Comme cela a toujours été le cas lors de toutes les précédentes élections, qu'elles soient présidentielles, législatives ou communales, le centre international de presse (CIP) a vécu, avant-hier jeudi, une journée pas comme les autres. Comme cela a toujours été le cas lors de toutes les précédentes élections, qu'elles soient présidentielles, législatives ou communales, le centre international de presse (CIP) a vécu, avant-hier jeudi, une journée pas comme les autres. Autant dire, qu'à l'occasion de la tenue ce jour-là des élections législatives, le CIP, qui a élu cette fois-ci domicile à l'hôtel Aurassi retapé à neuf et rouvert il y a juste un mois, a vécu une journée fort particulière. Les journalistes sont, en effet, venus en grand nombre et, dès le matin, la salle qui leur a été réservé grouillait déjà de monde. Il faut dire qu'en plus des journalistes algériens accrédités pour la couverture de cet important rendez-vous électoral, leurs confères étrangers, venus de différents pays, européens notamment, étaient également présents. En effet, en tout, 914 journalistes, cameramen et photographes étrangers et nationaux, ont été accrédites pour assurer la couverture médiatique de l'événement. D'importants moyens matériels et humains ont été réunis pour permettre aux journalistes de mener à bine leur mission. en effet des dizaines de micro-ordinateurs portables, connectés à Internet haut débit, ont été mis à la disposition des représentants de la presse écrite pour leur permettre d'envoyer leurs papiers et photos en temps réel. Un réseau Internet sans fil ''Wi-fi"' a également été mis à la disposition des représentants de la presse nationale et étrangère, ainsi que des lignes téléphoniques et des fax. La presse audiovisuelle n'était pas en reste puisqu'elle a été, elle aussi, dotée de son propre espace pour les besoins des directs. Le CIP a été doté aussi de 15 écrans géants pour la retransmission simultanée des taux de participation et des résultats. les 557 journalistes algériens accrédites ainsi que les journalistes étrangers n'étaient certes pas tous présents ce jeudi au CIP, mais la salle était presque tout le temps pleine et ce, malgré les va-et-vient. Car l'essentiel était ailleurs, c'est-à-dire dans les bureaux de vote, disséminés dans les quatre coins de la capitale et de sa périphérie, au ministère de l'Intérieur, au siège de la Commission de surveillance des élections législatives (CNSEL) et dans les permanences électorales des partis politiques. Des journalistes partaient et revenaient en un incessant mouvement de va-et-vient. Au retour ils échangeaient les nouvelles tant chacun racontait, dans les menus détails ce qu'il a vu lors de sa virée. Il est surtout question de faire la comparaison avec les derniers scrutins. Et là, et cela a été perceptible dès la fin de la matinée tous s'accordaient, à dire que le scrutin du 10 mai est différent des précédents en ce sens qu'il n'a été émaillé d'aucun incident majeur. Tout semblait si parfait, une chose inhabituelle pour les journalistes, dont l'attention s'est alors surtout focalisée sur le taux de participation. Tout à coup, pourtant, une rumeur sur des troubles qui auraient éclaté dans le quartier de Belouizdad allait faire sortir tout le monde de ce semblant de torpeur. Et c'est ainsi que photographes, cameramen et journalistes se sont rués en direction de ce vieux quartier populaire, mais durent revenir bredouilles, car la rumeur s'est révelée être totalement infondée. Contrairement aussi aux fois précédentes les journalistes regrettaient l'absence des leaders politiques qui ont dédaigné le CIP cette fois ci. Aucune personnalité politique ne s'est en effet présentée au CIP. Et le seul à avoir fait l'exception a été le ministre de la Communication, Nacer Mehal, qui a fait son apparition vers 14h 30. Le ministre est venu s'enquérir des conditions de travail des professionnels des médias et ces derniers ont saisi l'occasion pour le relancer sur les chantiers du secteur. Nesma TVen force La chaîne de télévision tunisienne Nesma TV, qui a réservé un grand espace au CIP, a mobilisé d'importants moyens humains et matériels pour la couverture de l'événement. Cette chaîne, apparemment très prisée par les téléspectateurs algériens, a en effet déplacé de Tunis toute une équipe et ce, en plus de ses éléments ici à Alger. Et c'est le premier responsable de la chaîne, Nabil Karoui, qui dirigeait les opérations et veillait au grain pour la réussite de ce direct. Beaucoup de personnalités du mouvement associatif, notamment du monde des médias et des analystes ont, en effet, défilé sur son plateau. L'on peut ainsi citer Nouredine Benbraham des scouts musulmans, Saida Benhabyles, ex-ministre de la Solidarité nationale et qui dirige une association pour la promotion de la femme rurale, Mme Barki, Me Hocine Zahouane, de La ligue de défense des droits de l'Homme, un représentant de l'UGTA et bien d'autres figures connues. Mais il est incontestable que la figure la plus connue qui a honoré le plateau de Nesma TV a été, sans conteste, le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem. Le patron du vieux parti, qui a débarqué au CIP peu après 20 h, a d'abord longuement discuté en aparté avec le patron de cette chaîne avant de passer sur le plateau. Une discussion qui a alimenté, à l'évidence, la curiosité des journalistes algériens présents qui se sont alors interrogé sur la teneur de ce tête-à-tête. Peu avant la venue de Belkhadem un autre hôte de marque a fait son apparition au CIP. Le chef de la mission d'observation de l'Union européenne, José Ignascio Salafranca a, en effet, animé un point de presse au cours duquel il a livré ses premières impressions sur cette journée fort parcellaire en promettant de revenir longuement lors de la conferece de presse de demain samedi. C'était le dernier acte de la journée et, dès la fin de la conférence, les journalistes ont déserté en grand nombre le CIP laissant derrière eux juste quelques confrères qui leur avaient emboîté le pas quelques temps après, notamment que le ministre de l'Intérieur ait communiqué le taux de participation à ces élections législatives. Autant dire, qu'à l'occasion de la tenue ce jour-là des élections législatives, le CIP, qui a élu cette fois-ci domicile à l'hôtel Aurassi retapé à neuf et rouvert il y a juste un mois, a vécu une journée fort particulière. Les journalistes sont, en effet, venus en grand nombre et, dès le matin, la salle qui leur a été réservé grouillait déjà de monde. Il faut dire qu'en plus des journalistes algériens accrédités pour la couverture de cet important rendez-vous électoral, leurs confères étrangers, venus de différents pays, européens notamment, étaient également présents. En effet, en tout, 914 journalistes, cameramen et photographes étrangers et nationaux, ont été accrédites pour assurer la couverture médiatique de l'événement. D'importants moyens matériels et humains ont été réunis pour permettre aux journalistes de mener à bine leur mission. en effet des dizaines de micro-ordinateurs portables, connectés à Internet haut débit, ont été mis à la disposition des représentants de la presse écrite pour leur permettre d'envoyer leurs papiers et photos en temps réel. Un réseau Internet sans fil ''Wi-fi"' a également été mis à la disposition des représentants de la presse nationale et étrangère, ainsi que des lignes téléphoniques et des fax. La presse audiovisuelle n'était pas en reste puisqu'elle a été, elle aussi, dotée de son propre espace pour les besoins des directs. Le CIP a été doté aussi de 15 écrans géants pour la retransmission simultanée des taux de participation et des résultats. les 557 journalistes algériens accrédites ainsi que les journalistes étrangers n'étaient certes pas tous présents ce jeudi au CIP, mais la salle était presque tout le temps pleine et ce, malgré les va-et-vient. Car l'essentiel était ailleurs, c'est-à-dire dans les bureaux de vote, disséminés dans les quatre coins de la capitale et de sa périphérie, au ministère de l'Intérieur, au siège de la Commission de surveillance des élections législatives (CNSEL) et dans les permanences électorales des partis politiques. Des journalistes partaient et revenaient en un incessant mouvement de va-et-vient. Au retour ils échangeaient les nouvelles tant chacun racontait, dans les menus détails ce qu'il a vu lors de sa virée. Il est surtout question de faire la comparaison avec les derniers scrutins. Et là, et cela a été perceptible dès la fin de la matinée tous s'accordaient, à dire que le scrutin du 10 mai est différent des précédents en ce sens qu'il n'a été émaillé d'aucun incident majeur. Tout semblait si parfait, une chose inhabituelle pour les journalistes, dont l'attention s'est alors surtout focalisée sur le taux de participation. Tout à coup, pourtant, une rumeur sur des troubles qui auraient éclaté dans le quartier de Belouizdad allait faire sortir tout le monde de ce semblant de torpeur. Et c'est ainsi que photographes, cameramen et journalistes se sont rués en direction de ce vieux quartier populaire, mais durent revenir bredouilles, car la rumeur s'est révelée être totalement infondée. Contrairement aussi aux fois précédentes les journalistes regrettaient l'absence des leaders politiques qui ont dédaigné le CIP cette fois ci. Aucune personnalité politique ne s'est en effet présentée au CIP. Et le seul à avoir fait l'exception a été le ministre de la Communication, Nacer Mehal, qui a fait son apparition vers 14h 30. Le ministre est venu s'enquérir des conditions de travail des professionnels des médias et ces derniers ont saisi l'occasion pour le relancer sur les chantiers du secteur. Nesma TVen force La chaîne de télévision tunisienne Nesma TV, qui a réservé un grand espace au CIP, a mobilisé d'importants moyens humains et matériels pour la couverture de l'événement. Cette chaîne, apparemment très prisée par les téléspectateurs algériens, a en effet déplacé de Tunis toute une équipe et ce, en plus de ses éléments ici à Alger. Et c'est le premier responsable de la chaîne, Nabil Karoui, qui dirigeait les opérations et veillait au grain pour la réussite de ce direct. Beaucoup de personnalités du mouvement associatif, notamment du monde des médias et des analystes ont, en effet, défilé sur son plateau. L'on peut ainsi citer Nouredine Benbraham des scouts musulmans, Saida Benhabyles, ex-ministre de la Solidarité nationale et qui dirige une association pour la promotion de la femme rurale, Mme Barki, Me Hocine Zahouane, de La ligue de défense des droits de l'Homme, un représentant de l'UGTA et bien d'autres figures connues. Mais il est incontestable que la figure la plus connue qui a honoré le plateau de Nesma TV a été, sans conteste, le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem. Le patron du vieux parti, qui a débarqué au CIP peu après 20 h, a d'abord longuement discuté en aparté avec le patron de cette chaîne avant de passer sur le plateau. Une discussion qui a alimenté, à l'évidence, la curiosité des journalistes algériens présents qui se sont alors interrogé sur la teneur de ce tête-à-tête. Peu avant la venue de Belkhadem un autre hôte de marque a fait son apparition au CIP. Le chef de la mission d'observation de l'Union européenne, José Ignascio Salafranca a, en effet, animé un point de presse au cours duquel il a livré ses premières impressions sur cette journée fort parcellaire en promettant de revenir longuement lors de la conferece de presse de demain samedi. C'était le dernier acte de la journée et, dès la fin de la conférence, les journalistes ont déserté en grand nombre le CIP laissant derrière eux juste quelques confrères qui leur avaient emboîté le pas quelques temps après, notamment que le ministre de l'Intérieur ait communiqué le taux de participation à ces élections législatives.