Le 10 mai, c'est le grand jour. Les Algériens sont appelés à se rendre aux urnes pour élire leurs représentants au sein de l'APN. Un exercice qui se tient dans un contexte national et international bien particulier. Le 10 mai, c'est le grand jour. Les Algériens sont appelés à se rendre aux urnes pour élire leurs représentants au sein de l'APN. Un exercice qui se tient dans un contexte national et international bien particulier. C'est aujourd'hui à minuit que le rideau de la campagne électorale pour les élections législatives du 10 mai courant tombera. Les partis politiques et les candidats engagés dans la course pour la députation se tiendront, durant quatre jours, «le ventre» en attendant le verdict des urnes. Il est une inconnue sur laquelle aucune voix ne peut se prononcer. L'abstention ou si l'on veut le taux de participation des électeurs à cette consultation populaire que l'ensemble des formations politiques qui ont bataillé sur le front n'ont pas manqué de souligner, dans leurs discours de campagne électorale, l'importance et bien plus les enjeux qui tournent autour de cette compétition électorale. Un enjeu politique, pour le pays s'entend, pour appeler à une participation massive des Algériens à ce rendez-vous que certains n'ont pas hésité à le qualifier d' «historique», susceptible de ramener le «changement» que tout citoyen souhaite voir pour le plus tôt possible. En tout cas, du côté de l'administration, on assure que toutes les conditions sont réunies pour un vote «honnête et transparent». Les garanties offertes par l'Etat pour un scrutin transparent sont un gage pour inciter les gens à accomplir leur droit de citoyen. Les partis politiques notamment leurs leaders se seront dépensés sans compter durant les 21 jours de la campagne pour «vendre» leurs programmes, vanter les mérites de leurs candidats et enfin lancer des appels pressants à toutes les électrices et les électeurs pour participer à cet exercice afin de «sauvegarder l'indépendance de l'Algérie» pour certains et pour d'autres «renforcer la démocratie», et la «souveraineté populaire». En somme, des menaces extérieures guettent l'Algérie. Dans le sillage du «printemps arabe», le thème de prime abord pourrait s'avérer porteur. L'anarchie et le chaos, les Algériens ne veulent plus en faire l'expérience. Les préoccupations du citoyen électeur à savoir l'inflation qui lamine son pouvoir d'achat, le chômage notamment celui des jeunes et le logement, la harga, les immolations sont «survolés» dans les programmes électoraux des anciens ou nouveaux partis. Pas de «détail» sur les programmes proposés à l'intention de l'électeurs dont les chefs de file de ces formations politiques louent son «patriotisme» et son sens du «discernement» à tout va. Il se trouve que c'est ce «détail» qui aurait pu accrocher les électeurs qui a manqué le plus à cette campagne électorale. Il ne s'agit ni plus ni moins que de leur vie quotidienne, sujette aux pires difficultés qui intéressent les Algériens. En tous cas, cette consultation populaire survient dans un contexte bien particulier. Le malaise social qui s'élargit à toutes les couches sociales et le profond désir de «changement» exprimé par les peuples arabes dont nous sommes partie prenante et la peur ou la crainte de plonger dans l'inconnu et les incertitudes de l'avenir. Toujours est-il que les Algériens sont confrontés à un profond dilemme. Voter ou s'abstenir, tel est le nœud gordien qui taraude l'esprit de la grande masse de la population. En l'absence d'instituts de sondage et de chiffres fiables, concernant les intentions de vote, personne ne peut prédire un taux de participation à ces élections. Les gens ont tendance a ne prendre une décision qu'à la dernière minute. Les indécis, les abstentionnistes, les "boycotteurs" et les gens qui disent jeter le bulletin dans la poubelle plutôt que dans l'urne peuvent changer d'avis d'ici le 10 mai. C'est aujourd'hui à minuit que le rideau de la campagne électorale pour les élections législatives du 10 mai courant tombera. Les partis politiques et les candidats engagés dans la course pour la députation se tiendront, durant quatre jours, «le ventre» en attendant le verdict des urnes. Il est une inconnue sur laquelle aucune voix ne peut se prononcer. L'abstention ou si l'on veut le taux de participation des électeurs à cette consultation populaire que l'ensemble des formations politiques qui ont bataillé sur le front n'ont pas manqué de souligner, dans leurs discours de campagne électorale, l'importance et bien plus les enjeux qui tournent autour de cette compétition électorale. Un enjeu politique, pour le pays s'entend, pour appeler à une participation massive des Algériens à ce rendez-vous que certains n'ont pas hésité à le qualifier d' «historique», susceptible de ramener le «changement» que tout citoyen souhaite voir pour le plus tôt possible. En tout cas, du côté de l'administration, on assure que toutes les conditions sont réunies pour un vote «honnête et transparent». Les garanties offertes par l'Etat pour un scrutin transparent sont un gage pour inciter les gens à accomplir leur droit de citoyen. Les partis politiques notamment leurs leaders se seront dépensés sans compter durant les 21 jours de la campagne pour «vendre» leurs programmes, vanter les mérites de leurs candidats et enfin lancer des appels pressants à toutes les électrices et les électeurs pour participer à cet exercice afin de «sauvegarder l'indépendance de l'Algérie» pour certains et pour d'autres «renforcer la démocratie», et la «souveraineté populaire». En somme, des menaces extérieures guettent l'Algérie. Dans le sillage du «printemps arabe», le thème de prime abord pourrait s'avérer porteur. L'anarchie et le chaos, les Algériens ne veulent plus en faire l'expérience. Les préoccupations du citoyen électeur à savoir l'inflation qui lamine son pouvoir d'achat, le chômage notamment celui des jeunes et le logement, la harga, les immolations sont «survolés» dans les programmes électoraux des anciens ou nouveaux partis. Pas de «détail» sur les programmes proposés à l'intention de l'électeurs dont les chefs de file de ces formations politiques louent son «patriotisme» et son sens du «discernement» à tout va. Il se trouve que c'est ce «détail» qui aurait pu accrocher les électeurs qui a manqué le plus à cette campagne électorale. Il ne s'agit ni plus ni moins que de leur vie quotidienne, sujette aux pires difficultés qui intéressent les Algériens. En tous cas, cette consultation populaire survient dans un contexte bien particulier. Le malaise social qui s'élargit à toutes les couches sociales et le profond désir de «changement» exprimé par les peuples arabes dont nous sommes partie prenante et la peur ou la crainte de plonger dans l'inconnu et les incertitudes de l'avenir. Toujours est-il que les Algériens sont confrontés à un profond dilemme. Voter ou s'abstenir, tel est le nœud gordien qui taraude l'esprit de la grande masse de la population. En l'absence d'instituts de sondage et de chiffres fiables, concernant les intentions de vote, personne ne peut prédire un taux de participation à ces élections. Les gens ont tendance a ne prendre une décision qu'à la dernière minute. Les indécis, les abstentionnistes, les "boycotteurs" et les gens qui disent jeter le bulletin dans la poubelle plutôt que dans l'urne peuvent changer d'avis d'ici le 10 mai.