Un premier Centre mobile national de prévention de proximité a été créé à Alger. Sa mission principale consiste à s'approcher des jeunes des quartiers qui sont en difficulté. L'objectif de ce centre itinérant composé de pédagogues, psychologues, médecins, sociologues… est d'offrir une écoute attentive à ces jeunes en mal de vivre, de les orienter, leur apporter le soutien dont ils ont besoin. Un premier Centre mobile national de prévention de proximité a été créé à Alger. Sa mission principale consiste à s'approcher des jeunes des quartiers qui sont en difficulté. L'objectif de ce centre itinérant composé de pédagogues, psychologues, médecins, sociologues… est d'offrir une écoute attentive à ces jeunes en mal de vivre, de les orienter, leur apporter le soutien dont ils ont besoin. Les chiffres officiels avancés par la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) expliquent bien l'ampleur de ce fléau en Algérie. 300.000 jeunes âgés entre 14 et 35 ans s'adonnent à la toxicomanie dont 45% de femmes. Un pays dont 70% de la population a moins de 30 ans. Véritable hécatombe pour cette tranche d'âge qui est pourtant l'avenir de notre pays. «Nous avons commencé la phase n°1 en janvier 2011 jusqu'à décembre 2011. Dans la première phase, nous avons créé 3 psycho-bus pour l'écoute des jeunes en difficulté dans leurs quartiers. 3 samu-scolaires pour combattre la violence et la drogue en milieu scolaire et la création d'une école de formation d'éducateurs. Nous sommes à 1000 éducateurs qui se déplacent et vont à la rencontre des jeunes dans les villes et quartiers», explique Abdelkrim Abidat, président de l'organisation et du Conseil national des associations de la sauvegarde de la jeunesse. Et de continuer : "Aujourd'hui nous lançons la deuxième phase avec une nouvelle création qui est ce Centre mobile de prévention de proximité." «Cette initiative est une première expérience sur le bassin méditerranéen et sur le plan national.» Le but de ce travail dont les mérites reviennent au général-major Hamel Abdelghani, directeur général de DGSN, explique M. Abitat, est de réaliser un sondage approfondi qui nous permettra de connaître les problèmes des jeunes qui s'adonnent à la toxicomanie et de réaliser une carte sociologique qui sera remise aux décideurs.» Ainsi, «la carte sociologique» sera peut-être un salut pour les jeunes car elle servira de feuille de route permettant de comprendre et de trouver des solutions aux principales préoccupations des jeunes, pourquoi ils se droguent, pourquoi ils s'immolent, pourquoi il y a des haragas, des agressions, du vol. Notons qu'à l'intérieur de cette caravane itinérante appelée psycho-bus, des spécialistes sont à la disposition des jeunes qui désirent exprimer leur souffrance morale, leurs émotions, leurs problèmes… et les rêves qui les animent, pourquoi pas ? Une cure de désintoxication est également prévue dans le cadre de l'article numéro10 de la loi relative à la prévention. La demande d'aide des parents est toujours préoccupante, pour cela un numéro d'un centre d'appel, d'écoute, de conseils et d'orientation est mis à leur disposition : 021 63 16 98. Les chiffres officiels avancés par la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) expliquent bien l'ampleur de ce fléau en Algérie. 300.000 jeunes âgés entre 14 et 35 ans s'adonnent à la toxicomanie dont 45% de femmes. Un pays dont 70% de la population a moins de 30 ans. Véritable hécatombe pour cette tranche d'âge qui est pourtant l'avenir de notre pays. «Nous avons commencé la phase n°1 en janvier 2011 jusqu'à décembre 2011. Dans la première phase, nous avons créé 3 psycho-bus pour l'écoute des jeunes en difficulté dans leurs quartiers. 3 samu-scolaires pour combattre la violence et la drogue en milieu scolaire et la création d'une école de formation d'éducateurs. Nous sommes à 1000 éducateurs qui se déplacent et vont à la rencontre des jeunes dans les villes et quartiers», explique Abdelkrim Abidat, président de l'organisation et du Conseil national des associations de la sauvegarde de la jeunesse. Et de continuer : "Aujourd'hui nous lançons la deuxième phase avec une nouvelle création qui est ce Centre mobile de prévention de proximité." «Cette initiative est une première expérience sur le bassin méditerranéen et sur le plan national.» Le but de ce travail dont les mérites reviennent au général-major Hamel Abdelghani, directeur général de DGSN, explique M. Abitat, est de réaliser un sondage approfondi qui nous permettra de connaître les problèmes des jeunes qui s'adonnent à la toxicomanie et de réaliser une carte sociologique qui sera remise aux décideurs.» Ainsi, «la carte sociologique» sera peut-être un salut pour les jeunes car elle servira de feuille de route permettant de comprendre et de trouver des solutions aux principales préoccupations des jeunes, pourquoi ils se droguent, pourquoi ils s'immolent, pourquoi il y a des haragas, des agressions, du vol. Notons qu'à l'intérieur de cette caravane itinérante appelée psycho-bus, des spécialistes sont à la disposition des jeunes qui désirent exprimer leur souffrance morale, leurs émotions, leurs problèmes… et les rêves qui les animent, pourquoi pas ? Une cure de désintoxication est également prévue dans le cadre de l'article numéro10 de la loi relative à la prévention. La demande d'aide des parents est toujours préoccupante, pour cela un numéro d'un centre d'appel, d'écoute, de conseils et d'orientation est mis à leur disposition : 021 63 16 98.