Ce fut une nouvelle terrible. Sur la Toile plusieurs sites ont annoncé le décès, avant-hier jeudi, de la diva de la chanson algérienne, Warda El Djazairia. L'ange de la mort a encore une fois frappé et l'année 2012 est, sans aucun doute, celle où l'Algérie aura souffert de la disparition de plusieurs de ses meilleurs talents. Ce fut une nouvelle terrible. Sur la Toile plusieurs sites ont annoncé le décès, avant-hier jeudi, de la diva de la chanson algérienne, Warda El Djazairia. L'ange de la mort a encore une fois frappé et l'année 2012 est, sans aucun doute, celle où l'Algérie aura souffert de la disparition de plusieurs de ses meilleurs talents. Cette année nous avons retrouvé la diva plus radieuse que jamais à travers un spot qui passait à la Télévision algérienne. D'ailleurs pour ce cinquantenaire de l'indépendance de l'Algérie la rose algérienne préparait un album spécial pour la commémoration. La surprise qu'elles réservait à ses admirateurs avait débuté avec le clip Mazal waqfine, une chanson d'un spot publicitaire, en s'associant à l'opérateur de téléphonie mobile Nedjma. Les habitants de la petite localité de Sidi Ghilès, près de Cherchell, où il y a eu le tournage se souviendront de son passage, de sa simplicité, de sa générosité, de sa bonté, et de son sourire radieux. Avec cet album, la regrettée Warda aurait, encore une fois, réitéré son amour pour son pays et son patriotisme en célébrant cet événement historique. Ce qu'elle a d'ailleurs fait depuis le début de sa carrière. Faut-il d'ailleurs rappelé qu'à chaque célébration du 5 Juillet, elle était au rendez-vous, au devant de la scène, sur l'invitation d'abord du président Houari Boumediene pour les dix années d'indépendance. Un événement qui a marqué le public et le grand retour de l'artiste après une longue et énigmatique absence. La scène culturelle arabe en général et algérienne en particulier est en deuil. Car ce n'est pas seulement une artiste qui s'en va mais c'est une rose algérienne, sans jeu de mot, qui se fane. Reste que le répertoire de la diva, qui est de 300 chansons, a marqué et marquera plusieurs générations. D'ailleurs avec la nouvelle vague de chanteurs arabes, Warda El Djazairia, a su garder sa notoriété de diva, et cela en étant à l'écoute des goûts musicaux de cette nouvelle génération. Depuis l'annonce de son décès, les condoléances ne cessent de parvenir, en commençant par la ministre de la Culture, Khalida Toumi qui s'est dite profondément touchés par sa disparition car «l'une des plus belles voix d'Algérie et du monde arabe vient de se taire à jamais », en ajoutant que «Warda El Djazaïria nous a quittés ce jour en laissant derrière elle un silence assourdissant et une profonde tristesse ». Son homologue égyptien, Mohamed Sabar, en présentant ses condoléance, a déclaré que la diva « a joué un grand rôle et a concrétisé la relation entre l'Egypte et l'Algérie ». Les artistes arabes sont profondément touchés par cette disparition : le grand compositeur Himi Bakr et la chanteuse Samira Said ont exprimé leur tristesse. Une prière funéraire a eu lieu hier à la mosquée Salah-Eddine à Manil au Caire. Le rapatriement de la dépouille de la défunte a eu lieu hier dans un avion spécial. Avant son enterrement prévu aujourd'hui au cimetière El Alia à Alger, un dernier adieu et hommage lui seront rendus par ses concitoyens. «Le vrai tombeau des morts c'est le cœur des vivants», disait Jean Coteau. Cette année nous avons retrouvé la diva plus radieuse que jamais à travers un spot qui passait à la Télévision algérienne. D'ailleurs pour ce cinquantenaire de l'indépendance de l'Algérie la rose algérienne préparait un album spécial pour la commémoration. La surprise qu'elles réservait à ses admirateurs avait débuté avec le clip Mazal waqfine, une chanson d'un spot publicitaire, en s'associant à l'opérateur de téléphonie mobile Nedjma. Les habitants de la petite localité de Sidi Ghilès, près de Cherchell, où il y a eu le tournage se souviendront de son passage, de sa simplicité, de sa générosité, de sa bonté, et de son sourire radieux. Avec cet album, la regrettée Warda aurait, encore une fois, réitéré son amour pour son pays et son patriotisme en célébrant cet événement historique. Ce qu'elle a d'ailleurs fait depuis le début de sa carrière. Faut-il d'ailleurs rappelé qu'à chaque célébration du 5 Juillet, elle était au rendez-vous, au devant de la scène, sur l'invitation d'abord du président Houari Boumediene pour les dix années d'indépendance. Un événement qui a marqué le public et le grand retour de l'artiste après une longue et énigmatique absence. La scène culturelle arabe en général et algérienne en particulier est en deuil. Car ce n'est pas seulement une artiste qui s'en va mais c'est une rose algérienne, sans jeu de mot, qui se fane. Reste que le répertoire de la diva, qui est de 300 chansons, a marqué et marquera plusieurs générations. D'ailleurs avec la nouvelle vague de chanteurs arabes, Warda El Djazairia, a su garder sa notoriété de diva, et cela en étant à l'écoute des goûts musicaux de cette nouvelle génération. Depuis l'annonce de son décès, les condoléances ne cessent de parvenir, en commençant par la ministre de la Culture, Khalida Toumi qui s'est dite profondément touchés par sa disparition car «l'une des plus belles voix d'Algérie et du monde arabe vient de se taire à jamais », en ajoutant que «Warda El Djazaïria nous a quittés ce jour en laissant derrière elle un silence assourdissant et une profonde tristesse ». Son homologue égyptien, Mohamed Sabar, en présentant ses condoléance, a déclaré que la diva « a joué un grand rôle et a concrétisé la relation entre l'Egypte et l'Algérie ». Les artistes arabes sont profondément touchés par cette disparition : le grand compositeur Himi Bakr et la chanteuse Samira Said ont exprimé leur tristesse. Une prière funéraire a eu lieu hier à la mosquée Salah-Eddine à Manil au Caire. Le rapatriement de la dépouille de la défunte a eu lieu hier dans un avion spécial. Avant son enterrement prévu aujourd'hui au cimetière El Alia à Alger, un dernier adieu et hommage lui seront rendus par ses concitoyens. «Le vrai tombeau des morts c'est le cœur des vivants», disait Jean Coteau.