Les cours du pétrole étaient stables jeudi matin en Asie, alors que les sanctions occidentales contre l'Iran freinent les exportations de brut du deuxième plus gros exportateur de l'Opep, selon les analystes. Le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en avril cédait 1 cent, à 106,15 USD, dans les échanges électroniques du matin. Le Brent de la mer du Nord pour livraison à même échéance reculait de 2 cents à 124,10 USD. "Les livraisons de pétrole iranien pourraient avoir reculé de 25% maintenant que les menaces verbales (de sanctions contre l'Iran) ont été remplacées par des actes. Tant que cette prime de risque existe, nous continuerons d'avoir une pression à la hausse", a déclaré Justin Harper, analyste chez IG Markets. Les Etats-Unis et l'Europe soupçonnent Téhéran de vouloir fabriquer la bombe atomique sous le couvert de son programme nucléaire civil, ce que dément l'Iran. Pour faire fléchir la République islamique, ils ont adopté de nombreuses sanctions, notamment dans le secteur pétrolier. Avant ces sanctions, l'Iran était le deuxième exportateur de brut au sein de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), après l'Arabie Saoudite, et le troisième mondial, derrière l'Arabie Saoudite et la Russie. La veille, les prix du pétrole avaient rebondi. Le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en avril a pris 1,46 dollar par rapport à la fermeture de mardi, pour finir à 106,16 dollars le baril, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril a clôturé à 124,12 dollars, en hausse de 2,14 dollars. Les cours du pétrole étaient stables jeudi matin en Asie, alors que les sanctions occidentales contre l'Iran freinent les exportations de brut du deuxième plus gros exportateur de l'Opep, selon les analystes. Le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en avril cédait 1 cent, à 106,15 USD, dans les échanges électroniques du matin. Le Brent de la mer du Nord pour livraison à même échéance reculait de 2 cents à 124,10 USD. "Les livraisons de pétrole iranien pourraient avoir reculé de 25% maintenant que les menaces verbales (de sanctions contre l'Iran) ont été remplacées par des actes. Tant que cette prime de risque existe, nous continuerons d'avoir une pression à la hausse", a déclaré Justin Harper, analyste chez IG Markets. Les Etats-Unis et l'Europe soupçonnent Téhéran de vouloir fabriquer la bombe atomique sous le couvert de son programme nucléaire civil, ce que dément l'Iran. Pour faire fléchir la République islamique, ils ont adopté de nombreuses sanctions, notamment dans le secteur pétrolier. Avant ces sanctions, l'Iran était le deuxième exportateur de brut au sein de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), après l'Arabie Saoudite, et le troisième mondial, derrière l'Arabie Saoudite et la Russie. La veille, les prix du pétrole avaient rebondi. Le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en avril a pris 1,46 dollar par rapport à la fermeture de mardi, pour finir à 106,16 dollars le baril, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril a clôturé à 124,12 dollars, en hausse de 2,14 dollars.