Le Front des forces socialistes (FFS) entame sa dernière ligne droite avant de s'engager dans la campagne électorale en perspective des prochaines élections législatives. Il a procédé hier, à Alger, à la présentation des têtes de listes des 42 wilayas retenues pour la course à la députation. Les candidats du plus vieux parti d'opposition se sont succédé en effet à la tribune de la salle «Sierra Maestra» pour prêter serment auprès d'une nombreuse assistance constituée de militants et sympathisants du parti. Les différents intervenants, dont les trois femmes chapeautant les listes des wilayas de Biskra, Oum El-Bouaghi et Constantine, cette derniére étant la fille de l'ancien Chef du gouvernement, Mouloud Hamrouche, se sont fendus de déclarations à l'effigie du «zaim» du FFS, tout en focalisant leurs propos sur la mobilisation citoyenne et une digne représentation des Algériens dans la future Assemblée populaire nationale. Dans son allocution d'ouverture, le premier secrétaire national du parti, Ali Laskri, néanmoins tête de liste de la wilaya de Boumerdès, a réitéré les lignes directrices et les objectifs majeurs qui ont conduit le parti de Hocine Ait Ahmed à participer au prochain scrutin après plusieurs années de boycott. Rappelant «la somme de malheurs et de souffrances» endurés par le peuple algérien dans sa quête de la liberté et de la démocratie, Ali Laskri a exhorté les militants du parti, notamment les candidats à la députation à agir avec «une plus grande fermeté et une pédagogie militante», dans l'objectif majeur est de «refuser l'intimidation morale et politique qui voudrait nous imposer un autre agenda, une autre vision et un autre programme que celui que nous avons assigné publiquement à cette étape». De son côté, l'ex- président de la Ligue algérienne des droits de l'homme (LADDH), Mustapha Bouchachi, tête de liste dans la capitale, a, un peu plus longuement, expliqué la «tactique» du FFS et «le choix souverain» de prendre part au scrutin du 10 mai. «Notre participation ne consiste pas à sauver le système, comme le disent certains, mais pour éviter au pays de sombrer dans la violence qui justifierait amplement l'intervention étrangère», a-t-il martelé. Et de rappeler la nécessité d'insuffler une dynamique nouvelle dans la vie politique, qui est le thème phare de la campagne électorale du FFS pour les prochaines législatives. «On ira au Parlement pour arracher les droits des citoyens et briser le mur de la peur», a indiqué de son côté le premier secrétaire, Ali Laskri, tout en promettant de présenter une «alternative démocratique» de changement auprès des citoyens. Donc, le plus vieux parti d'opposition affûte ses armes à la veille de l'entame officielle de la campagne électorale, qu'il compte aborder avec un programme des plus riches. Le Front des forces socialistes (FFS) entame sa dernière ligne droite avant de s'engager dans la campagne électorale en perspective des prochaines élections législatives. Il a procédé hier, à Alger, à la présentation des têtes de listes des 42 wilayas retenues pour la course à la députation. Les candidats du plus vieux parti d'opposition se sont succédé en effet à la tribune de la salle «Sierra Maestra» pour prêter serment auprès d'une nombreuse assistance constituée de militants et sympathisants du parti. Les différents intervenants, dont les trois femmes chapeautant les listes des wilayas de Biskra, Oum El-Bouaghi et Constantine, cette derniére étant la fille de l'ancien Chef du gouvernement, Mouloud Hamrouche, se sont fendus de déclarations à l'effigie du «zaim» du FFS, tout en focalisant leurs propos sur la mobilisation citoyenne et une digne représentation des Algériens dans la future Assemblée populaire nationale. Dans son allocution d'ouverture, le premier secrétaire national du parti, Ali Laskri, néanmoins tête de liste de la wilaya de Boumerdès, a réitéré les lignes directrices et les objectifs majeurs qui ont conduit le parti de Hocine Ait Ahmed à participer au prochain scrutin après plusieurs années de boycott. Rappelant «la somme de malheurs et de souffrances» endurés par le peuple algérien dans sa quête de la liberté et de la démocratie, Ali Laskri a exhorté les militants du parti, notamment les candidats à la députation à agir avec «une plus grande fermeté et une pédagogie militante», dans l'objectif majeur est de «refuser l'intimidation morale et politique qui voudrait nous imposer un autre agenda, une autre vision et un autre programme que celui que nous avons assigné publiquement à cette étape». De son côté, l'ex- président de la Ligue algérienne des droits de l'homme (LADDH), Mustapha Bouchachi, tête de liste dans la capitale, a, un peu plus longuement, expliqué la «tactique» du FFS et «le choix souverain» de prendre part au scrutin du 10 mai. «Notre participation ne consiste pas à sauver le système, comme le disent certains, mais pour éviter au pays de sombrer dans la violence qui justifierait amplement l'intervention étrangère», a-t-il martelé. Et de rappeler la nécessité d'insuffler une dynamique nouvelle dans la vie politique, qui est le thème phare de la campagne électorale du FFS pour les prochaines législatives. «On ira au Parlement pour arracher les droits des citoyens et briser le mur de la peur», a indiqué de son côté le premier secrétaire, Ali Laskri, tout en promettant de présenter une «alternative démocratique» de changement auprès des citoyens. Donc, le plus vieux parti d'opposition affûte ses armes à la veille de l'entame officielle de la campagne électorale, qu'il compte aborder avec un programme des plus riches.