Les trois partis de «l'Alliance pour l'Algérie verte» sont favorables à une amnistie générale. «On veut promouvoir la réconciliation nationale en une amnistie générale», a, en effet soutenu Fateh Rebai, secrétaire général du mouvement Enahda, avant d'ajouter que «nous voulons que tous les Algériens aient leurs droits». Fateh Rebai, qui s'exprimait hier lors d'une conférence de presse animée conjointement avec Bouguerra Soltani, président du MSP et Hamlaoui Akouchi, secrétaire général du mouvement El Islah, dira aussi, en réponse à une question sur la position de «L'Alliance pour l'Algérie verte» sur un éventuel retour du FIS dissous sur la scène politique nationale, que «la réconciliation nationale signifie qu'il n'y a ni vainqueur ni vaincu. D'où la nécessité du pardon entre tous les Algériens». En somme, pour le conférencier, le FIS dissous a sa place sur la scène nationale. Tout porte à croire que cette question sera un des thèmes de la campagne électorale de cette coalition qui compte ainsi, séduire l'électorat du FIS dissous. Une campagne électorale qui sera entamée, dès aujourd'hui, à partir de la ville de Constantine. «Ce choix n'est pas fortuit car, pour nous, Constantine symbolise la ville de Ben Badis, le président de l'Association des oulémas, ce d'autant que cela coïncide avec Youm El Ilm», a indiqué Bouguerra Soltani , le président du MSP. Le meeting de Constantine sera animé par les trois leaders qui auront aussi, selon le programme de la campagne électorale, à animer conjointement 31 autres meetings. La coalition a présenté, hier, les grandes lignes de son programme électoral. «Ce programme a tous les mérites d'être un programme d'Etat», dira Bouguerra Soltani avant de préciser que «ce programme est réaliste et ambitieux car l'Algérie dispose de beaucoup d'atouts, dont, notamment, des réserves de changes importantes». Pour le conférencier, la nouvelle Constitution constitue la première priorité. «Nous sommes pour un système parlementaire car nous voulons que le pouvoir soit aux mains du peuple. Avec ce système, le gouvernement est responsable devant le Parlement». Et d'ajouter que «nous voulons l'instauration de la deuxième République». Fateh Rebai dira de son côté, dans ce même contexte, que «nous allons réviser toutes les lois organiques, à l'exemple de la loi sur l'information qui, de notre point de vue , a consacré un net recul par rapport à certains acquis». Bouguerra Soltani a aussi critiqué les adversaires de l'Alliance en soulignant que «ceux qui disent que nous n'allons pas permette une victoire des islamistes ne sont pas des démocrates». Dans les cinq priorités autour desquelles s'articule le programme de la coalition, la priorité économique occupe une place de choix. Sur ce plan en effet la coalition vise à relancer l'économie et à lutter contre le chômage. Le programme s'articule autour de 43 axes et 718 mesures toutes au service de la réalisation des objectifs de ces priorités. Enfin, en marge de la conférence de presse, qui s'est tenue au siège du MSP, Bouguerra dira que «rares sont les noms de nos candidats qui ont été éliminés des listes par l'administration, mais la justice devant laquelle on a fait recours les a réhabilités. Je tiens à dire que les magistrats ont été neutres et indépendants.» Les trois partis de «l'Alliance pour l'Algérie verte» sont favorables à une amnistie générale. «On veut promouvoir la réconciliation nationale en une amnistie générale», a, en effet soutenu Fateh Rebai, secrétaire général du mouvement Enahda, avant d'ajouter que «nous voulons que tous les Algériens aient leurs droits». Fateh Rebai, qui s'exprimait hier lors d'une conférence de presse animée conjointement avec Bouguerra Soltani, président du MSP et Hamlaoui Akouchi, secrétaire général du mouvement El Islah, dira aussi, en réponse à une question sur la position de «L'Alliance pour l'Algérie verte» sur un éventuel retour du FIS dissous sur la scène politique nationale, que «la réconciliation nationale signifie qu'il n'y a ni vainqueur ni vaincu. D'où la nécessité du pardon entre tous les Algériens». En somme, pour le conférencier, le FIS dissous a sa place sur la scène nationale. Tout porte à croire que cette question sera un des thèmes de la campagne électorale de cette coalition qui compte ainsi, séduire l'électorat du FIS dissous. Une campagne électorale qui sera entamée, dès aujourd'hui, à partir de la ville de Constantine. «Ce choix n'est pas fortuit car, pour nous, Constantine symbolise la ville de Ben Badis, le président de l'Association des oulémas, ce d'autant que cela coïncide avec Youm El Ilm», a indiqué Bouguerra Soltani , le président du MSP. Le meeting de Constantine sera animé par les trois leaders qui auront aussi, selon le programme de la campagne électorale, à animer conjointement 31 autres meetings. La coalition a présenté, hier, les grandes lignes de son programme électoral. «Ce programme a tous les mérites d'être un programme d'Etat», dira Bouguerra Soltani avant de préciser que «ce programme est réaliste et ambitieux car l'Algérie dispose de beaucoup d'atouts, dont, notamment, des réserves de changes importantes». Pour le conférencier, la nouvelle Constitution constitue la première priorité. «Nous sommes pour un système parlementaire car nous voulons que le pouvoir soit aux mains du peuple. Avec ce système, le gouvernement est responsable devant le Parlement». Et d'ajouter que «nous voulons l'instauration de la deuxième République». Fateh Rebai dira de son côté, dans ce même contexte, que «nous allons réviser toutes les lois organiques, à l'exemple de la loi sur l'information qui, de notre point de vue , a consacré un net recul par rapport à certains acquis». Bouguerra Soltani a aussi critiqué les adversaires de l'Alliance en soulignant que «ceux qui disent que nous n'allons pas permette une victoire des islamistes ne sont pas des démocrates». Dans les cinq priorités autour desquelles s'articule le programme de la coalition, la priorité économique occupe une place de choix. Sur ce plan en effet la coalition vise à relancer l'économie et à lutter contre le chômage. Le programme s'articule autour de 43 axes et 718 mesures toutes au service de la réalisation des objectifs de ces priorités. Enfin, en marge de la conférence de presse, qui s'est tenue au siège du MSP, Bouguerra dira que «rares sont les noms de nos candidats qui ont été éliminés des listes par l'administration, mais la justice devant laquelle on a fait recours les a réhabilités. Je tiens à dire que les magistrats ont été neutres et indépendants.»