Le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, a indiqué, hier, à Oran, que le potentiel national en gaz de schiste est "comparable aux plus importants gisements américains ". «Les résultats préliminaires de notre évaluation du potentiel de gaz non conventionnels et notamment de gaz de schiste indiquent que le potentiel est au moins comparable aux plus importants gisements américains ", a souligné le ministre, dans l'allocution qu'il a prononcée à l'ouverture du workshop sur le gaz de schiste. Le ministre a relevé "l'importance" de développer des partenariats avec "tous les acteurs intéressés et qui disposent de la maîtrise technologique nécessaire au développement de ces ressources dans des conditions optimales ". «Aujourd'hui, nous travaillons avec des partenaires qui disposent de l'expertise nécessaire, dans la phase d'approfondissement des études d'évaluation du potentiel très prometteur des gaz non conventionnels", a précisé le ministre. "Il s'agit là d'une nouvelle expérience pour nous, que nous sommes prêts à partager avec les entreprises qui ont démontré leur savoir-faire dans ce domaine", a encore ajouté M. Youcef en rappelant "qu' une vaste réflexion sur les réformes règlementaires a été lancée pour adopter un certain nombre de mesures incitatives dans le but d'intensifier la prospection, y compris dans l'offshore et les zones peu connues ." Dans ce contexte, le ministre a souligné que le secteur pétrolier et gazier "offre des domaines très prometteurs pour l'investissement, étant donné le potentiel considérable et les opportunités liés à un marché local en forte croissance et à une position de choix sur les marchés régionaux et internationaux." Ce workshop international, qui se déroule au centre des conventions "Mohamed Benahmed " d'Oran, voit la participation d'experts et spécialistes en gaz de schiste, venus d'Afrique, d'Europe et d'Amérique, en plus des chercheurs nationaux. De grands groupes internationaux tels que Sonatrach, Statoil, Repsol prennent également part à cette rencontre de deux jours. Les participants doivent évaluer les sources existantes de gaz de schiste et aborder les stratégies adoptées par les Etats en matière d'exploitation de cette richesse énergétique, qui s'avère prometteuse. Le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, a indiqué, hier, à Oran, que le potentiel national en gaz de schiste est "comparable aux plus importants gisements américains ". «Les résultats préliminaires de notre évaluation du potentiel de gaz non conventionnels et notamment de gaz de schiste indiquent que le potentiel est au moins comparable aux plus importants gisements américains ", a souligné le ministre, dans l'allocution qu'il a prononcée à l'ouverture du workshop sur le gaz de schiste. Le ministre a relevé "l'importance" de développer des partenariats avec "tous les acteurs intéressés et qui disposent de la maîtrise technologique nécessaire au développement de ces ressources dans des conditions optimales ". «Aujourd'hui, nous travaillons avec des partenaires qui disposent de l'expertise nécessaire, dans la phase d'approfondissement des études d'évaluation du potentiel très prometteur des gaz non conventionnels", a précisé le ministre. "Il s'agit là d'une nouvelle expérience pour nous, que nous sommes prêts à partager avec les entreprises qui ont démontré leur savoir-faire dans ce domaine", a encore ajouté M. Youcef en rappelant "qu' une vaste réflexion sur les réformes règlementaires a été lancée pour adopter un certain nombre de mesures incitatives dans le but d'intensifier la prospection, y compris dans l'offshore et les zones peu connues ." Dans ce contexte, le ministre a souligné que le secteur pétrolier et gazier "offre des domaines très prometteurs pour l'investissement, étant donné le potentiel considérable et les opportunités liés à un marché local en forte croissance et à une position de choix sur les marchés régionaux et internationaux." Ce workshop international, qui se déroule au centre des conventions "Mohamed Benahmed " d'Oran, voit la participation d'experts et spécialistes en gaz de schiste, venus d'Afrique, d'Europe et d'Amérique, en plus des chercheurs nationaux. De grands groupes internationaux tels que Sonatrach, Statoil, Repsol prennent également part à cette rencontre de deux jours. Les participants doivent évaluer les sources existantes de gaz de schiste et aborder les stratégies adoptées par les Etats en matière d'exploitation de cette richesse énergétique, qui s'avère prometteuse.