Il est quatrième sur la liste du parti Front el Moustabal à Alger. Il est universitaire, médecin de formation et occupe le haut du palier au sein de l'Ordre national des médecins et de l'Union arabe des médecins. Il est également le porte-parole de ces deux organisations professionnelles. Lui, c'est le docteur Gaceb Mostefa. Qui mieux que lui peut parler des problèmes du secteur de la Santé en Algérie. Il ne fait pas que parler de ces problèmes, mais il propose également des solutions innovantes pour sortir ce secteur vital du marasme dans lequel il est plongé depuis des décennies. Ces solutions sont reprises dans le programme électoral des élections législatives du 10 mai prochain. Du serment d'Hippocrate à celui de l'engagement à servir le pays, il n'y a qu'un pas que le docteur Gaceb a franchi après mûres réflexions. Il estime que le front El Moustakbal est le seul parti politique en Algérie qui par sa composante humaine est prêt à gérer le secteur névralgique de la Santé. Il livre ses réflexion aux lecteurs du Midi Libre. Ecoutons-le Il est quatrième sur la liste du parti Front el Moustabal à Alger. Il est universitaire, médecin de formation et occupe le haut du palier au sein de l'Ordre national des médecins et de l'Union arabe des médecins. Il est également le porte-parole de ces deux organisations professionnelles. Lui, c'est le docteur Gaceb Mostefa. Qui mieux que lui peut parler des problèmes du secteur de la Santé en Algérie. Il ne fait pas que parler de ces problèmes, mais il propose également des solutions innovantes pour sortir ce secteur vital du marasme dans lequel il est plongé depuis des décennies. Ces solutions sont reprises dans le programme électoral des élections législatives du 10 mai prochain. Du serment d'Hippocrate à celui de l'engagement à servir le pays, il n'y a qu'un pas que le docteur Gaceb a franchi après mûres réflexions. Il estime que le front El Moustakbal est le seul parti politique en Algérie qui par sa composante humaine est prêt à gérer le secteur névralgique de la Santé. Il livre ses réflexion aux lecteurs du Midi Libre. Ecoutons-le Midi Libre : Comment êtes-vous venu à la politique après avoir exercer la médecine. Les deux domaines sont, pour certains,«incompatibles» C'est ma première expérience politique après 20 années de médecine légale dans le secteur public. Je suis membre fondateur du Front El Moustakbal et cadre dirigeant. Notre parti renferme une centaine de meilleurs cadres d'Algérie. Après mûres réflexions et de rencontres régionales, nous avons pris l'initiative de créer un parti politique. Nous avons pris comme base politique les fondements du parti, la déclaration de Novembre 1954. De cela découle l'axe politique du Front El Moustakbal comme étant un parti nationaliste centriste. Lors du Congrès national du parti, nous avons pris l'engagement d'instaurer une nouvelle éthique dans la pratique politique. Le front El Moustakbal a été créé pour gouverner et les cadres du Front El Moustakbal sont appelés à gérer les Institutions du pays pour les prochaines années. Cette lourde responsabilité, initiée par le Front El Moustakbal, pour former l'élite de demain ne pourra se faire qu'avec un code d'éthique politique. Et cette éthique politique ne peut être effective que par le respect des urnes dans sa volonté de changement en profondeur. Cette volonté de changement, cette vision futuriste du Front El Moustakbal, son programme politique nationaliste a suscité la sympathie et l'adhésion de nombreuses personnalités politiques, médiatiques et sportives qui ont émet le souhait d'adhérer au Front El Moustakbal et à se présenter spontanément sur nos listes, à l'exemple de Abdelhamid Serrar, président de l'ESS, tête de liste à Sétif ; Lakhdar Belloumi, star du football national, tête de liste à Mascara, Rédha Mehegueni, directeur de Beur TV, tête de liste à Skikda, Dr Abbed Abdelhamid, ex-président de l'USMH et ancien ministre, tête de liste à Alger, Hansal Arbitre international, tête de liste à Oran, Soheib Bencheikh, ex-muphti de Marseille sur la liste d'Alger. Parmi les membres fondateurs, il y a 17 médecins spécialistes, 5 cadres dirigeants du Conseil national de l'Ordre des médecins ont opté pour le Front El Moustakbal dès son lancement. Le secteur de la Santé est bien représenté au sein du Front El Moustakbal. Est-ce à dire qu'il y aura du nouveau au cas où… Le front El Moustakbal est le seul parti politique en Algérie qui par sa composante humaine est prêt à gérer le secteur névralgique de la Santé. Notre président lui-même, le docteur Abdelaziz Belaïd est médecin de formation. Notre priorité majeure est de revoir la loi sur la Santé du 16 février 1985 en organisant des assises nationales, impliquant le ministère de la Santé, l'Ordre des médecins, les différents syndicats de la santé et les associations des malades. Cette loi de Santé, proposée par le Front El Moustakbal, doit inclure d'autres volets notamment la Bioéthique, la greffe d'organes et éthique médicale. Par cette loi, le Front El Moustakbal accorde une place au secteur qui est devenu une réalité palpable pour des milliers de citoyens à travers l'ouverture des cliniques privées. Le Front El Moustakbal s'engage d'emblée à accorder l'autonomie totale et le réel pouvoir exécutoire de l'Ordre des médecins comme le stipule le code de déontologie médicale de 1992. Le Front El Moustakbal s'engage à séparer les 3 Ordres médicaux (médecins, pharmaciens et chirurgiens-dentistes) en 3 institutions réelles dotées de pouvoir. La réforme hospitalière s'articulait sur la notion de la contractualisation. On en parle depuis des années sans que cela se traduise sur le terrain. Le Front El Moustakbal dans son programme de Santé favorise la mise en application de la mise en route du système de contractualisation. Ce problème de contractualisation ne peut se débloquer qu'avec l'instauration d'une nomenclature claire des actes médicaux et chirurgicaux. Au niveau des cliniques privées, la contractualisation ne peut se mettre en route qu'avec une politique transparente dans la gestion de la CNAS (Caisse nationale des assurances sociales). Il est inadmissible qu'aucun membre de l'Ordre national des lédecins ne siège au Conseil d'administration de la CNAS. Quant au conventionnement, le Front El Moustakbal se met aux côtés des médecins privés quant à leur exigence d'augmenter la rarification des actes médicaux à hauteur de 800,00 DA pour les généralistes et 1.200,00 DA pour les médecins spécialistes tout en insistant sur la généralisation d'utilisation du générique pour aider à équilibrer les dépenses de la CNAS qui est la véritable colonne vertébrale du système de solidarité nationale et en préservant les milliers d'emplois à travers les firmes pharmaceutiques nationales en particulier Saïdal . Des budgets «lourds» sont consacrés à la Santé. Mais la situation dans ce secteur se dégrade de plus en plus. Quelle est la solution que vous proposez pour une évolution positive de ce secteur. Le front El Moustakbal optera pour vider le ministère de la Santé de nombreux services et n'aura pour tâche que la gestion administrative de la Santé en Algérie et l'application des programmes. Tout ce qui est contrôle de l'activité médicale des cliniques privées, des autorisations d'ouverture seront orientés vers les autres médicaux. Enfin, le Front El Moustabel favorise dans sa politique globale le système de santé publique. La bonne santé d'un système de Santé est calculée par rapport à la bonne santé de son système public. Le Front El Moustakbal va impliquer les professionnels de santé, les syndicats, l'Ordre des médecins dans le numérus closis dans la formation des médecins généralistes. Le Front El Moustakbal opte pour l'ouverture de nouvelles spécialités : chirurgie cardiaque, greffe d'organes, la gériatrie et formation des médecins en oncologie. Un mot pour les électrices et électeurs algérois Pour finir je lance un appel à toutes les Algéroises et Algérois de soutenir la liste numéro 6 du Front El Moustakbal pour un véritable changement Midi Libre : Comment êtes-vous venu à la politique après avoir exercer la médecine. Les deux domaines sont, pour certains,«incompatibles» C'est ma première expérience politique après 20 années de médecine légale dans le secteur public. Je suis membre fondateur du Front El Moustakbal et cadre dirigeant. Notre parti renferme une centaine de meilleurs cadres d'Algérie. Après mûres réflexions et de rencontres régionales, nous avons pris l'initiative de créer un parti politique. Nous avons pris comme base politique les fondements du parti, la déclaration de Novembre 1954. De cela découle l'axe politique du Front El Moustakbal comme étant un parti nationaliste centriste. Lors du Congrès national du parti, nous avons pris l'engagement d'instaurer une nouvelle éthique dans la pratique politique. Le front El Moustakbal a été créé pour gouverner et les cadres du Front El Moustakbal sont appelés à gérer les Institutions du pays pour les prochaines années. Cette lourde responsabilité, initiée par le Front El Moustakbal, pour former l'élite de demain ne pourra se faire qu'avec un code d'éthique politique. Et cette éthique politique ne peut être effective que par le respect des urnes dans sa volonté de changement en profondeur. Cette volonté de changement, cette vision futuriste du Front El Moustakbal, son programme politique nationaliste a suscité la sympathie et l'adhésion de nombreuses personnalités politiques, médiatiques et sportives qui ont émet le souhait d'adhérer au Front El Moustakbal et à se présenter spontanément sur nos listes, à l'exemple de Abdelhamid Serrar, président de l'ESS, tête de liste à Sétif ; Lakhdar Belloumi, star du football national, tête de liste à Mascara, Rédha Mehegueni, directeur de Beur TV, tête de liste à Skikda, Dr Abbed Abdelhamid, ex-président de l'USMH et ancien ministre, tête de liste à Alger, Hansal Arbitre international, tête de liste à Oran, Soheib Bencheikh, ex-muphti de Marseille sur la liste d'Alger. Parmi les membres fondateurs, il y a 17 médecins spécialistes, 5 cadres dirigeants du Conseil national de l'Ordre des médecins ont opté pour le Front El Moustakbal dès son lancement. Le secteur de la Santé est bien représenté au sein du Front El Moustakbal. Est-ce à dire qu'il y aura du nouveau au cas où… Le front El Moustakbal est le seul parti politique en Algérie qui par sa composante humaine est prêt à gérer le secteur névralgique de la Santé. Notre président lui-même, le docteur Abdelaziz Belaïd est médecin de formation. Notre priorité majeure est de revoir la loi sur la Santé du 16 février 1985 en organisant des assises nationales, impliquant le ministère de la Santé, l'Ordre des médecins, les différents syndicats de la santé et les associations des malades. Cette loi de Santé, proposée par le Front El Moustakbal, doit inclure d'autres volets notamment la Bioéthique, la greffe d'organes et éthique médicale. Par cette loi, le Front El Moustakbal accorde une place au secteur qui est devenu une réalité palpable pour des milliers de citoyens à travers l'ouverture des cliniques privées. Le Front El Moustakbal s'engage d'emblée à accorder l'autonomie totale et le réel pouvoir exécutoire de l'Ordre des médecins comme le stipule le code de déontologie médicale de 1992. Le Front El Moustakbal s'engage à séparer les 3 Ordres médicaux (médecins, pharmaciens et chirurgiens-dentistes) en 3 institutions réelles dotées de pouvoir. La réforme hospitalière s'articulait sur la notion de la contractualisation. On en parle depuis des années sans que cela se traduise sur le terrain. Le Front El Moustakbal dans son programme de Santé favorise la mise en application de la mise en route du système de contractualisation. Ce problème de contractualisation ne peut se débloquer qu'avec l'instauration d'une nomenclature claire des actes médicaux et chirurgicaux. Au niveau des cliniques privées, la contractualisation ne peut se mettre en route qu'avec une politique transparente dans la gestion de la CNAS (Caisse nationale des assurances sociales). Il est inadmissible qu'aucun membre de l'Ordre national des lédecins ne siège au Conseil d'administration de la CNAS. Quant au conventionnement, le Front El Moustakbal se met aux côtés des médecins privés quant à leur exigence d'augmenter la rarification des actes médicaux à hauteur de 800,00 DA pour les généralistes et 1.200,00 DA pour les médecins spécialistes tout en insistant sur la généralisation d'utilisation du générique pour aider à équilibrer les dépenses de la CNAS qui est la véritable colonne vertébrale du système de solidarité nationale et en préservant les milliers d'emplois à travers les firmes pharmaceutiques nationales en particulier Saïdal . Des budgets «lourds» sont consacrés à la Santé. Mais la situation dans ce secteur se dégrade de plus en plus. Quelle est la solution que vous proposez pour une évolution positive de ce secteur. Le front El Moustakbal optera pour vider le ministère de la Santé de nombreux services et n'aura pour tâche que la gestion administrative de la Santé en Algérie et l'application des programmes. Tout ce qui est contrôle de l'activité médicale des cliniques privées, des autorisations d'ouverture seront orientés vers les autres médicaux. Enfin, le Front El Moustabel favorise dans sa politique globale le système de santé publique. La bonne santé d'un système de Santé est calculée par rapport à la bonne santé de son système public. Le Front El Moustakbal va impliquer les professionnels de santé, les syndicats, l'Ordre des médecins dans le numérus closis dans la formation des médecins généralistes. Le Front El Moustakbal opte pour l'ouverture de nouvelles spécialités : chirurgie cardiaque, greffe d'organes, la gériatrie et formation des médecins en oncologie. Un mot pour les électrices et électeurs algérois Pour finir je lance un appel à toutes les Algéroises et Algérois de soutenir la liste numéro 6 du Front El Moustakbal pour un véritable changement