Une conférence sur les débuts et le développement du cinéma mexicain s'est tenue au 3e jour du 9e Festival international du cinéma au Sahara occidental (2-5 mai) avec la participation d'une pléiade d'artistes, d'acteurs et de cinéastes sahraouis et étrangers. Une conférence sur les débuts et le développement du cinéma mexicain s'est tenue au 3e jour du 9e Festival international du cinéma au Sahara occidental (2-5 mai) avec la participation d'une pléiade d'artistes, d'acteurs et de cinéastes sahraouis et étrangers. La délégation mexicaine prend part à cette manifestation culturelle avec un film du cinéaste Gregorio Rocha, intitulé Rios perdidos, projeté lors de la première journée du Festival. En cette occasion le cinéaste mexicain n'a pas manqué de présenter un aperçu sur le développement du cinéma dans son pays, invité d'honneur de la présente édition du Festival, relevant un recul de la production cinématographique durant les années 90 contre un net rebond ces dernières années, avec une production annuelle de pas moins de 70 films et quelque 200 à 250 films-documentaires. Plusieurs projections étaient au programme de la 2e journée, dont celles du film Gdeim Izik, une coproduction hispano-mexicaine regroupant des témoignages vivants, ainsi que des photos et des vidéos sur l'attaque barbare perpétrée par l'occupation marocaine contre ce camp. Un film-documentaire Robbed of truth (la véritée dérobée) du cinéaste australien Carlos Gonzalez est également au menu. Par ailleurs, le Festival régional de la culture et des arts populaires a été marqué par une exposition de produits d'artisanat, œuvres de femmes sahraouies, qui témoignent de l'attachement des Sahraouis à leurs traditions. La délégation mexicaine prend part à cette manifestation culturelle avec un film du cinéaste Gregorio Rocha, intitulé Rios perdidos, projeté lors de la première journée du Festival. En cette occasion le cinéaste mexicain n'a pas manqué de présenter un aperçu sur le développement du cinéma dans son pays, invité d'honneur de la présente édition du Festival, relevant un recul de la production cinématographique durant les années 90 contre un net rebond ces dernières années, avec une production annuelle de pas moins de 70 films et quelque 200 à 250 films-documentaires. Plusieurs projections étaient au programme de la 2e journée, dont celles du film Gdeim Izik, une coproduction hispano-mexicaine regroupant des témoignages vivants, ainsi que des photos et des vidéos sur l'attaque barbare perpétrée par l'occupation marocaine contre ce camp. Un film-documentaire Robbed of truth (la véritée dérobée) du cinéaste australien Carlos Gonzalez est également au menu. Par ailleurs, le Festival régional de la culture et des arts populaires a été marqué par une exposition de produits d'artisanat, œuvres de femmes sahraouies, qui témoignent de l'attachement des Sahraouis à leurs traditions.