Les recettes fiscales de l'Algérie se sont établies à 3.437,069 mds DA en 2011, contre 3.092,1 mds DA en 2010, avec une hausse "appréciable" de la fiscalité ordinaire, indique, hier, la direction générale des impôts (DGI). Ce montant englobe les contributions directes (IRG, IBS...), les impôts sur les affaires (TVA, TIC...), les produits des douanes, les produits des domaines, les contributions indirectes et la fiscalité pétrolière. La fiscalité ordinaire s'est chiffrée à 1.907, 66 mds DA durant la même année contre 1.500 mds DA en 2010, soit une hausse de 17%, a précisé à l'APS le directeur des opérations fiscales et du recouvrement à la DGI, Issad M'hand. Cette fiscalité, qui représente la fiscalité ordinaire de l'Etat ainsi que les ressources fiscales recouvertes au profit des collectivités locales et des Fonds spéciaux, avait dépassé 1.200 milliards DA en 2009. Cette évolution positive du recouvrement de la fiscalité ordinaire, considérée comme un moyen incontournable pour la diversification des ressources de l'économie nationale, est réalisée "grâce à l'action des services de recouvrement des impôts", a-t-il affirmé. La LF 2011 tablait en effet sur une fiscalité ordinaire de 1.520 milliards DA. Selon ce responsable, la part de la fiscalité locale dans ce montant est de 359,13 mds DA, alors que celle de la DGI est de 1.306,56 mds DA. La fiscalité ordinaire budgétisée (sans la fiscalité locale) a ainsi connu une augmentation "appréciable" de 18% et un taux de réalisation de 103% par rapport aux prévisions de la LF 2011. Le recouvrement réel de la fiscalité pétrolière en 2011 s'est établi à 3.829,72 mds DA (dont 1.529,4 mds de DA budgétisés) contre 2.844 mds DA en 2010. Les recettes fiscales de l'Algérie se sont établies à 3.437,069 mds DA en 2011, contre 3.092,1 mds DA en 2010, avec une hausse "appréciable" de la fiscalité ordinaire, indique, hier, la direction générale des impôts (DGI). Ce montant englobe les contributions directes (IRG, IBS...), les impôts sur les affaires (TVA, TIC...), les produits des douanes, les produits des domaines, les contributions indirectes et la fiscalité pétrolière. La fiscalité ordinaire s'est chiffrée à 1.907, 66 mds DA durant la même année contre 1.500 mds DA en 2010, soit une hausse de 17%, a précisé à l'APS le directeur des opérations fiscales et du recouvrement à la DGI, Issad M'hand. Cette fiscalité, qui représente la fiscalité ordinaire de l'Etat ainsi que les ressources fiscales recouvertes au profit des collectivités locales et des Fonds spéciaux, avait dépassé 1.200 milliards DA en 2009. Cette évolution positive du recouvrement de la fiscalité ordinaire, considérée comme un moyen incontournable pour la diversification des ressources de l'économie nationale, est réalisée "grâce à l'action des services de recouvrement des impôts", a-t-il affirmé. La LF 2011 tablait en effet sur une fiscalité ordinaire de 1.520 milliards DA. Selon ce responsable, la part de la fiscalité locale dans ce montant est de 359,13 mds DA, alors que celle de la DGI est de 1.306,56 mds DA. La fiscalité ordinaire budgétisée (sans la fiscalité locale) a ainsi connu une augmentation "appréciable" de 18% et un taux de réalisation de 103% par rapport aux prévisions de la LF 2011. Le recouvrement réel de la fiscalité pétrolière en 2011 s'est établi à 3.829,72 mds DA (dont 1.529,4 mds de DA budgétisés) contre 2.844 mds DA en 2010.