Une fois encore le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, réitère son appel aux Algériens à participer massivement au scrutin du 10 mai prochain. Dans un message à l'occasion de la Journée du savoir, diffusé hier par l'APS, le chef de l'Etat explique les raisons qui commandent aux citoyens de se rendre aux urnes lors des prochaines législatives. Une fois encore le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, réitère son appel aux Algériens à participer massivement au scrutin du 10 mai prochain. Dans un message à l'occasion de la Journée du savoir, diffusé hier par l'APS, le chef de l'Etat explique les raisons qui commandent aux citoyens de se rendre aux urnes lors des prochaines législatives. Pour Abdelaziz Bouteflika «l'élection doit être exercée en ce qu'elle constitue l'acte démocratique par excellence, l'indicateur de la citoyenneté et du civisme, un engagement national et un acte civilisationnel, enfin un droit et un devoir constitutionnel qu'on ne saurait nullement sous-estimer ou négliger». Le chef de l'Etat poursuit en indiquant que «l'élection devient le mécanisme indispensable à l'incarnation de la volonté du peuple. C'est la meilleure voie pour la consécration de la légitimité constitutionnelle et le garant qui permet de protéger la démocratie de tout dépassement ou dérive». Il estime dans ce cadre qu'«aucune démocratie véritable, représentative ou participative soit-elle, ne peut de ce fait, être promue sans assemblées élues aux niveaux local et national, des assemblées qui rassemblent différents courants intellectuels et politiques, et réunissent une composante humaine diversifiée et de qualité, des assemblées dignes de confiance comme cadre de réflexion et d'action, comme réservoir de compétence et de savoir-faire, comme instance de consultation et de contrôle, des assemblées que nous voulons représentatives de la volonté du peuple, de tout le peuple algérien avec ses différentes composantes, catégories et tendances, avec sa majorité et sa minorité, ses grands partis et ses petits partis, des assemblées qui adhèrent à ses préoccupations et répondent à ses aspirations, des assemblées que nous voulons pleinement engagées dans l'élaboration des textes et des décisions, et dans la mise en place des plans et politiques à même de servir le pays et la population». L'Etat, indique-t-il «tire sa légitimité de la volonté du peuple, source de tous les pouvoirs, tel que consigné dans la Constitution de la République», expliquant que «la démocratie, c'est la souveraineté ou le pouvoir du peuple, exercé à travers les institutions constitutionnelles qu'il choisit, et les représentants qu'il élit en toute liberté, pour assurer la gestion de ses affaires et celles du pays, du maire jusqu'au président de la République». Pour toutes ces raisons, le chef de l'Etat invite les Algériens à participer massivement aux élections législatives du 10 mai prochain, et à la réussite des élections législatives à l'issue desquelles une haute instance de législation et de contrôle figurera parmi les grandes institutions de la République. Après avoir assuré que «l'Etat a donné toutes les garanties pour des élections libres et transparentes». Le président de la République interpelle «les partis politiques, les citoyennes et citoyens d'assumer leur rôle et de prendre leur responsabilité, afin que les sacrifices des femmes et des hommes qui ont lutté pour l'indépendance et l'intégrité territoriale de ce pays, ne soient pas vains, et que ceux qui se sont voués à la défense de sa souveraineté et de son développement puissent avoir leur part de reconnaissance». Enjeu des élections prochaines, le sens des réformes engagées. Il prévient dans le même contexte que «les vents furieux de la mondialisation souffleront et ceux qui ne prendront pas les devants par la réforme, le renouveau et ne s'armeront pas de convictions, de méthodologie et de perspicacité, pourraient se retrouver en difficulté devant un changement ravageur qu'ils n'avaient ni prévu ni souhaité». Il explique que «nous vivons une mondialisation globale, porteuse de changement radical qui impose une prise de conscience collective de l'importance des défis à relever et de la sensibilité du contexte et exige la mobilisation de toutes les énergies nationales afin de parachever les programmes de réformes et de construction inscrits, et faire aboutir les prochaines échéances politiques que nous considérons comme une phase cruciale et un pari décisif qu'il nous incombe de gagner car nous n'avons d'autre choix que de réussir». Et au chef de l'Etat de prévenir que «s'ils ne s'efforçaient pas à être partie prenante à son élaboration, l'Histoire sera sûrement forgée sans eux, voire à leurs dépens». Il prévient encore que «l'Histoire peut se répéter encore et encore pour les peuples qui ne savent pas en déchiffrer le sens et sont incapables d'en tirer les enseignements». Pour Abdelaziz Bouteflika, «les réformes engagées pour consolider le processus démocratique ne sont et ne peuvent être dissociées de cet engagement soutenu pour une société fière de son passé et ouverte sur le monde. Car les institutions politiques ne peuvent fonctionner correctement que si les fondements culturels en sont bien assurés et liés à nos valeurs civilisationnelles». Il rappelle que «ce 16 avril que nous commémorons aujourd'hui intervient alors que l'Algérie s'attelle à l'approfondissement du processus démocratique et s'apprête à célébrer le cinquantenaire de son indépendance», car pour lui, «le véritable progrès est d'allier le développement économique et social avec le développement scientifique et technologique». Il estime par ailleurs que «notre jeunesse, en cette journée particulière, ne saurait oublier l'action militante et engagée de nos savants qui n'ont jamais dissocié l'accès à la connaissance et au savoir du combat pour l'indépendance et du souci de leurs identité, liberté et honneur». Dans ce contexte le chef de l'Etat, souligne que «nous avons décidé de tourner la page de la période coloniale pour aller de l'avant mais le peuple algérien n'est pas et ne sera pas amnésique». Il assure que «le peuple algérien, comme tous les peuples sous domination, a appris qu'aucune partie étrangère, aussi démocratique et développée soit-elle, ne lui apportera le développement et la démocratie», soulignant que «ce qui se passe aujourd'hui sous couvert de démocratie et de respect des droits de l'homme reste sujet à débats. Car la démocratie comme le développement ne s'octroie pas comme un don et ne s'importe pas comme une usine clés en mains». Pour Abdelaziz Bouteflika «l'élection doit être exercée en ce qu'elle constitue l'acte démocratique par excellence, l'indicateur de la citoyenneté et du civisme, un engagement national et un acte civilisationnel, enfin un droit et un devoir constitutionnel qu'on ne saurait nullement sous-estimer ou négliger». Le chef de l'Etat poursuit en indiquant que «l'élection devient le mécanisme indispensable à l'incarnation de la volonté du peuple. C'est la meilleure voie pour la consécration de la légitimité constitutionnelle et le garant qui permet de protéger la démocratie de tout dépassement ou dérive». Il estime dans ce cadre qu'«aucune démocratie véritable, représentative ou participative soit-elle, ne peut de ce fait, être promue sans assemblées élues aux niveaux local et national, des assemblées qui rassemblent différents courants intellectuels et politiques, et réunissent une composante humaine diversifiée et de qualité, des assemblées dignes de confiance comme cadre de réflexion et d'action, comme réservoir de compétence et de savoir-faire, comme instance de consultation et de contrôle, des assemblées que nous voulons représentatives de la volonté du peuple, de tout le peuple algérien avec ses différentes composantes, catégories et tendances, avec sa majorité et sa minorité, ses grands partis et ses petits partis, des assemblées qui adhèrent à ses préoccupations et répondent à ses aspirations, des assemblées que nous voulons pleinement engagées dans l'élaboration des textes et des décisions, et dans la mise en place des plans et politiques à même de servir le pays et la population». L'Etat, indique-t-il «tire sa légitimité de la volonté du peuple, source de tous les pouvoirs, tel que consigné dans la Constitution de la République», expliquant que «la démocratie, c'est la souveraineté ou le pouvoir du peuple, exercé à travers les institutions constitutionnelles qu'il choisit, et les représentants qu'il élit en toute liberté, pour assurer la gestion de ses affaires et celles du pays, du maire jusqu'au président de la République». Pour toutes ces raisons, le chef de l'Etat invite les Algériens à participer massivement aux élections législatives du 10 mai prochain, et à la réussite des élections législatives à l'issue desquelles une haute instance de législation et de contrôle figurera parmi les grandes institutions de la République. Après avoir assuré que «l'Etat a donné toutes les garanties pour des élections libres et transparentes». Le président de la République interpelle «les partis politiques, les citoyennes et citoyens d'assumer leur rôle et de prendre leur responsabilité, afin que les sacrifices des femmes et des hommes qui ont lutté pour l'indépendance et l'intégrité territoriale de ce pays, ne soient pas vains, et que ceux qui se sont voués à la défense de sa souveraineté et de son développement puissent avoir leur part de reconnaissance». Enjeu des élections prochaines, le sens des réformes engagées. Il prévient dans le même contexte que «les vents furieux de la mondialisation souffleront et ceux qui ne prendront pas les devants par la réforme, le renouveau et ne s'armeront pas de convictions, de méthodologie et de perspicacité, pourraient se retrouver en difficulté devant un changement ravageur qu'ils n'avaient ni prévu ni souhaité». Il explique que «nous vivons une mondialisation globale, porteuse de changement radical qui impose une prise de conscience collective de l'importance des défis à relever et de la sensibilité du contexte et exige la mobilisation de toutes les énergies nationales afin de parachever les programmes de réformes et de construction inscrits, et faire aboutir les prochaines échéances politiques que nous considérons comme une phase cruciale et un pari décisif qu'il nous incombe de gagner car nous n'avons d'autre choix que de réussir». Et au chef de l'Etat de prévenir que «s'ils ne s'efforçaient pas à être partie prenante à son élaboration, l'Histoire sera sûrement forgée sans eux, voire à leurs dépens». Il prévient encore que «l'Histoire peut se répéter encore et encore pour les peuples qui ne savent pas en déchiffrer le sens et sont incapables d'en tirer les enseignements». Pour Abdelaziz Bouteflika, «les réformes engagées pour consolider le processus démocratique ne sont et ne peuvent être dissociées de cet engagement soutenu pour une société fière de son passé et ouverte sur le monde. Car les institutions politiques ne peuvent fonctionner correctement que si les fondements culturels en sont bien assurés et liés à nos valeurs civilisationnelles». Il rappelle que «ce 16 avril que nous commémorons aujourd'hui intervient alors que l'Algérie s'attelle à l'approfondissement du processus démocratique et s'apprête à célébrer le cinquantenaire de son indépendance», car pour lui, «le véritable progrès est d'allier le développement économique et social avec le développement scientifique et technologique». Il estime par ailleurs que «notre jeunesse, en cette journée particulière, ne saurait oublier l'action militante et engagée de nos savants qui n'ont jamais dissocié l'accès à la connaissance et au savoir du combat pour l'indépendance et du souci de leurs identité, liberté et honneur». Dans ce contexte le chef de l'Etat, souligne que «nous avons décidé de tourner la page de la période coloniale pour aller de l'avant mais le peuple algérien n'est pas et ne sera pas amnésique». Il assure que «le peuple algérien, comme tous les peuples sous domination, a appris qu'aucune partie étrangère, aussi démocratique et développée soit-elle, ne lui apportera le développement et la démocratie», soulignant que «ce qui se passe aujourd'hui sous couvert de démocratie et de respect des droits de l'homme reste sujet à débats. Car la démocratie comme le développement ne s'octroie pas comme un don et ne s'importe pas comme une usine clés en mains».