Abdelkader Merbah (RPR) à Sétif : «La justice sociale : un préalable à la démocratie» L'établissement d'une justice sociale en Algérie est primordial et elle est un «préalable à toute démocratie véritable», a estimé vendredi depuis Sétif, Abdelkader Merbah, le président du parti du Rassemblement patriotique républicain (RPR). Le président du RPR qui animait un meeting de campagne pour les législatives du 10 mai prochain, a souligné que la démocratie à laquelle aspire le peuple algérien est «conditionnée par la consécration de la justice sociale, facteur de stabilité et de paix civile». Il n'est pas possible, selon le président du RPR, qui intervenait devant une assistance modeste, de construire une Algérie forte répondant aux aspirations de son peuple «tant que la justice sociale n'est pas concrétisée et tant que le peuple vit des problèmes sociaux». Rappelant les sacrifices incommensurables consentis par les chouhada pour la libération du pays, M. Merbah a estimé qu'aucun progrès n'est possible si les gouvernants ne veillent pas, également, sur l'établissement de l'équité qui est, a-t-il rappelé, l'un des principes fondamentaux de la déclaration du 1er Novembre. Evoquant la question de l'alternance au pouvoir, qu'il a considérée comme une «condition essentielle de la concrétisation de la démocratie», et «un mécanisme pour asseoir ses fondements», M. Merbah a sévèrement fustigé «ceux qui monopolisent le pouvoir et qui, a-t-il dit, sont à l'origine de la crise que connait le pays». Soulignant que les élections du 10 mai prochain constituent une étape importante dans l'édification de la démocratie, il a appelé le peuple qui «a donné à maintes reprises des preuves de sa conscience et de sa maturité politique», à saisir cette opportunité, lui conseillant de «ne pas imiter l'exemple de ce qui se passe en Tunisie et en Egypte». Le discours du président de la République a donné au peuple algérien l'opportunité d'exprimer sa volonté de changement et de s'impliquer dans la vie politique et dans la gestion des affaires du pays, dira M. Merbah, soulignant que la décision de recouvrer sa citoyenneté lui revient désormais à travers son choix libre et souverain de qui doit le gouverner à l'avenir. En ce qui concerne les grandes lignes du programme de son parti, M. Merbah, dira qu'il repose sur «un projet de société qui se complète" et qui vise à "donner à tous les citoyens leurs droits, à répartir équitablement les richesses du pays et à édifier un Etat fort où les citoyens seront tous égaux ». M. B. Bouguerra Soltani à Tamanrasset : «Dynamiser le fonds du Grand Sud» Bouguerra Soltani, membre de l'Alliance de l'Algérie verte (AAV) a affirmé vendredi à Tamanrasset que l'Alliance s'attellerait à dynamiser le rôle du fonds du Grand Sud et oeuvrerait à la création d'un autre fonds destiné aux régions frontalières pour "préserver l'unité du pays. L'unité du pays prime sur toute autre considération et l'Algérie ne saurait accepter ni surenchère ni division", a fait valoir M. Soltani lors d'un meeting animé au théâtre municipal de Tamanrasset, saluant la position de l'Amenokal Bey Akhamok durant la guerre de Libération nationale en faveur de l'intégrité de tout le territoire algérien. M. Soltani a mis en avant également la nécessité de revoir le découpage administratif dans les régions du Sud pour rapprocher les circonscriptions selon les exigences du développement. Il s'est félicité, à cet égard, des réalisations accomplies par l'Etat dans la wilaya de Tamanrasset citant le transfert d'eau en provenance d'In Salah, le renforcement du réseau routier et l'ouverture d'un centre universitaire. Evoquant la situation sécuritaire, M. Soltani a insisté sur "l'impératif de développer les régions frontalières et d'oeuvrer à aider leurs populations à s'y installer", invitant l'auditoire à participer en masse aux élections du 10 mai. En marge du meeting, le candidat tête de liste de l'AAV a signé la charte de l'élu dont le plus jeune candidat de la liste de l'Alliance a donné lecture. R. N. Aissa Belhadi (FBG) à M'sila : La priorité au rétablissement de la crédibilité Lors de son meeting de campagne tenu à M'sila, vendredi, le président du Front de la Bonne gouvernance (FBG), Aissa Belhadi, a affirmé que le rétablissement de la crédibilité de l'Etat et des ses institutions demeurait la priorité de sa formation politique. M. Belhadi, qui animait un meeting populaire sur la place du 17-Octobre en présence de quelque 200 personnes, a souligné que la protection des richesses du peuple, était la "première condition du retour de cette crédibilité". Pour le même intervenant, le FBG "investira dans l'élément humain", en commençant par la prise en charge de l'enfant, jusqu'à la protection des personnes du troisième âge et la protection des droits de retraités. Le jeune parti prévoit "une batterie de lois", qu'il proposerait en cas de bon score aux élections législatives, destinées à "favoriser la créativité dans tous les domaines", a affirmé le même orateur. Il a également mis en garde contre "le risque d'une participation insuffisante" aux élections du 10 mai prochain, ce qui peut aboutir, selon lui, à "une régression que personne ne souhaite". C'est pourquoi, a-t-il conclu, le peuple algérien doit prendre son destin en main en affluant en force, jeudi prochain, vers les bureaux de vote. R. N. Selon le président de Fedjr El Djadid : «Le 10 mai, les élections seront propres» Le président du parti Fedjr El Djadid, Tahar Benbaibeche, a estimé, vendredi soir à Jijel, que les élections législatives du 10 mai prochain seront "propres". Intervenant lors d'un meeting qui a fait salle comble à l'amphithéâtre de la cité administrative, dans le cadre de la campagne électorale, il s'est dit convaincu que ces élections seront propres et "s'il y a fraude, la première victime serait le pouvoir qui pourrait alors chuter". Au cours d'une intervention d'une heure, M. Benbaibeche qui s'est attardé sur des questions intéressant la région du Maghreb, a notamment mis à l'index les "visées hégémonistes" et "les plans de déstabilisation du pays", appelant les Algériens à "plus de vigilance" et à "ne pas tomber dans le piège de ceux qui complotent contre le pays du million et demi de martyrs". Evoquant la date du 10 mai, l'orateur a estimé qu'elle est "importante à plus d'un titre" dans la mesure où la prochaine échéance électorale sera "décisive" pour l'avenir du pays. "Une date à ne surtout pas rater", a-t-il lancé à l'adresse de l'assistance et particulièrement de la jeunesse. "Il faut aller en masse aux urnes", a de nouveau insisté le président de Fedjr El Djadid, ajoutant que ce rendez-vous est "une sorte de référendum d'autodétermination" pour le peuple algérien. R. N. Mohamed Said (PLJ) à El Oued : Urgence d'un changement profond Le président du Parti de la liberté et de la justice (PLJ), Mohamed Saïd, a souligné vendredi à El Oued la nécessité d'opérer un "changement profond" au regard de la prise de conscience politique perçue chez le peuple algérien. Mohamed Said, qui animait un meeting à El Oued, a affirmé que cette nécessité ferait du rendez-vous du 10 mai une échéance différente des précédentes, une particularité nourrie également par la diversité des programmes proposés par une quarantaine de partis, mais aussi par une conjoncture particulière caractérisée par des tensions sociales. Le président du PLJ a, d'autre part, évoqué la contrebande aux frontières préconisant, par ailleurs "l'édification d'un espace maghrébin sans frontières" où les citoyens pourraient circuler sur simple présentation de leur carte nationale d'identité. Il a aussi dénoncé le manque de suivi et de contrôle s'agissant des personnes occupant des postes de responsabilité invitant, par la même, les électeurs à se diriger massivement aux urnes pour choisir les candidats du PLJ. Abdelkader Merbah (RPR) à Sétif : «La justice sociale : un préalable à la démocratie» L'établissement d'une justice sociale en Algérie est primordial et elle est un «préalable à toute démocratie véritable», a estimé vendredi depuis Sétif, Abdelkader Merbah, le président du parti du Rassemblement patriotique républicain (RPR). Le président du RPR qui animait un meeting de campagne pour les législatives du 10 mai prochain, a souligné que la démocratie à laquelle aspire le peuple algérien est «conditionnée par la consécration de la justice sociale, facteur de stabilité et de paix civile». Il n'est pas possible, selon le président du RPR, qui intervenait devant une assistance modeste, de construire une Algérie forte répondant aux aspirations de son peuple «tant que la justice sociale n'est pas concrétisée et tant que le peuple vit des problèmes sociaux». Rappelant les sacrifices incommensurables consentis par les chouhada pour la libération du pays, M. Merbah a estimé qu'aucun progrès n'est possible si les gouvernants ne veillent pas, également, sur l'établissement de l'équité qui est, a-t-il rappelé, l'un des principes fondamentaux de la déclaration du 1er Novembre. Evoquant la question de l'alternance au pouvoir, qu'il a considérée comme une «condition essentielle de la concrétisation de la démocratie», et «un mécanisme pour asseoir ses fondements», M. Merbah a sévèrement fustigé «ceux qui monopolisent le pouvoir et qui, a-t-il dit, sont à l'origine de la crise que connait le pays». Soulignant que les élections du 10 mai prochain constituent une étape importante dans l'édification de la démocratie, il a appelé le peuple qui «a donné à maintes reprises des preuves de sa conscience et de sa maturité politique», à saisir cette opportunité, lui conseillant de «ne pas imiter l'exemple de ce qui se passe en Tunisie et en Egypte». Le discours du président de la République a donné au peuple algérien l'opportunité d'exprimer sa volonté de changement et de s'impliquer dans la vie politique et dans la gestion des affaires du pays, dira M. Merbah, soulignant que la décision de recouvrer sa citoyenneté lui revient désormais à travers son choix libre et souverain de qui doit le gouverner à l'avenir. En ce qui concerne les grandes lignes du programme de son parti, M. Merbah, dira qu'il repose sur «un projet de société qui se complète" et qui vise à "donner à tous les citoyens leurs droits, à répartir équitablement les richesses du pays et à édifier un Etat fort où les citoyens seront tous égaux ». M. B. Bouguerra Soltani à Tamanrasset : «Dynamiser le fonds du Grand Sud» Bouguerra Soltani, membre de l'Alliance de l'Algérie verte (AAV) a affirmé vendredi à Tamanrasset que l'Alliance s'attellerait à dynamiser le rôle du fonds du Grand Sud et oeuvrerait à la création d'un autre fonds destiné aux régions frontalières pour "préserver l'unité du pays. L'unité du pays prime sur toute autre considération et l'Algérie ne saurait accepter ni surenchère ni division", a fait valoir M. Soltani lors d'un meeting animé au théâtre municipal de Tamanrasset, saluant la position de l'Amenokal Bey Akhamok durant la guerre de Libération nationale en faveur de l'intégrité de tout le territoire algérien. M. Soltani a mis en avant également la nécessité de revoir le découpage administratif dans les régions du Sud pour rapprocher les circonscriptions selon les exigences du développement. Il s'est félicité, à cet égard, des réalisations accomplies par l'Etat dans la wilaya de Tamanrasset citant le transfert d'eau en provenance d'In Salah, le renforcement du réseau routier et l'ouverture d'un centre universitaire. Evoquant la situation sécuritaire, M. Soltani a insisté sur "l'impératif de développer les régions frontalières et d'oeuvrer à aider leurs populations à s'y installer", invitant l'auditoire à participer en masse aux élections du 10 mai. En marge du meeting, le candidat tête de liste de l'AAV a signé la charte de l'élu dont le plus jeune candidat de la liste de l'Alliance a donné lecture. R. N. Aissa Belhadi (FBG) à M'sila : La priorité au rétablissement de la crédibilité Lors de son meeting de campagne tenu à M'sila, vendredi, le président du Front de la Bonne gouvernance (FBG), Aissa Belhadi, a affirmé que le rétablissement de la crédibilité de l'Etat et des ses institutions demeurait la priorité de sa formation politique. M. Belhadi, qui animait un meeting populaire sur la place du 17-Octobre en présence de quelque 200 personnes, a souligné que la protection des richesses du peuple, était la "première condition du retour de cette crédibilité". Pour le même intervenant, le FBG "investira dans l'élément humain", en commençant par la prise en charge de l'enfant, jusqu'à la protection des personnes du troisième âge et la protection des droits de retraités. Le jeune parti prévoit "une batterie de lois", qu'il proposerait en cas de bon score aux élections législatives, destinées à "favoriser la créativité dans tous les domaines", a affirmé le même orateur. Il a également mis en garde contre "le risque d'une participation insuffisante" aux élections du 10 mai prochain, ce qui peut aboutir, selon lui, à "une régression que personne ne souhaite". C'est pourquoi, a-t-il conclu, le peuple algérien doit prendre son destin en main en affluant en force, jeudi prochain, vers les bureaux de vote. R. N. Selon le président de Fedjr El Djadid : «Le 10 mai, les élections seront propres» Le président du parti Fedjr El Djadid, Tahar Benbaibeche, a estimé, vendredi soir à Jijel, que les élections législatives du 10 mai prochain seront "propres". Intervenant lors d'un meeting qui a fait salle comble à l'amphithéâtre de la cité administrative, dans le cadre de la campagne électorale, il s'est dit convaincu que ces élections seront propres et "s'il y a fraude, la première victime serait le pouvoir qui pourrait alors chuter". Au cours d'une intervention d'une heure, M. Benbaibeche qui s'est attardé sur des questions intéressant la région du Maghreb, a notamment mis à l'index les "visées hégémonistes" et "les plans de déstabilisation du pays", appelant les Algériens à "plus de vigilance" et à "ne pas tomber dans le piège de ceux qui complotent contre le pays du million et demi de martyrs". Evoquant la date du 10 mai, l'orateur a estimé qu'elle est "importante à plus d'un titre" dans la mesure où la prochaine échéance électorale sera "décisive" pour l'avenir du pays. "Une date à ne surtout pas rater", a-t-il lancé à l'adresse de l'assistance et particulièrement de la jeunesse. "Il faut aller en masse aux urnes", a de nouveau insisté le président de Fedjr El Djadid, ajoutant que ce rendez-vous est "une sorte de référendum d'autodétermination" pour le peuple algérien. R. N. Mohamed Said (PLJ) à El Oued : Urgence d'un changement profond Le président du Parti de la liberté et de la justice (PLJ), Mohamed Saïd, a souligné vendredi à El Oued la nécessité d'opérer un "changement profond" au regard de la prise de conscience politique perçue chez le peuple algérien. Mohamed Said, qui animait un meeting à El Oued, a affirmé que cette nécessité ferait du rendez-vous du 10 mai une échéance différente des précédentes, une particularité nourrie également par la diversité des programmes proposés par une quarantaine de partis, mais aussi par une conjoncture particulière caractérisée par des tensions sociales. Le président du PLJ a, d'autre part, évoqué la contrebande aux frontières préconisant, par ailleurs "l'édification d'un espace maghrébin sans frontières" où les citoyens pourraient circuler sur simple présentation de leur carte nationale d'identité. Il a aussi dénoncé le manque de suivi et de contrôle s'agissant des personnes occupant des postes de responsabilité invitant, par la même, les électeurs à se diriger massivement aux urnes pour choisir les candidats du PLJ.