Une délégation européenne est à Alger. Sa mission consiste en la préparation du terrain pour la venue des observateurs de l'Union européenne (UE) pour superviser et contrôler les élections législatives du mois de mai prochain et ce, suite à l'invitation officielle du gouvernement algérien. Ce dernier, rappelons-le, a adressé des invitations à plusieurs organisations internationales. Une délégation européenne est à Alger. Sa mission consiste en la préparation du terrain pour la venue des observateurs de l'Union européenne (UE) pour superviser et contrôler les élections législatives du mois de mai prochain et ce, suite à l'invitation officielle du gouvernement algérien. Ce dernier, rappelons-le, a adressé des invitations à plusieurs organisations internationales. Les élections législatives se profilent de plus en plus à l'horizon tant il ne reste plus que trois mois à cet important rendez-vous politique. On comprend dés lors pourquoi les préparatifs tendent à aller s'accélérant. Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a annoncé avant-hier que cette délégation du service européen d'action externe, composée de fonctionnaires et d'experts aura des discussions avec des représentants de plusieurs ministères. Durant ce séjour d'une semaine, cette délégation aura aussi, certainement, des discussions avec des partis politiques et des représentants de la société civile puisque, comme l'a précisé avant-hier le chef de la diplomatie algérienne dans une déclaration en marge de la rencontre avec le vice-ministre parlementaire au ministère des Affaires étrangères japonais M. Ryuji Yamane, «elle est libre de contacter d'autres parties si elle le juge opportun». Selon Mme Laura Baeza, chef de la délégation de l'Union européenne (UE) en Algérie, Cette délégation aura «des discussions avec l'administration algérienne sur les conditions dans lesquelles les observateurs doivent travailler». Cette mission de précurseurs élaborera un rapport préalable à la signature d'un mémorandum d'entente consignant les conditions dans lesquelles évolueront les missions d'observation. Ce mémorundum devrait, en effet, déterminer les conditions dans lesquelles les observateurs de cette organisation régionale devront effectuer leur mission. Il sera ainsi question entre les deux parties de discuter les procédures de surveillance et de contrôle du scrutin et éventuellement le nombre d'observateurs que compte dépêcher l'UE en Algérie. L'Algérie avait invité officiellement plusieurs organisations internationales, à savoir l'Union européenne (UE), l'Union africaine (UA), L'Organisation des Nations unies (ONU), l'Organisation de la conférence islamique (OCI) et la Ligue arabe, à venir superviser les élections législatives qui auront lieu dans quelques mois. La venue d'observateurs de l'UE, qui constituerait une première puisque cette organisation n'a jamais été invitée par Alger, est à même de donner plus de crédibilité à ce scrutin. En tout cas, c'est là l'expression de la volonté du président de la République, Abdelaziz Buteflika, qui avait, rappelons-le, donné instruction pour que ces observateurs puissent «travailler en toute liberté et se déplacer avec les effectifs qu'ils peuvent déployer sans contrainte aucune». S'agissant justement du nombre des observateurs, les autorités algériennes ont indiqué que cela dépend du bon vouloir de ces organisations. Il est à dire que la présence des observateurs étrangers pour superviser et contrôler le scrutin législatif est appréciée différemment par les partis politiques algériens. Certaines formations politiques refusent catégoriquement cette présence. Le Parti des travailleurs (PT) en fait partie car considérant que c'est une forme d'ingérence étrangère. Le FNA se montre lui aussi sceptique quant à l'efficacité et l'utilité de cette présence. "Le rôle des observateurs est juste pour la forme car cette présence ne donnera aucune garantie quant à la transparence des élections tant il est extrêmement difficile de pouvoir surveiller les 400 000 bureaux", dira le président du FNA. Moussa Touati, contacté hier, soutient que «ces observateurs viennent juste pour les vacances», ajoutant «qu'il faut donner le pouvoir de contrôle au peuple » .Une position que ne partage pas le RCD. Ce dernier parti a en effet toujours plaidé avec insistance pour la présence en masse d'observateurs étrangers car, pour lui, c'est le seul gage pouvant attester de la transparence des élections. Les élections législatives se profilent de plus en plus à l'horizon tant il ne reste plus que trois mois à cet important rendez-vous politique. On comprend dés lors pourquoi les préparatifs tendent à aller s'accélérant. Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a annoncé avant-hier que cette délégation du service européen d'action externe, composée de fonctionnaires et d'experts aura des discussions avec des représentants de plusieurs ministères. Durant ce séjour d'une semaine, cette délégation aura aussi, certainement, des discussions avec des partis politiques et des représentants de la société civile puisque, comme l'a précisé avant-hier le chef de la diplomatie algérienne dans une déclaration en marge de la rencontre avec le vice-ministre parlementaire au ministère des Affaires étrangères japonais M. Ryuji Yamane, «elle est libre de contacter d'autres parties si elle le juge opportun». Selon Mme Laura Baeza, chef de la délégation de l'Union européenne (UE) en Algérie, Cette délégation aura «des discussions avec l'administration algérienne sur les conditions dans lesquelles les observateurs doivent travailler». Cette mission de précurseurs élaborera un rapport préalable à la signature d'un mémorandum d'entente consignant les conditions dans lesquelles évolueront les missions d'observation. Ce mémorundum devrait, en effet, déterminer les conditions dans lesquelles les observateurs de cette organisation régionale devront effectuer leur mission. Il sera ainsi question entre les deux parties de discuter les procédures de surveillance et de contrôle du scrutin et éventuellement le nombre d'observateurs que compte dépêcher l'UE en Algérie. L'Algérie avait invité officiellement plusieurs organisations internationales, à savoir l'Union européenne (UE), l'Union africaine (UA), L'Organisation des Nations unies (ONU), l'Organisation de la conférence islamique (OCI) et la Ligue arabe, à venir superviser les élections législatives qui auront lieu dans quelques mois. La venue d'observateurs de l'UE, qui constituerait une première puisque cette organisation n'a jamais été invitée par Alger, est à même de donner plus de crédibilité à ce scrutin. En tout cas, c'est là l'expression de la volonté du président de la République, Abdelaziz Buteflika, qui avait, rappelons-le, donné instruction pour que ces observateurs puissent «travailler en toute liberté et se déplacer avec les effectifs qu'ils peuvent déployer sans contrainte aucune». S'agissant justement du nombre des observateurs, les autorités algériennes ont indiqué que cela dépend du bon vouloir de ces organisations. Il est à dire que la présence des observateurs étrangers pour superviser et contrôler le scrutin législatif est appréciée différemment par les partis politiques algériens. Certaines formations politiques refusent catégoriquement cette présence. Le Parti des travailleurs (PT) en fait partie car considérant que c'est une forme d'ingérence étrangère. Le FNA se montre lui aussi sceptique quant à l'efficacité et l'utilité de cette présence. "Le rôle des observateurs est juste pour la forme car cette présence ne donnera aucune garantie quant à la transparence des élections tant il est extrêmement difficile de pouvoir surveiller les 400 000 bureaux", dira le président du FNA. Moussa Touati, contacté hier, soutient que «ces observateurs viennent juste pour les vacances», ajoutant «qu'il faut donner le pouvoir de contrôle au peuple » .Une position que ne partage pas le RCD. Ce dernier parti a en effet toujours plaidé avec insistance pour la présence en masse d'observateurs étrangers car, pour lui, c'est le seul gage pouvant attester de la transparence des élections.