Le Chef de l'Etat a déclaré depuis Oran, que les médias peuvent être "avec vous ou contre vous". "Ils seront avec vous si vous faites le bon choix et si le peuple exprime, comme à son accoutumée, son rejet de toute ingérence étrangère dans ses affaires internes", a expliqué le Chef de l'Etat qui a ajouté que "la fidélité au message des martyrs implique d'éviter à l'Algérie l'ingérence étrangère dans ses affaires internes. "Nul n'a le droit de se jouer de la crédibilité et de l'indépendance du pays", a martelé le Chef de l'Etat. "Le moment est crucial et c'est en connaissance de cause que je l'ai considéré aussi important que le 1er Novembre 1954". A mon accession au pouvoir en 1999, a rappelé le président Bouteflika, "le pays croulait sous le poids de la dette dont l'impact sur les plans interne et externe risquait de compromettre son indépendance et sa souveraineté". "L'Algérie s'est libérée de cette dette grâce au peuple algérien", a-t-il ajouté rappelant les efforts consentis pour le rétablissement de la sécurité et de la stabilité dans le pays. "Il est temps de nous réconcilier avec nous-mêmes et de connaître nos droits et nos devoirs", a-t-il dit s'interrogeant sur l'utilité de la Constitution "si nous restons attachés aux droits sans les devoirs". S'agissant de la jeunesse, le Chef de l'Etat a affirmé que les jeunes d'aujourd'hui ont "plus de chance" que leurs aînés qui ont souffert des affres du colonialisme. "Le peuple algérien a une responsabilité collective mais son avenir repose sur la jeunesse", a-t-il insisté soulignant que "si le peuple fait le bon choix nous avons des raisons d'être optimistes quant à l'avenir sinon que Dieu nous préserve du pire". Le Chef de l'Etat a déclaré depuis Oran, que les médias peuvent être "avec vous ou contre vous". "Ils seront avec vous si vous faites le bon choix et si le peuple exprime, comme à son accoutumée, son rejet de toute ingérence étrangère dans ses affaires internes", a expliqué le Chef de l'Etat qui a ajouté que "la fidélité au message des martyrs implique d'éviter à l'Algérie l'ingérence étrangère dans ses affaires internes. "Nul n'a le droit de se jouer de la crédibilité et de l'indépendance du pays", a martelé le Chef de l'Etat. "Le moment est crucial et c'est en connaissance de cause que je l'ai considéré aussi important que le 1er Novembre 1954". A mon accession au pouvoir en 1999, a rappelé le président Bouteflika, "le pays croulait sous le poids de la dette dont l'impact sur les plans interne et externe risquait de compromettre son indépendance et sa souveraineté". "L'Algérie s'est libérée de cette dette grâce au peuple algérien", a-t-il ajouté rappelant les efforts consentis pour le rétablissement de la sécurité et de la stabilité dans le pays. "Il est temps de nous réconcilier avec nous-mêmes et de connaître nos droits et nos devoirs", a-t-il dit s'interrogeant sur l'utilité de la Constitution "si nous restons attachés aux droits sans les devoirs". S'agissant de la jeunesse, le Chef de l'Etat a affirmé que les jeunes d'aujourd'hui ont "plus de chance" que leurs aînés qui ont souffert des affres du colonialisme. "Le peuple algérien a une responsabilité collective mais son avenir repose sur la jeunesse", a-t-il insisté soulignant que "si le peuple fait le bon choix nous avons des raisons d'être optimistes quant à l'avenir sinon que Dieu nous préserve du pire".