L'envoyé personnel du président français et ancien Premier ministre, Jean Pierre Raffarin, est en visite depuis hier à Alger. La visite de Raffarin s'inscrit dans le cadre de la relance du partenariat économique entre les deux pays. L'envoyé personnel du président français et ancien Premier ministre, Jean Pierre Raffarin, est en visite depuis hier à Alger. La visite de Raffarin s'inscrit dans le cadre de la relance du partenariat économique entre les deux pays. Dans un entretien au site TSA, Raffarin a expliqué que les questions qui seront abordées s'articuleront autour de «trois principaux dossiers». Il s'agit de ceux de Renault, Lafarge et Total. «Nous évoquerons, a-t-il ajouté, également des dossiers plus ponctuels sur lesquels des difficultés d'ordre administratif sont apparues au cours des derniers mois». Les autres sujets qui seront abordés ont trait à «des thématiques plus générales, comme l'approche par filières, le développement de l'esprit d'entreprise, notamment chez les jeunes et la formation professionnelle», a-t-il ajouté. Pour Raffarin sa venue à Alger est «un point d'étape important avec les autorités algériennes pour, à la fois, prendre acte des avancées et examiner les efforts restant à entreprendre pour les régler définitivement». En outre, Raffarin devra s'entretenir avec des responsables algériens, notamment avec le ministre de l'Industrie, de la PME et de la promotion de l'investissement, Mohamed Benmeradi. S'il est vrai que le partenariat algéro-français peut aujourd'hui brandir un trophée, celui du métro d'Alger, chose du reste que l'hôte de l'Algérie, n'a pas manqué de faire, les Français espèrent donc plus de compréhension et de flexibilité de la part des Algériens. Renault connaitrait des blocages, comme il se susurre ça et là ? L'officiel français réfute : «Il n'y a pas lieu de parler de blocage sur un dossier de cette ampleur». Selon lui le projet a « besoin de temps pour aboutir » et de préciser «ces discussions avancent sur un rythme tout à fait satisfaisant ». En outre, Raffarin a indiqué que l'entreprise Saint-Gobain et la compagnie d'assurances Axa, (pour ses filiales "dommages" et "assurance des personnes" sont depuis octobre dernier opérationnelles en Algérie, après qu'elles eurent obtenu l'agrément respectivement de la part du Conseil national d'investissement et du ministère des Finances. L'envoyé spécial de Sarkozy a annoncé en outre la tenue au courant de 2012 par Ubifrance de 25 rencontres d'entreprises «dans une approche plus ciblée par secteurs». 250 nouvelles PME/PMI françaises a-t-il précisé vont durant l'année «explorer de nouveaux partenariats avec des entreprises algériennes». Renault, Lafarge (cimenterie) et Total (construction d'un vapocraqueur d'éthane) dessinent à l'horizon un partenariat plus que prometteur. La mise en place d'une usine Renault de fabrication devant produire 150 000 véhicules de tourisme/an est à même d'impulser une dynamique d'implantation d'une industrie automobile en Algérie. A noter qu'un groupe d'experts de Renault s'est rendu mardi à Jijel, sur le site où est prévue la construction de l'usine destinée au montage automobile. Accompagnée de cadres du ministère algérien de l'Industrie, la délégation française, a visité le site de Bellara devant recevoir des projets d'investissement dans le domaine industriel. Mohamed Benmeradi avait déclaré en octobre que le partenariat avec Renault ne sort pas du cadre de la législation algérienne, qui prévoit un partenariat de 51-49%. Dans un entretien au site TSA, Raffarin a expliqué que les questions qui seront abordées s'articuleront autour de «trois principaux dossiers». Il s'agit de ceux de Renault, Lafarge et Total. «Nous évoquerons, a-t-il ajouté, également des dossiers plus ponctuels sur lesquels des difficultés d'ordre administratif sont apparues au cours des derniers mois». Les autres sujets qui seront abordés ont trait à «des thématiques plus générales, comme l'approche par filières, le développement de l'esprit d'entreprise, notamment chez les jeunes et la formation professionnelle», a-t-il ajouté. Pour Raffarin sa venue à Alger est «un point d'étape important avec les autorités algériennes pour, à la fois, prendre acte des avancées et examiner les efforts restant à entreprendre pour les régler définitivement». En outre, Raffarin devra s'entretenir avec des responsables algériens, notamment avec le ministre de l'Industrie, de la PME et de la promotion de l'investissement, Mohamed Benmeradi. S'il est vrai que le partenariat algéro-français peut aujourd'hui brandir un trophée, celui du métro d'Alger, chose du reste que l'hôte de l'Algérie, n'a pas manqué de faire, les Français espèrent donc plus de compréhension et de flexibilité de la part des Algériens. Renault connaitrait des blocages, comme il se susurre ça et là ? L'officiel français réfute : «Il n'y a pas lieu de parler de blocage sur un dossier de cette ampleur». Selon lui le projet a « besoin de temps pour aboutir » et de préciser «ces discussions avancent sur un rythme tout à fait satisfaisant ». En outre, Raffarin a indiqué que l'entreprise Saint-Gobain et la compagnie d'assurances Axa, (pour ses filiales "dommages" et "assurance des personnes" sont depuis octobre dernier opérationnelles en Algérie, après qu'elles eurent obtenu l'agrément respectivement de la part du Conseil national d'investissement et du ministère des Finances. L'envoyé spécial de Sarkozy a annoncé en outre la tenue au courant de 2012 par Ubifrance de 25 rencontres d'entreprises «dans une approche plus ciblée par secteurs». 250 nouvelles PME/PMI françaises a-t-il précisé vont durant l'année «explorer de nouveaux partenariats avec des entreprises algériennes». Renault, Lafarge (cimenterie) et Total (construction d'un vapocraqueur d'éthane) dessinent à l'horizon un partenariat plus que prometteur. La mise en place d'une usine Renault de fabrication devant produire 150 000 véhicules de tourisme/an est à même d'impulser une dynamique d'implantation d'une industrie automobile en Algérie. A noter qu'un groupe d'experts de Renault s'est rendu mardi à Jijel, sur le site où est prévue la construction de l'usine destinée au montage automobile. Accompagnée de cadres du ministère algérien de l'Industrie, la délégation française, a visité le site de Bellara devant recevoir des projets d'investissement dans le domaine industriel. Mohamed Benmeradi avait déclaré en octobre que le partenariat avec Renault ne sort pas du cadre de la législation algérienne, qui prévoit un partenariat de 51-49%.