Les conférenciers ont mis en garde contre les tentatives de « mouiller» l'institution militaire et l'institution juridique dans les luttes politiques. À ce titre ils ont salué les magistrats qui ont refusé l'inscription de militaires dans les listes électorales de leurs lieux de travail. Les conférenciers ont mis en garde contre les tentatives de « mouiller» l'institution militaire et l'institution juridique dans les luttes politiques. À ce titre ils ont salué les magistrats qui ont refusé l'inscription de militaires dans les listes électorales de leurs lieux de travail. Les trois partis islamistes qui ont créé la « Coalition de l'Algérie verte », en l'occurrence le MSP, Enahda et El Islah, semblent être hantés par la fraude. Une hantise les ayant poussé à brandir la menace de se retirer des élections législatives du 10 mai prochain si le pouvoir essaye de recourir à la fraude. « Nous nous retirerons des élections et nous laisserons le pouvoir seul face aux populations dans le cas ou il y aurait preuves concrètes de fraude » a, en effet, indiqué hier le secrétaire général du mouvement El Islah, Hamlaoui Akouchi. Ce dernier, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse conjointe avec ses deux alliés Bouguerra Soltani, président du MSP, et Fateh Rebai, secrétaire général du mouvement Enahda, a aussi déclaré que « s'il y a fraude, nous n'allons pas nous taire et notre riposte, par l'utilisation de tous les moyens juridiques possibles, sera forte ». Cette menace du secrétaire général du mouvement El Islah, qui a tenu à préciser que ce retrait pourrait aussi s'effectuer bien avant la date du 10 mai, a été approuvé par Bouguerra Soltani et Fateh Rebai par des hochements de tête puisqu'ils ne se sont pas exprimés directement sur cet aspect. Mais la crainte de la fraude transparaît clairement dans leurs propos. « Le problème lors de ces législatives a trait à la fraude et c'est pourquoi nous demandons plus de garanties pour la transparence de ce scrutin » dira, de son côté Fateh Rebai, ajoutant que « nous n'allons pas donner un chèque à blanc au pouvoir ». Akouchi et Rebai ont eux aussi évoqué, dans ce même contexte, la question de l'inscription des éléments de l'ANP dans les listes électorales en considérant que cette opération est « illégale ». Les conférenciers ont alors mis en garde contre les tentatives de « mouiller » l'institution militaire et l'institution juridique dans les luttes politiques. A ce titre ils ont salué les magistrats qui ont refusé l'inscription des militaires dans les listes électorales de leurs lieux de travail. A l'évidence, comme cela a déjà été affirmé le 7 mars dernier lors de la création de cette « coalition de l'Algérie verte », les trois partis sont confiants quant à leur victoire lors de ces législatives. Cet optimisme provient notamment de l'entrée en lice de ces trois partis dans la compétition électorale avec des listes communes. « Nous avons gagné la bataille des listes communes avec lesquelles nous allons participer à ces élections dans les 48 wilayas » a indiqué à ce propos le president du MSP, Bouguerra Soltani, tout en saluant le bon accueil réservé par l'opinion publique à la création de la Coalition de l'Algérie verte. Cependant Bouguerra a toutefois admis, à demi-mot il est vrai, que la confection des listes communes a suscité quelques problèmes dans certaines wilayas. Cela a été le cas notamment chez les militants du MSP qui ont « rejeté » le profil de certains candidats, tête de listes proposées par leurs alliés d'El Islah et d'Enahda. « Nous avons réussi jusqu'à présent à élaborer 80% de ces listes communes et il se pourrait qu'il y ait des changements de dernière minute » dira le président du MSP avant de préciser que « ces listes ne seront finalisées que le 25 mars ». Bouguerra a, au passage, annoncé que les ministres Mustapha Benbada et Smaïl Mimoun, ne seront pas candidats, il n'a pas écarté aussi la présence des femmes comme têtes de listes. Les conférenciers, qui ont aussi annoncé que Fateh Rebai sera candidat à Médéa, ont refusé la polémique, notamment avec le leader du Front du changement, Abdelmadjid Menasra, qui a accusé les animateurs de cette coalition d'avoir fermé la porte à son parti. Il en a été de même avec le patron du RND. Bouguerra, qui a indiqué que « l'islamophobie n'a plus lieu d'être » dira juste que « je conseille à Ouyahia de s'occuper plutôt du programme de son parti ». Sur les accusations du financement qui proviedrait de l'étranger au profit des partis islamistes Hamlaoui Akouchi a totalement nié ces informations. Les trois partis islamistes qui ont créé la « Coalition de l'Algérie verte », en l'occurrence le MSP, Enahda et El Islah, semblent être hantés par la fraude. Une hantise les ayant poussé à brandir la menace de se retirer des élections législatives du 10 mai prochain si le pouvoir essaye de recourir à la fraude. « Nous nous retirerons des élections et nous laisserons le pouvoir seul face aux populations dans le cas ou il y aurait preuves concrètes de fraude » a, en effet, indiqué hier le secrétaire général du mouvement El Islah, Hamlaoui Akouchi. Ce dernier, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse conjointe avec ses deux alliés Bouguerra Soltani, président du MSP, et Fateh Rebai, secrétaire général du mouvement Enahda, a aussi déclaré que « s'il y a fraude, nous n'allons pas nous taire et notre riposte, par l'utilisation de tous les moyens juridiques possibles, sera forte ». Cette menace du secrétaire général du mouvement El Islah, qui a tenu à préciser que ce retrait pourrait aussi s'effectuer bien avant la date du 10 mai, a été approuvé par Bouguerra Soltani et Fateh Rebai par des hochements de tête puisqu'ils ne se sont pas exprimés directement sur cet aspect. Mais la crainte de la fraude transparaît clairement dans leurs propos. « Le problème lors de ces législatives a trait à la fraude et c'est pourquoi nous demandons plus de garanties pour la transparence de ce scrutin » dira, de son côté Fateh Rebai, ajoutant que « nous n'allons pas donner un chèque à blanc au pouvoir ». Akouchi et Rebai ont eux aussi évoqué, dans ce même contexte, la question de l'inscription des éléments de l'ANP dans les listes électorales en considérant que cette opération est « illégale ». Les conférenciers ont alors mis en garde contre les tentatives de « mouiller » l'institution militaire et l'institution juridique dans les luttes politiques. A ce titre ils ont salué les magistrats qui ont refusé l'inscription des militaires dans les listes électorales de leurs lieux de travail. A l'évidence, comme cela a déjà été affirmé le 7 mars dernier lors de la création de cette « coalition de l'Algérie verte », les trois partis sont confiants quant à leur victoire lors de ces législatives. Cet optimisme provient notamment de l'entrée en lice de ces trois partis dans la compétition électorale avec des listes communes. « Nous avons gagné la bataille des listes communes avec lesquelles nous allons participer à ces élections dans les 48 wilayas » a indiqué à ce propos le president du MSP, Bouguerra Soltani, tout en saluant le bon accueil réservé par l'opinion publique à la création de la Coalition de l'Algérie verte. Cependant Bouguerra a toutefois admis, à demi-mot il est vrai, que la confection des listes communes a suscité quelques problèmes dans certaines wilayas. Cela a été le cas notamment chez les militants du MSP qui ont « rejeté » le profil de certains candidats, tête de listes proposées par leurs alliés d'El Islah et d'Enahda. « Nous avons réussi jusqu'à présent à élaborer 80% de ces listes communes et il se pourrait qu'il y ait des changements de dernière minute » dira le président du MSP avant de préciser que « ces listes ne seront finalisées que le 25 mars ». Bouguerra a, au passage, annoncé que les ministres Mustapha Benbada et Smaïl Mimoun, ne seront pas candidats, il n'a pas écarté aussi la présence des femmes comme têtes de listes. Les conférenciers, qui ont aussi annoncé que Fateh Rebai sera candidat à Médéa, ont refusé la polémique, notamment avec le leader du Front du changement, Abdelmadjid Menasra, qui a accusé les animateurs de cette coalition d'avoir fermé la porte à son parti. Il en a été de même avec le patron du RND. Bouguerra, qui a indiqué que « l'islamophobie n'a plus lieu d'être » dira juste que « je conseille à Ouyahia de s'occuper plutôt du programme de son parti ». Sur les accusations du financement qui proviedrait de l'étranger au profit des partis islamistes Hamlaoui Akouchi a totalement nié ces informations.