Autre question qui provoque des remous. Le gel au niveau de l'Assemblée populaire nationale (APN) de la loi criminalisant le colonialisme français. Saïd Abadou a émis le vœu «de voir le prochain Parlement accorder un grand intérêt à ce projet de loi et l'adopter». A en croire le SG de l'ONM, il n'y a pas doute que la loi criminalisant le colonialisme français a de fortes chances de passer l'écueil de l'APN. Son argument : les futurs députés «seront élus dans le cadre de la transparence et la régularité». Le secrétaire général de l'ONM fait la part des choses. Il explique : la loi criminalisant le colonialisme français «ne constitue pas une atteinte à l'Etat français mais une réaction à la loi glorifiant le colonialisme français, adoptée par le parlement français en 2005». Il souligne par ailleurs que le congrès «accorde un grand intérêt à l'écriture de l'histoire de la guerre de Libération nationale et du mouvement national à travers les témoignages des moudjahidine et à la réécriture des livres scolaires d'histoire». Dans ce cadre, il estime que cet intérêt «nous pousse à allouer un budget spécial aux instituts algériens d'histoire afin de les encourager à effectuer davantage de recherches sur l'histoire de l'Algérie ». Autre question qui provoque des remous. Le gel au niveau de l'Assemblée populaire nationale (APN) de la loi criminalisant le colonialisme français. Saïd Abadou a émis le vœu «de voir le prochain Parlement accorder un grand intérêt à ce projet de loi et l'adopter». A en croire le SG de l'ONM, il n'y a pas doute que la loi criminalisant le colonialisme français a de fortes chances de passer l'écueil de l'APN. Son argument : les futurs députés «seront élus dans le cadre de la transparence et la régularité». Le secrétaire général de l'ONM fait la part des choses. Il explique : la loi criminalisant le colonialisme français «ne constitue pas une atteinte à l'Etat français mais une réaction à la loi glorifiant le colonialisme français, adoptée par le parlement français en 2005». Il souligne par ailleurs que le congrès «accorde un grand intérêt à l'écriture de l'histoire de la guerre de Libération nationale et du mouvement national à travers les témoignages des moudjahidine et à la réécriture des livres scolaires d'histoire». Dans ce cadre, il estime que cet intérêt «nous pousse à allouer un budget spécial aux instituts algériens d'histoire afin de les encourager à effectuer davantage de recherches sur l'histoire de l'Algérie ».