Les prix du pétrole poursuivaient leur hausse vendredi en fin d'échanges européens, soutenus par les craintes d'une interruption imminente des exportations iraniennes de brut vers l'Europe. Le baril de brent de la mer du Nord pour livraison en mars s'échangeait à 111,50 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 71 cents par rapport à la clôture de jeudi. Le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance progressait de 24 cents à 99,94 dollars. Après un léger recul en début d'échanges américains, après les chiffres moins bons de la croissance des Etats-Unis au quatrième trimestre 2011, les prix ont repris et "devraient enregistrer cette semaine leur première hausse hebdomadaire depuis début janvier, dopés par les menaces iraniennes sur ses exportations pétrolières vers l'Europe", pronostiquent les analystes. Les parlementaires iraniens doivent examiner ce week-end un projet de loi visant à interdire immédiatement l'exportation de pétrole vers l'Europe, en réponse à l'embargo décidé lundi par l'Union européenne (UE) contre Téhéran. Or, cet embargo de l'UE ne doit être mis en place que progressivement, d'ici au 1er juillet, afin de laisser aux pays européens les plus dépendants au brut iranien (Grèce, Espagne, Italie) le temps nécessaire pour s'assurer des approvisionnements alternatifs. Cependant, les déclarations du président iranien Mahmoud Ahmadinejad, qui s'est dit prêt jeudi à des négociations avec les grandes puissances sur son programme nucléaire de Téhéran, tempéraient quelque peu les appréhensions du marché. En outre, l'accélération plus forte qu'attendue de la production libyenne de brut atténuait également les inquiétudes sur les tensions sur l'offre. La production de pétrole en Libye atteint désormais 1,3 million de barils par jour, a annoncé jeudi la Compagnie nationale de pétrole (NOC), contre 600.000 barils en novembre. Les prix du pétrole poursuivaient leur hausse vendredi en fin d'échanges européens, soutenus par les craintes d'une interruption imminente des exportations iraniennes de brut vers l'Europe. Le baril de brent de la mer du Nord pour livraison en mars s'échangeait à 111,50 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 71 cents par rapport à la clôture de jeudi. Le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance progressait de 24 cents à 99,94 dollars. Après un léger recul en début d'échanges américains, après les chiffres moins bons de la croissance des Etats-Unis au quatrième trimestre 2011, les prix ont repris et "devraient enregistrer cette semaine leur première hausse hebdomadaire depuis début janvier, dopés par les menaces iraniennes sur ses exportations pétrolières vers l'Europe", pronostiquent les analystes. Les parlementaires iraniens doivent examiner ce week-end un projet de loi visant à interdire immédiatement l'exportation de pétrole vers l'Europe, en réponse à l'embargo décidé lundi par l'Union européenne (UE) contre Téhéran. Or, cet embargo de l'UE ne doit être mis en place que progressivement, d'ici au 1er juillet, afin de laisser aux pays européens les plus dépendants au brut iranien (Grèce, Espagne, Italie) le temps nécessaire pour s'assurer des approvisionnements alternatifs. Cependant, les déclarations du président iranien Mahmoud Ahmadinejad, qui s'est dit prêt jeudi à des négociations avec les grandes puissances sur son programme nucléaire de Téhéran, tempéraient quelque peu les appréhensions du marché. En outre, l'accélération plus forte qu'attendue de la production libyenne de brut atténuait également les inquiétudes sur les tensions sur l'offre. La production de pétrole en Libye atteint désormais 1,3 million de barils par jour, a annoncé jeudi la Compagnie nationale de pétrole (NOC), contre 600.000 barils en novembre.