La Syrie a refusé l'accès à son territoire à au moins un observateur de l'Onu en raison de sa nationalité et fait savoir qu'elle n'accepterait pas de "béret bleu" originaire d'un pays membre du groupe des "Amis de la Syrie", a déclaré mardi l'ambassadrice américaine aux Nations unies. Susan Rice a rapporté devant la presse le compte-rendu du secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix de l'Onu, Hervé Ladsous, un peu plus tôt devant le Conseil de sécurité. "M. Ladsous nous a dit que le gouvernement syrien avait refusé au moins un observateur en raison de sa nationalité, et que les autorités syriennes ont prévenu qu'elles n'accepteraient aucun membre de la mission d'observation de l'Onu en Syrie (UNSMIS) qui soit originaire d'un pays membre des «Amis de la Syrie démocratique»", a indiqué l'ambassadrice américaine. "Il a souligné que du point de vue de l'Onu, c'est totalement inacceptable", a-t-elle ajouté. Le groupe des "Amis de la Syrie" rassemble principalement des pays occidentaux, comme la France, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis, des pays arabes, dont l'Arabie saoudite et le Qatar, ainsi que la Turquie, qui ont tous appelé au départ de Bachar al Assad. La Syrie a refusé l'accès à son territoire à au moins un observateur de l'Onu en raison de sa nationalité et fait savoir qu'elle n'accepterait pas de "béret bleu" originaire d'un pays membre du groupe des "Amis de la Syrie", a déclaré mardi l'ambassadrice américaine aux Nations unies. Susan Rice a rapporté devant la presse le compte-rendu du secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix de l'Onu, Hervé Ladsous, un peu plus tôt devant le Conseil de sécurité. "M. Ladsous nous a dit que le gouvernement syrien avait refusé au moins un observateur en raison de sa nationalité, et que les autorités syriennes ont prévenu qu'elles n'accepteraient aucun membre de la mission d'observation de l'Onu en Syrie (UNSMIS) qui soit originaire d'un pays membre des «Amis de la Syrie démocratique»", a indiqué l'ambassadrice américaine. "Il a souligné que du point de vue de l'Onu, c'est totalement inacceptable", a-t-elle ajouté. Le groupe des "Amis de la Syrie" rassemble principalement des pays occidentaux, comme la France, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis, des pays arabes, dont l'Arabie saoudite et le Qatar, ainsi que la Turquie, qui ont tous appelé au départ de Bachar al Assad.