La première journée de grève à laquelle a appelé le Conseil national des inspecteurs pédagogiques du cycle primaire affilié à l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (Unpef), a enregistré un taux de participation allant de 50 % à 91 % au niveau national, a indiqué ce conseil dans un communiqué publié, hier, sur son site Internet. L'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (Unpef) a déploré, dans un communiqué publié hier sur son site Internet, que les discussions entre les partenaires sociaux et le ministère de l'Education nationale aient été concentrées sur ce qu'ils ont qualifié de «brouillon», préparé par le ministère de tutelle et non pas sur le traitement de fond des amendements nécessaires à la loi de base. Hier, une réunion de travail a eu lieu entre les partenaires sociaux et le ministère de l'Education nationale. Objectif de cette réunion : la présentation du statut remis par la Fonction publique au ministère. Lequel statut, a-t-on appris, n'a pas été du goût des partenaires sociaux du secteur de l'Education nationale. Les inspecteurs du primaire réclament une classification commune pour les inspecteurs des trois paliers et se disent être lésés par rapport à leurs collègues des autres cycles. Le conseil déplore, également, «les menaces et les pressions pratiquées par certains directeurs d'établissements scolaires à l'égard des grévistes». Il indiquera dans son communiqué que «les menaces de ponctions sur salaires des corps communs, les OP et agents de sécurité ne font que jeter de l'huile sur le brasier», avant de poursuivre, «nonobstant ces pressions, les corps communs, les OP et les agents de sécurité ne comptent en aucun cas faire marche arrière». Les autorités concernées ont totalement ignoré, ajoute-t-on, les principales revendications des employés de ce corps. Ce qui, précise l'Unpef dans son communiqué, la mène à ne pas abandonner ses revendications initiales. L'Unpef, précise-t-on de même source, appelle à l'intervention personnelle du ministre de l'Education nationale pour régler cette situation. A signaler que ce mouvement maintient son appel à la grève. A noter que le Conseil national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest) et le Conseil des lycées d'Algérie (CLA) ont annoncé un mouvement de grève national qui débutera, aujourd'hui. Le Syndicat national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest), entamera, lui, une grève le 17 avril prochain. La première journée de grève à laquelle a appelé le Conseil national des inspecteurs pédagogiques du cycle primaire affilié à l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (Unpef), a enregistré un taux de participation allant de 50 % à 91 % au niveau national, a indiqué ce conseil dans un communiqué publié, hier, sur son site Internet. L'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (Unpef) a déploré, dans un communiqué publié hier sur son site Internet, que les discussions entre les partenaires sociaux et le ministère de l'Education nationale aient été concentrées sur ce qu'ils ont qualifié de «brouillon», préparé par le ministère de tutelle et non pas sur le traitement de fond des amendements nécessaires à la loi de base. Hier, une réunion de travail a eu lieu entre les partenaires sociaux et le ministère de l'Education nationale. Objectif de cette réunion : la présentation du statut remis par la Fonction publique au ministère. Lequel statut, a-t-on appris, n'a pas été du goût des partenaires sociaux du secteur de l'Education nationale. Les inspecteurs du primaire réclament une classification commune pour les inspecteurs des trois paliers et se disent être lésés par rapport à leurs collègues des autres cycles. Le conseil déplore, également, «les menaces et les pressions pratiquées par certains directeurs d'établissements scolaires à l'égard des grévistes». Il indiquera dans son communiqué que «les menaces de ponctions sur salaires des corps communs, les OP et agents de sécurité ne font que jeter de l'huile sur le brasier», avant de poursuivre, «nonobstant ces pressions, les corps communs, les OP et les agents de sécurité ne comptent en aucun cas faire marche arrière». Les autorités concernées ont totalement ignoré, ajoute-t-on, les principales revendications des employés de ce corps. Ce qui, précise l'Unpef dans son communiqué, la mène à ne pas abandonner ses revendications initiales. L'Unpef, précise-t-on de même source, appelle à l'intervention personnelle du ministre de l'Education nationale pour régler cette situation. A signaler que ce mouvement maintient son appel à la grève. A noter que le Conseil national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest) et le Conseil des lycées d'Algérie (CLA) ont annoncé un mouvement de grève national qui débutera, aujourd'hui. Le Syndicat national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest), entamera, lui, une grève le 17 avril prochain.