La liste des nouveaux partis autorisés à tenir leurs congrès constitutifs a-t-elle été définitivement arrêtée par le ministère de l'Intérieur ? Tout porte à le croire tant, depuis presque deux semaines, le département de Daho Ould Kablia n'a délivré aucune autorisation aux partis ayant déjà déposé leurs demandes. En effet, c'était le 1er février passé lorsque le ministère de l'Intérieur avait annoncé dans un communiqué avoir délivré ce fameux sésame à six formations politiques en voie de création, ce qui a porté à dix-sept le nombre de formations politiques ayant bénéficié de cette autorisation. Car onze autres partis politiques avaient déjà, quelques jours auparavant, obtenu le feu vert du ministère leur permettant de tenir leurs congrès constitutifs. Pourtant ces onze partis ne sont pas les seuls à avoir déposé un dossier auprès des services du ministère de l'Intérieur. Est-ce à dire que les dossiers n'ayant pas obtenu l'agrément sont incomplets ? Il y a tout lieu de le croire même si certains partis concernés n'ont eu de cesse de soutenir le contraire. C'est le cas, à titre d'illustration, de l'Alliance citoyenne dont le président, Mourad Yahyaoui, avait déjà indiqué que " le dossier déposé au ministère de I'Intérieur est complet et conforme aux dispositions de la loi sur les partis». Ce parti a même fixé les dates des 21 et 22 février pour la tenue de son congrès constitutif. Le ministre de l'Intérieur s'est montré rassurant lorsqu'il a, dans ses différentes déclarations, souligné que tous les partis dont les dossiers sont conformes aux dispositions de la nouvelle loi sur les partis politiques seront autorisés à tenir leurs congrès constitutifs et pouvoir, par conséquent, participer aux prochaines élections législatives qui auront lieu le 10 mai prochain. «Il ne s'agit nullement d'une question de nombre, mais de conformité avec la loi»,a, en effet, indiqué Daho Ould Kablia comme pour dire que son département est prêt à accorder cette autorisation à tous les partis dont les dossiers sont conformes aux dispositions de la loi. Il écarte du coup toute intention d'exclure quiconque à l'exception, toutefois, de ceux qui ont une responsabilité dans «la tragédie nationale». En termes plus clairs, il s'agit des membres du Fis dissous, dont la participation à la vie politique nationale est explicitée par l'article 4 de la nouvelle loi sur les partis. Ce dernier n'autorise pas les éléments de l'ex-FIS à créer des partis politiques. Une disposition qui n'a pas été du goût de certains partis politiques, notamment ceux d'obédience islamiste. Ainsi donc la liste des nouveaux partis semble avoir été arrêtée et c'est ainsi que 17 nouveaux partis, dont certains ont déjà tenu leurs congrès constitutifs, seront autorisés à prendre part au prochain scrutin. L'on peut citer ainsi l'Union pour la démocratie et la république de Amara Benyounes, du Parti de la liberté et la justice de Mohamed Saïd, du Front de la justice et du développement de Abdellah Djaballah, du Front El Moustakbal de Abdelaziz Belaid, du Front de l'Algérie nouvelle de Djamel Benabdeslam et du Front du changement de Abdelmadjid Menasra. La liste des nouveaux partis autorisés à tenir leurs congrès constitutifs a-t-elle été définitivement arrêtée par le ministère de l'Intérieur ? Tout porte à le croire tant, depuis presque deux semaines, le département de Daho Ould Kablia n'a délivré aucune autorisation aux partis ayant déjà déposé leurs demandes. En effet, c'était le 1er février passé lorsque le ministère de l'Intérieur avait annoncé dans un communiqué avoir délivré ce fameux sésame à six formations politiques en voie de création, ce qui a porté à dix-sept le nombre de formations politiques ayant bénéficié de cette autorisation. Car onze autres partis politiques avaient déjà, quelques jours auparavant, obtenu le feu vert du ministère leur permettant de tenir leurs congrès constitutifs. Pourtant ces onze partis ne sont pas les seuls à avoir déposé un dossier auprès des services du ministère de l'Intérieur. Est-ce à dire que les dossiers n'ayant pas obtenu l'agrément sont incomplets ? Il y a tout lieu de le croire même si certains partis concernés n'ont eu de cesse de soutenir le contraire. C'est le cas, à titre d'illustration, de l'Alliance citoyenne dont le président, Mourad Yahyaoui, avait déjà indiqué que " le dossier déposé au ministère de I'Intérieur est complet et conforme aux dispositions de la loi sur les partis». Ce parti a même fixé les dates des 21 et 22 février pour la tenue de son congrès constitutif. Le ministre de l'Intérieur s'est montré rassurant lorsqu'il a, dans ses différentes déclarations, souligné que tous les partis dont les dossiers sont conformes aux dispositions de la nouvelle loi sur les partis politiques seront autorisés à tenir leurs congrès constitutifs et pouvoir, par conséquent, participer aux prochaines élections législatives qui auront lieu le 10 mai prochain. «Il ne s'agit nullement d'une question de nombre, mais de conformité avec la loi»,a, en effet, indiqué Daho Ould Kablia comme pour dire que son département est prêt à accorder cette autorisation à tous les partis dont les dossiers sont conformes aux dispositions de la loi. Il écarte du coup toute intention d'exclure quiconque à l'exception, toutefois, de ceux qui ont une responsabilité dans «la tragédie nationale». En termes plus clairs, il s'agit des membres du Fis dissous, dont la participation à la vie politique nationale est explicitée par l'article 4 de la nouvelle loi sur les partis. Ce dernier n'autorise pas les éléments de l'ex-FIS à créer des partis politiques. Une disposition qui n'a pas été du goût de certains partis politiques, notamment ceux d'obédience islamiste. Ainsi donc la liste des nouveaux partis semble avoir été arrêtée et c'est ainsi que 17 nouveaux partis, dont certains ont déjà tenu leurs congrès constitutifs, seront autorisés à prendre part au prochain scrutin. L'on peut citer ainsi l'Union pour la démocratie et la république de Amara Benyounes, du Parti de la liberté et la justice de Mohamed Saïd, du Front de la justice et du développement de Abdellah Djaballah, du Front El Moustakbal de Abdelaziz Belaid, du Front de l'Algérie nouvelle de Djamel Benabdeslam et du Front du changement de Abdelmadjid Menasra.