«Le modèle de la gouvernance en Algérie a quelques archaïsmes, mais l'essentiel consiste à créer des valeurs en développant une société libérale. Le rôle sans cesse croissant des entreprises privées est également à mettre en relief. Cela exige une gouvernance moderne et une mise en œuvre d'un processus de rénovation et de changement en transformant les entreprises en structures dynamiques en dépit de la coexistence du commerce informel», a notamment déclaré, hier à l'hôtel Hilton, le président du forum des chefs d'entreprise, Reda Hamiani, au cours du 11e Symposium international de MDI Business School, intitulé ‘'Rénover la gouvernance des entreprises et des administrations économiques/ Quels challenges pour l'Algérie ?''. Il ajoute que «la vision de politique économique en Algérie est portée par des systèmes de qualifications bureaucratiques et les entreprises privées sont contrôlées et limitées alors que les entreprises publiques font la répartition de la rente et non soumises aux sanctions du marché». Il estime que «beaucoup reste à faire pour mettre en adéquation les avancées de la bonne gouvernance avec les aspirations des chefs d'entreprises. Il est urgent d'y remédier». Pour sa part, le président du Conseil économique et social, Mohamed Seghir Babès, a souligné que «les entreprises sont, incontestablement, un lieu de création de richesses et d'emplois et de production de biens et de services. Par conséquent, il est impérieux de s'installer dans des systèmes de gouvernance standardisés suivant les normes internationales». L'expert français, Michel Ghertman, a précisé que "les transactions et les échanges entre les entreprises doivent être relayés par des institutions qui encadrent ces échanges. Aussi, en fonction du développement des échanges, il y a lieu de réaliser des investissements". Il ajoute que concernant le mode de gouvernance c'est aux entreprises de le choisir en fonction des marchés et des externalisations.Quant à Brahim Benabdeslem, directeur de MDI, il n'a pas manqué de mettre en exergue l'objectif essentiel de ce symposium qui «offre aux différents participants un espace de réflexion croisée sur la question stratégique de la gouvernance en tant que facteur de développement durable en Algérie qui présente à la fois des faiblesses structurelles et de forts potentiels». «Le modèle de la gouvernance en Algérie a quelques archaïsmes, mais l'essentiel consiste à créer des valeurs en développant une société libérale. Le rôle sans cesse croissant des entreprises privées est également à mettre en relief. Cela exige une gouvernance moderne et une mise en œuvre d'un processus de rénovation et de changement en transformant les entreprises en structures dynamiques en dépit de la coexistence du commerce informel», a notamment déclaré, hier à l'hôtel Hilton, le président du forum des chefs d'entreprise, Reda Hamiani, au cours du 11e Symposium international de MDI Business School, intitulé ‘'Rénover la gouvernance des entreprises et des administrations économiques/ Quels challenges pour l'Algérie ?''. Il ajoute que «la vision de politique économique en Algérie est portée par des systèmes de qualifications bureaucratiques et les entreprises privées sont contrôlées et limitées alors que les entreprises publiques font la répartition de la rente et non soumises aux sanctions du marché». Il estime que «beaucoup reste à faire pour mettre en adéquation les avancées de la bonne gouvernance avec les aspirations des chefs d'entreprises. Il est urgent d'y remédier». Pour sa part, le président du Conseil économique et social, Mohamed Seghir Babès, a souligné que «les entreprises sont, incontestablement, un lieu de création de richesses et d'emplois et de production de biens et de services. Par conséquent, il est impérieux de s'installer dans des systèmes de gouvernance standardisés suivant les normes internationales». L'expert français, Michel Ghertman, a précisé que "les transactions et les échanges entre les entreprises doivent être relayés par des institutions qui encadrent ces échanges. Aussi, en fonction du développement des échanges, il y a lieu de réaliser des investissements". Il ajoute que concernant le mode de gouvernance c'est aux entreprises de le choisir en fonction des marchés et des externalisations.Quant à Brahim Benabdeslem, directeur de MDI, il n'a pas manqué de mettre en exergue l'objectif essentiel de ce symposium qui «offre aux différents participants un espace de réflexion croisée sur la question stratégique de la gouvernance en tant que facteur de développement durable en Algérie qui présente à la fois des faiblesses structurelles et de forts potentiels».