de notre parti ne vient pas juste pour étoffer le nombre de partis politiques existants mais sera un plus qualitatif dans la vie politique nationale", a-t-il estimé. Par ailleurs, les travaux du congrès constitutif du PLJ ont débuté hier à la Mutuelle des travailleurs de la construction à Zéralda (Alger) avec la participation de 640 délégués venus de 42 wilayas. Lors d'une allocution prononcée à l'ouverture du congrès, le coordinateur de l'instance constitutive du parti, Mohamed Saïd a souligné que l'action de sa formation politique repose sur plusieurs axes dont notamment l'édification de l'Etat de droit, la justice sociale, la modernité politique et l'efficacité économique. Il a, en outre, souhaité que les réformes politiques initiées en Algérie constituent une "nouvelle ère" dans l'histoire du pays. L'ancien candidat à la présidentielle de 2009 a appelé les militants de son parti à oeuvrer pour attirer "les compétences nationales" et les "bonnes volontés" afin de les associer à la réalisation du "projet du changement pacifique dans le cadre de la stabilité nationale". Après la séance d'ouverture, les travaux se sont poursuivis par la formation des commissions du congrès dont la commission du statut particulier et du règlement intérieur, la commission du programme politique du parti et la commission politique qui présenteront samedi aux congressistes les résultats de leurs travaux pour adoption. Les membres dirigeants du parti qui devront gérer les affaires du PLJ jusqu'à la tenue du congrès extraordinaire, qui n'aura lieu que dans le cas où les services compétents du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales lui accorde l'agrément, seront élus samedi. La séance d'ouverture des travaux du congrès s'est déroulée en présence de personnalités politiques nationales dont l'ancien président du Haut Conseil de l'Etat (HCE), Ali Kafi et l'ancien ministre Ahmed Taleb Ibrahimi. Le président du Parti de la liberté et de la justice (PLJ) maintient toujours le suspense quant à la participation de son parti aux prochaines élections législatives. La question n'est "pas encore tranchée", a indiqué hier, Mohamed Saïd. "C'est la direction politique qui sera élue samedi (aujourd'hui NDLR) qui décidera de la participation du parti à cette importante échéance électorale", a déclaré Mohamed Saïd, en marge de l'ouverture des travaux du congrès constitutif du PLJ. A la question de savoir s'il était confiant quant à l'agrément de son parti, il a indiqué qu'il n'avait "pas de quoi être inquiet". "La création de notre parti ne vient pas juste pour étoffer le nombre de partis politiques existants mais sera un plus qualitatif dans la vie politique nationale", a-t-il estimé. Par ailleurs, les travaux du congrès constitutif du PLJ ont débuté hier à la Mutuelle des travailleurs de la construction à Zéralda (Alger) avec la participation de 640 délégués venus de 42 wilayas. Lors d'une allocution prononcée à l'ouverture du congrès, le coordinateur de l'instance constitutive du parti, Mohamed Saïd a souligné que l'action de sa formation politique repose sur plusieurs axes dont notamment l'édification de l'Etat de droit, la justice sociale, la modernité politique et l'efficacité économique. Il a, en outre, souhaité que les réformes politiques initiées en Algérie constituent une "nouvelle ère" dans l'histoire du pays. L'ancien candidat à la présidentielle de 2009 a appelé les militants de son parti à oeuvrer pour attirer "les compétences nationales" et les "bonnes volontés" afin de les associer à la réalisation du "projet du changement pacifique dans le cadre de la stabilité nationale". Après la séance d'ouverture, les travaux se sont poursuivis par la formation des commissions du congrès dont la commission du statut particulier et du règlement intérieur, la commission du programme politique du parti et la commission politique qui présenteront samedi aux congressistes les résultats de leurs travaux pour adoption. Les membres dirigeants du parti qui devront gérer les affaires du PLJ jusqu'à la tenue du congrès extraordinaire, qui n'aura lieu que dans le cas où les services compétents du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales lui accorde l'agrément, seront élus samedi. La séance d'ouverture des travaux du congrès s'est déroulée en présence de personnalités politiques nationales dont l'ancien président du Haut Conseil de l'Etat (HCE), Ali Kafi et l'ancien ministre Ahmed Taleb Ibrahimi.